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Veste Ralph Lauren pas cher Veste - 0 views

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started by longcha longcha on 14 Nov 14
  • longcha longcha
     
    1Stangerson, toutes pourraient se traduire par ces mots qu'on lui adresserait, àelle : « Oh ! toi qui connais le mystère, expliquelenous, et nous tesauverons peutêtre ! » Ah ! comme je voudrais la sauver… d'ellemême,et de l'autre ! … J'en pleure… Oui, je sens mes yeux se remplir de larmesdevant tant de misère si horriblement cachée. Elle est là, celle qui a le parfum de « la dame en noir »… je la vois enfin, chez elle, dans sa chambre, dans cette chambre où elle n'a pas voulume recevoir… dans cette chambre « où elle se tait », où elle continue dese taire. Depuis l'heure fatale de la «Chambre Jaune», nous tournons autour de cette femme invisible et muette pour savoir ce qu'elle sait. Notredésir, notre volonté de savoir doivent lui être un supplice de plus. Quinous dit que, si « nous apprenons », la connaissance de « son » mystèrene sera pas le signal d'un drame plus épouvantable que ceux qui se sontdéjà déroulés ici ? Qui nous dit qu'elle n'en mourra pas ? Et cependant,elle a failli mourir… et nous ne savons rien… Ou plutôt il y en a qui nesavent rien… mais moi… si je savais « qui », je saurais tout… Qui ? qui ?qui ? … et ne sachant pas qui, je dois me taire, par pitié pour elle, car ilne fait point de doute qu'elle sait, elle, comment « il » s'est enfui, lui, dela «Chambre Jaune», et cependant elle se tait. Pourquoi parleraisje ?Quand je saurai qui, « je lui parlerai, à lui ! » Elle nous regarde maintenant… mais de loin… comme si nous n'étionspas dans sa chambre… M. Stangerson rompt le silence. T shirt Ralph Lauren pas cher
    T shirt Ralph Lauren pas cherM. Stangersondéclare que, désormais, il ne quittera plus l'appartement de sa fille. C'esten vain que celleci veut s'opposer à cette volonté formelle, M. Stangerson tient bon. Il s'y installera dès cette nuit même, ditil. Sur quoi, uniquement occupé de la santé de sa fille, il lui reproche de s'être levée…puis il lui tient soudain de petits discours enfantins… Il lui sourit… il nesait plus beaucoup ni ce qu'il dit, ni ce qu'il fait… L'illustre professeurperd la tête… Il répète des mots sans suite qui attestent le désarroi de sonesprit… celui du nôtre n'est guère moindre. Mlle Stangerson dit alors,avec une voix si douloureuse, ces simples mots : « Mon père ! mon père !» que celuici éclate en sanglots. Veste Ralph Lauren pas cher Veste Ralph Lauren pas cher Le père Jacques se mouche et FrédéricLarsan, luimême, est obligé de se détourner pour cacher son émotion. Moi, je n'en peux plus… je ne pense plus, je ne sens plus, je suis audessous du végétal. Je me dégoûte. C'est la première fois que Frédéric Larsan se trouve, comme moi, enface de Mlle Stangerson, depuis l'attentat de la «Chambre Jaune».Comme moi, il avait insisté pour pouvoir interroger la malheureuse ;mais, pas plus que moi, il n'avait été reçu. À lui comme à moi, on avaittoujours fait la même réponse : Mlle Stangerson était trop faible pournous recevoir, les interrogatoires du juge d'instruction la fatiguaient suffisamment, etc… Il y avait là une mauvaise volonté évidente à nous aiderdans nos recherches qui, « moi », ne me surprenait pas, mais qui étonnaittoujours Frédéric Larsan. Il est vrai que Frédéric Larsan et moi avons uneconception du crime tout à fait différente… … Ils pleurent… Et je me surprends encore à répéter au fond de moi :La sauver ! … la sauver malgré elle ! la sauver sans la compromettre ! Lasauver sans qu' « il » parle ! Qui : « il ? » - « Il », l'assassin… Le prendreet lui fermer la bouche ! … Mais M. Sac ralph lauren pas cher
    Sac ralph lauren pas cherDarzac l'a fait entendre : « pour luifermer la bouche, il faut le tuer ! » Conclusion logique des phrases échappées à M. Darzac. Aije le droit de tuer l'assassin de Mlle Stangerson ?Non ! … Mais qu'il m'en donne seulement l'occasion. Histoire de voir s'ilest bien, réellement, en chair et en os ! Histoire de voir son cadavre, puisqu'on ne peut saisir son corps vivant ! Ah ! comment faire comprendre à cette femme, qui ne nous regardemême pas, qui est toute à son effroi et à la douleur de son père, que jesuis capable de tout pour la sauver… Oui… oui… je recommencerai àprendre ma raison par le bon bout et j'accomplirai des prodiges… Je m'avance vers elle… je veux parler, je veux la supplier d'avoirconfiance en moi… je voudrais lui faire entendre par quelques mots,compris d'elle seule et de moi, que je sais comment son assassin est sortide la «Chambre Jaune», que j'ai deviné la moitié de son secret… et que jela plains, elle, de tout mon cœur… Mais déjà son geste nous prie de lalaisser seule, exprime la lassitude, le besoin de repos immédiat… M.Stangerson nous demande de regagner nos chambres, nous remercie,nous renvoie… Frédéric Larsan et moi saluons, et, suivis du pèreJacques, nous regagnons la galerie. J'entends Frédéric Larsan qui murmure : « Bizarre ! bizarre ! … » Il me fait signe d'entrer dans sa chambre.Sur le seuil, il se retourne vers le père Jacques.

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