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  #1 luxuriance1 luxuriance1 on 22 Nov 14

   

  confiscations de propriétés. «Mais après la Première Guerre mondiale, l'atmosphère générale anti-Habsbourg était telle dans la République tchécoslovaque nouvellement constituée que les biens des Hohenberg ont tout de même été confisqués », explique l'historien et avocat Jean-Louis Thiériot, auteur d'une biographie de François-Ferdinand. polo lacoste rose
  « C'était une décision purement politique, dépourvue de légitimité juridique. D'ailleurs, la République autrichienne n'a pas saisi leurs propriétés, car ils n'étaient pas considérés comme faisant partie de l'ancienne famille régnante. »C'est cette « injustice » que Sophie Hohenberg entend dénoncer, déclare son avocat, Jaroslav Broz. « Maintenant que nous faisons partie de l'Union européenne, nous nous basons sur de nouvelles valeurs, dont la protection du droit de propriété, souligne-t-il. L'État tchèque ne peut pas ignorer ce problème ». Il s'agit d'« une cause patrimoniale sans précédent dans l'histoire de la République tchèque », assure le quotidien tchèque Mlada Fronta Dnes, qui n'écarte pas la possibilité d'une victoire de la requérante. Selon la loi tchèque, les demandes de restitution ne sont recevables que si elles portent sur des biens saisis entre le 25 février 1948 et le 1er janvier 1990, pendant le régime communiste. polo lacoste rose pas cher Sur la base de ce texte, une famille comme celle des princes Schwarzenberg s'est vu restituer trois châteaux et environ 40 000 hectares de terres.Procédure aléatoireMais ce n'est pas sur cette loi que Me Broz s'appuie : «A sa mort, Maximilien Hohenberg - le fils aîné de François-Ferdinand et père de Sophie Hohenberg - était citoyen autrichien, indique-t-il. Et propriétaire légitime de Konopiste ». Demeure la question de la prescription, qui rend la procédure aléatoire, en tout cas très longue. « Après tout ce temps... sac burberry pas cher
  , soupire l'historien tchèque Jan

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">confiscations de propriétés. «Mais après la Première Guerre mondiale, l'atmosphère générale anti-Habsbourg était telle dans la République tchécoslovaque nouvellement constituée que les biens des Hohenberg ont tout de même été confisqués », explique l'historien et avocat Jean-Louis Thiériot, auteur d'une biographie de François-Ferdinand. polo lacoste rose <br /> « C'était une décision purement politique, dépourvue de légitimité juridique. D'ailleurs, la République autrichienne n'a pas saisi leurs propriétés, car ils n'étaient pas considérés comme faisant partie de l'ancienne famille régnante. »C'est cette « injustice » que Sophie Hohenberg entend dénoncer, déclare son avocat, Jaroslav Broz. « Maintenant que nous faisons partie de l'Union européenne, nous nous basons sur de nouvelles valeurs, dont la protection du droit de propriété, souligne-t-il. L'État tchèque ne peut pas ignorer ce problème ». Il s'agit d'« une cause patrimoniale sans précédent dans l'histoire de la République tchèque », assure le quotidien tchèque Mlada Fronta Dnes, qui n'écarte pas la possibilité d'une victoire de la requérante. Selon la loi tchèque, les demandes de restitution ne sont recevables que si elles portent sur des biens saisis entre le 25 février 1948 et le 1er janvier 1990, pendant le régime communiste. polo lacoste rose pas cher Sur la base de ce texte, une famille comme celle des princes Schwarzenberg s'est vu restituer trois châteaux et environ 40 000 hectares de terres.Procédure aléatoireMais ce n'est pas sur cette loi que Me Broz s'appuie : «A sa mort, Maximilien Hohenberg - le fils aîné de François-Ferdinand et père de Sophie Hohenberg - était citoyen autrichien, indique-t-il. Et propriétaire légitime de Konopiste ». Demeure la question de la prescription, qui rend la procédure aléatoire, en tout cas très longue. « Après tout ce temps... sac burberry pas cher <br /> , soupire l'historien tchèque Jan</div>

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