Vetement lacoste pas cher Huit - 0 views

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  #1 longcha longcha on 11 Jul 14

   

  Le «ghetto» est un ensemble de six immeubles hideux qui détonne au milieu d'un quartier de bureaux récemment construits et de coquettes villas. Du linge sèche aux fenêtres des trois bâtiments encore occupés. Les façades sont défigurées par des grappes d'antennes paraboliques, pas moins de quatorze pour le premier étage. La cour est tapissée de gravats et d'ordures, au milieu desquels des hommes esseulés jouent au babyfoot ou aux cartes à longueur de journée, ou se réunissent par ethnies pour tenir d'interminables palabres. «Le mur de la honte» Conçu pour servir de résidence universitaire, le complexe qui comprend petits appartements, tous de mètres carrés chacun, a été progressivement occupé par une population bigarrée d'immigrés, en règle ou non : Albanais, Maghrébins et surtout Africains subsahariens. Il y reste aujourd'hui quelque personnes, sans compter les clandestins. Le juillet, Tunisiens et Nigérians se sont violemment affrontés. Polo lacoste pas cher
  Vetement lacoste pas cherLes heurts se sont propagés à tout le quartier, sous les yeux de riverains terrorisés. En un instant, le magasin de bricolage situé en face du «ghetto» a été dévalisé de ses hachettes et autres couteaux. Depuis, un décret municipal en a interdit la vente. Les gangs se disputaient le contrôle du marché de la drogue qui leur rapporte, selon la Préfecture de police, quelque millions d'euros par an pour la seule ville de Padoue. L'intervention rapide et massive des forces de l'ordre a empêché le pire. Mieux organisés, les Nigérians ont pris le dessus et expulsé les Maghrébins qui ont envahi d'autres quartiers sensibles de Padoue. «La situation était parvenue à un tel degré d'exaspération qu'il a fallu recourir à des mesures d'exception», explique Daniela Ruffini, jeune conseillère municipale communiste chargée du logement et de l'immigration. Vetement lacoste pas cher Survetement lacoste pas cher Huit jours plus tard, la Mairie faisait ériger un mur composé de barrières métalliques soudées entre elles pour dresser un écran inviolable entre le «ghetto» et le reste du quartier. Cette initiative extravagante a coûté euros. De nombreux habitants s'en émeuvent : «C'est le mur de la honte. Ce n'est pas par la ségrégation raciale qu'on résoudra les problèmes de la délinquance et de l'immigration», dit l'un. Sur le campus étroitement surveillé par la police, la tension est à son comble. «Stop the wall» (arrêtez le mur), proclament des panonceaux en anglais. «Le maire est devenu fou», affirment d'autres. Survetement lacoste pas cher
  Chaussure lacoste pas cherUne affiche écrite à la main lance un avertissement : «Les clandestins seront les électeurs de demain.» Dans la rue contiguë au mur, les réactions sont d'un tout autre ordre. Trois jeunes Roumains bien habillés, deux garçons et une fille, interrogés sur le pas de leur porte, se félicitent : «Du moins aton mis fin au vaetvient nocturne des drogués», disentils. Ilda, une enseignante d'environ ans, regarde son mari tendre un fil de fer barbelé le long de leur clôture : «Ici, c'est l'Italie. Làbas, le Bronx. Nous vivons en état de siège perpétuel. Via Anelli est un bubon qu'il faut faire disparaître à jamais.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Le «ghetto» est un ensemble de six immeubles hideux qui détonne au milieu d'un quartier de bureaux récemment construits et de coquettes villas. Du linge sèche aux fenêtres des trois bâtiments encore occupés. Les façades sont défigurées par des grappes d'antennes paraboliques, pas moins de quatorze pour le premier étage. La cour est tapissée de gravats et d'ordures, au milieu desquels des hommes esseulés jouent au babyfoot ou aux cartes à longueur de journée, ou se réunissent par ethnies pour tenir d'interminables palabres. «Le mur de la honte» Conçu pour servir de résidence universitaire, le complexe qui comprend petits appartements, tous de mètres carrés chacun, a été progressivement occupé par une population bigarrée d'immigrés, en règle ou non : Albanais, Maghrébins et surtout Africains subsahariens. Il y reste aujourd'hui quelque personnes, sans compter les clandestins. Le juillet, Tunisiens et Nigérians se sont violemment affrontés. <a rel="nofollow" title="Polo lacoste pas cher" href="http://www.streaming-legal.fr/lacoste-pas-cher-soldes.html">Polo lacoste pas cher</a> <br /> Vetement lacoste pas cherLes heurts se sont propagés à tout le quartier, sous les yeux de riverains terrorisés. En un instant, le magasin de bricolage situé en face du «ghetto» a été dévalisé de ses hachettes et autres couteaux. Depuis, un décret municipal en a interdit la vente. Les gangs se disputaient le contrôle du marché de la drogue qui leur rapporte, selon la Préfecture de police, quelque millions d'euros par an pour la seule ville de Padoue. L'intervention rapide et massive des forces de l'ordre a empêché le pire. Mieux organisés, les Nigérians ont pris le dessus et expulsé les Maghrébins qui ont envahi d'autres quartiers sensibles de Padoue. «La situation était parvenue à un tel degré d'exaspération qu'il a fallu recourir à des mesures d'exception», explique Daniela Ruffini, jeune conseillère municipale communiste chargée du logement et de l'immigration. <a rel="nofollow" title="Vetement lacoste pas cher" href="http://www.streaming-legal.fr/lacoste-pas-cher-soldes.html">Vetement lacoste pas cher</a> Survetement lacoste pas cher Huit jours plus tard, la Mairie faisait ériger un mur composé de barrières métalliques soudées entre elles pour dresser un écran inviolable entre le «ghetto» et le reste du quartier. Cette initiative extravagante a coûté euros. De nombreux habitants s'en émeuvent : «C'est le mur de la honte. Ce n'est pas par la ségrégation raciale qu'on résoudra les problèmes de la délinquance et de l'immigration», dit l'un. Sur le campus étroitement surveillé par la police, la tension est à son comble. «Stop the wall» (arrêtez le mur), proclament des panonceaux en anglais. «Le maire est devenu fou», affirment d'autres. <a rel="nofollow" title="Survetement lacoste pas cher" href="http://www.streaming-legal.fr/lacoste-pas-cher-soldes.html">Survetement lacoste pas cher</a> <br /> Chaussure lacoste pas cherUne affiche écrite à la main lance un avertissement : «Les clandestins seront les électeurs de demain.» Dans la rue contiguë au mur, les réactions sont d'un tout autre ordre. Trois jeunes Roumains bien habillés, deux garçons et une fille, interrogés sur le pas de leur porte, se félicitent : «Du moins aton mis fin au vaetvient nocturne des drogués», disentils. Ilda, une enseignante d'environ ans, regarde son mari tendre un fil de fer barbelé le long de leur clôture : «Ici, c'est l'Italie. Làbas, le Bronx. Nous vivons en état de siège perpétuel. Via Anelli est un bubon qu'il faut faire disparaître à jamais.</div>

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