Et, partant, solder un passif où Paris alongtemps fait la sourde oreille aux protestations des démocrates etprogressistes tunisiens contre la répression du régime de Ben Ali. D'autant qu'aucun Tunisien n'a oublié le discours prononcé parNicolas Sarkozy ce 28?avril 2008 à Tunis, selon lequel ??l'espacedes libertés progresse en Tunisie??. Avant de faire son mea-culpareconnaissant que la France n'avait ??pas pris la juste mesure?? dela ??désespérance?? et de la ??souffrance?? des Tunisiens. La suite ?Michèle Alliot-Marie est remerciée et remplacée par Alain Juppé auposte de ministre des Affaires étrangères, l'ambassadeur de France àTunis, Pierre Menat, qui avait minimisé la gravité de la situation,est remplacé par Boris Boillon : ce dernier, à peine installé, netardera pas à provoquer la colère de la population, scandant ??Boillon dégage?? ! Plus d'un an après, Paris et Tunis s'efforceront, à l'occasion de la visite du président tunisien, detourner la page afin d'ouvrir la voie à l'établissement de rapportsassainis. Hassane Zerrouky 0 commentaire La discussion est fermée?:vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Nouvellesmanifestations contre le plan d'austérité du gouvernement de droitede Mariano Rajoy. Pour la cinquième journée consécutive, lesfonctionnaires madrilènes sont descendus hier dans la rue contre lenouveau plan d'austérité du gouvernement du Parti populaire (PP -droite conservatrice) de Mariano Rajoy d'un montant de 65?milliardsd'euros. Doudoune Lacoste Pas Cher ??C'est un hold-up??, ont-ils vivement scandé en référenceaux coups portés au secteur public : gel des salaires, non-remplacement des postes, suppression du treizième mois et des jourslibres (hors jours fériés). La veille déjà, des policiers et despompiers s'étaient joints à l'un des cortèges, en exigeant ladémission du chef de l'exécutif. Depuis 2008, c'est le troisièmetrain de mesures antisociales adoptées : coupes budgétaires dans l'éducation et la santé, hausse de la TVA à 21?%, amputation dessalaires… Pendant ce temps-là, la prime de risque s'envole, et lepays s'enfonce dans la récession et le ch?mage. Le collectifprofessionnel de la police municipale (de la région de Madrid) ainsique l'Association unifiée des militaires espagnols (Aume) se sontjoints à la vague de protestation. ??Charger de fa?on unilatéralecontre les fonctionnaires de la part d'une classe politique quichaque jour nous illumine par tant de bassesse et (…) de manque d'idées pour affronter la situation ne mérite pas grand respect, excepté celui auquel nous contraint notre "fonction"??, écrit l'Aume.Les confédérations syndicales appellent à des manifestations ce jeudiet évoquent l'idée d'une grève générale pour septembre. Latroisième depuis le début de la crise. Veste Lacoste Pas Cher Cathy Ce?be 0 commentaire Ladiscussion est fermée?: vous ne pouvez pas poster de nouveauxcommentaires."S'arc-bouter sur un départ de Bachar Al Assad commecondition sine qua non n'aide pas à emprunter la voie de l'apaisement", estime Pierre Barbancey, grand reporter à l'Humanitié,dans notre édition de ce jeudi. Il revient sur les conséquences del'attentat de Damas qui a décapité mercredi le ministère de ladéfense syrienne et sur les combats qui s'intensifient ce jeudi dansla capitale.L'attentat perpétré hier contre des ministres syriens aété revendiqué par deux organisations. La première est un groupebaptisé Brigade de l'islam. Le second est l'Armée syrienne libre(ASL). Cette double revendication, à elle seule, montre la difficultéà trouver une solution en Syrie. Lacoste Soldes S'il ne fait aucun doute que larévolte initiale était pacifiste, elle a été peu à peu doublée pardes éléments armés sans aucun lien avec les comités locaux decoordination qui avaient vu le jour avec les premièresmanifestations. Si l'ASL, via les médias, tente de se présentercomme le grand fédérateur des groupes armés, ceux qui sont allés surle terrain savent qu'en réalité il n'y a aucun commandement unifié,ni militaire, ni politique.L'opposition syrienne diviséeD'autant qu'à la faveur d'une stratégie armée, des centaines de combattantsislamistes -des djihadistes venus de Libye, de Jordanie, du Liban etmême du Kosovo, voire de Tchétchénie- sont entrés en Syrie, souventavec des armes, quand ils n'en re?oivent pas du Qatar et de l'Arabie saoudite. Selon certains services de renseignementsoccidentaux, leur présence est si prégnante qu'ils prennent même lepas sur les rebelles syriens, ce qui n'est pas sans conséquencespolitiques et militaires… Favoriser la transition est maintenantindispensable. Or, qui dit transition, dit participation d'élémentsde l'ancien comme du nouveau régime. S'arc-bouter sur un départ deBachar Al Assad comme condition sine qua non n'aide pas à emprunterla voie de l'apaisement. D'ailleurs, l'opposition syrienne estdivisée sur cette question.
??C'est un hold-up??, ont-ils vivement scandé en référenceaux coups portés au secteur public : gel des salaires, non-remplacement des postes, suppression du treizième mois et des jourslibres (hors jours fériés). La veille déjà, des policiers et despompiers s'étaient joints à l'un des cortèges, en exigeant ladémission du chef de l'exécutif. Depuis 2008, c'est le troisièmetrain de mesures antisociales adoptées : coupes budgétaires dans l'éducation et la santé, hausse de la TVA à 21?%, amputation dessalaires… Pendant ce temps-là, la prime de risque s'envole, et lepays s'enfonce dans la récession et le ch?mage. Le collectifprofessionnel de la police municipale (de la région de Madrid) ainsique l'Association unifiée des militaires espagnols (Aume) se sontjoints à la vague de protestation. ??Charger de fa?on unilatéralecontre les fonctionnaires de la part d'une classe politique quichaque jour nous illumine par tant de bassesse et (…) de manque d'idées pour affronter la situation ne mérite pas grand respect, excepté celui auquel nous contraint notre "fonction"??, écrit l'Aume.Les confédérations syndicales appellent à des manifestations ce jeudiet évoquent l'idée d'une grève générale pour septembre. Latroisième depuis le début de la crise. Veste Lacoste Pas Cher Cathy Ce?be 0 commentaire Ladiscussion est fermée?: vous ne pouvez pas poster de nouveauxcommentaires."S'arc-bouter sur un départ de Bachar Al Assad commecondition sine qua non n'aide pas à emprunter la voie de l'apaisement", estime Pierre Barbancey, grand reporter à l'Humanitié,dans notre édition de ce jeudi. Il revient sur les conséquences del'attentat de Damas qui a décapité mercredi le ministère de ladéfense syrienne et sur les combats qui s'intensifient ce jeudi dansla capitale.L'attentat perpétré hier contre des ministres syriens aété revendiqué par deux organisations. La première est un groupebaptisé Brigade de l'islam. Le second est l'Armée syrienne libre(ASL). Cette double revendication, à elle seule, montre la difficultéà trouver une solution en Syrie. Lacoste Soldes
S'il ne fait aucun doute que larévolte initiale était pacifiste, elle a été peu à peu doublée pardes éléments armés sans aucun lien avec les comités locaux decoordination qui avaient vu le jour avec les premièresmanifestations. Si l'ASL, via les médias, tente de se présentercomme le grand fédérateur des groupes armés, ceux qui sont allés surle terrain savent qu'en réalité il n'y a aucun commandement unifié,ni militaire, ni politique.L'opposition syrienne diviséeD'autant qu'à la faveur d'une stratégie armée, des centaines de combattantsislamistes -des djihadistes venus de Libye, de Jordanie, du Liban etmême du Kosovo, voire de Tchétchénie- sont entrés en Syrie, souventavec des armes, quand ils n'en re?oivent pas du Qatar et de l'Arabie saoudite. Selon certains services de renseignementsoccidentaux, leur présence est si prégnante qu'ils prennent même lepas sur les rebelles syriens, ce qui n'est pas sans conséquencespolitiques et militaires… Favoriser la transition est maintenantindispensable. Or, qui dit transition, dit participation d'élémentsde l'ancien comme du nouveau régime. S'arc-bouter sur un départ deBachar Al Assad comme condition sine qua non n'aide pas à emprunterla voie de l'apaisement. D'ailleurs, l'opposition syrienne estdivisée sur cette question.
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