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started by bifeng7 on 06 Dec 14
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    « Le siège des ministères des Affaires étrangères et de la Justice se poursuit et sera maintenu jusqu'à ce que nos revendications soient entièrement satisfaites », a réitéré Aymen Mohamed Aboudeina, membre de la Coordination des partisans de l'exclusion politique des anciens collaborateurs de Kadhafi.Affrontements tribauxLa pression de ces milices sur le gouvernement et le Parlement intervient dans un contexte d'escalade des violences où le nouvel État n'est pas en capacité d'assurer la moindre autorité. Depuis lundi, l'ouest du pays est le théâtre d'affrontements tribaux. Les villes de Tiji et Nalout, à 200 km au sud-ouest de Tripoli, sont le théâtre de combats à l'arme lourde entre milices rivales. Dans le sud, plus d'une centaine de prisonniers de droit commun se sont évadés dans la nuit de lundi à mardi d'une prison à Sebha (800 km au sud de Tripoli). Enfin, les attaques contre les services de sécurité ont repris dans l'est du pays.En fait, à travers cette pression des milices armées, qui fragilise le processus de mise en place d'institutions (élection du CGN en juillet 2012 et formation d'un gouvernement en octobre), les milices islamistes chercheraient à contraindre à la démission plusieurs dirigeants libyens. Trench Burberry pas cher
    Ainsi sont visés le premier ministre, Ali Zeidane, ancien diplomate sous Kadhafi, le président du parlement, Mohamed Megharief, ancien ambassadeur en Inde et qui a dirigé sous Kadhafi la Cour des comptes, et Mahmoud Djibril, chargé par Seif El Islam, le deuxième fils de Kadhafi, des réformes politiques et dont la coalition, l'Alliance libérale, est arrivée en tête du scrutin législatif, devançant la liste dirigée par les Frères musulmans de Abou Chougar, soutenue par le Qatar. Hassane ZerroukyL'armée tunisienne ratisse le mont Chaambi, frontalier de l'Algérie, à la recherche de djihadistes. L'explosion de mines a fait douze blessés dans les rangs des forces de sécurité. Pour de nombreux observateurs, c'est un tournant inquiétant. Hier, les autorités tunisiennes ont confirmé la traque de deux groupes islamistes armés dans les maquis de l'ouest du pays, près de la frontière avec l'Algérie. L'armée et la garde nationale ratissent le mont Chaambi, point culminant du pays, ainsi que les reliefs dominant le Kef, à une centaine de kilomètres plus au nord. Une douzaine de membres des forces de sécurité ont été blessés, dont trois grièvement, dans l'explosion de mines posées par les djihadistes. trench burberry femme pas cher « Selon les informations dont nous disposons, il n'y a pas eu d'affrontements et d'échanges de tirs directs entre l'armée et les djihadistes, probablement liés à Aqmi, sur le mont Chaambi. C'est lors de l'exploration d'une grotte qui a pu servir de cache que les mines ont explosé », rapporte le député Samir Taïeb (Al Massar - la Voie démocratique et sociale). En fait, l'armée recherche ces groupes djihadistes depuis le mois de décembre, après l'attaque qui avait coûté la vie à un garde national. Accusées de laxisme vis-à-vis de la mouvance salafiste djihadiste, les autorités tunisiennes semblent vouloir lancer dans la zone une opération militaire de grande envergure. Mais, outre les difficultés liées à la nature du terrain, au manque de moyens logistiques, à la mobilité de petits groupes bien entraînés et disposant de complicités, l'armée tunisienne doit faire avec la porosité des frontières. Par cette région transitent depuis longtemps toutes sortes de trafics, en particulier le trafic de carburant en provenance de l'Algérie, moins cher. Aujourd'hui, dans un contexte régional troublé, circulent de part et d'autre de la frontière des armes en provenance de Libye… et des candidats au djihad. trench burberry homme pas cher
    Au point que la constitution de maquis dans l'Ouest tunisien alarme autant Tunis qu'Alger. À l'occasion de sa visite en Algérie, en début de semaine, le premier ministre tunisien Ali Larayedh (Ennahdha), accompagné du chef d'état-major, a appelé au « renforcement de la coordination » sécuritaire entre les deux pays. « La région fait face à de sérieux dangers, que sont le terrorisme et le crime organisé transfrontaliers. Au regard de la grande liberté de circulation qui la caractérise, c'est de nature à nourrir le terrorisme », a-t-il affirmé dans un entretien à l'agence algérienne APS, en répétant que « la sécurité de la Tunisie est en fait la sécurité de l'Algérie ». Reste que le gouvernement tunisien, confronté à une sévère crise politique et sociale, semble voguer à vue face à la stratégie de guérilla choisie par certains djihadistes. Rosa MoussaouiC'est décidé, je n'irai pas en vacances en Ouzbékistan. Fini pour moi le circuit programmé au cœur de l'Asie centrale dans ce carrefour des civilisations où l'on s'émerveille, paraît-il, devant les monuments figurant parmi les plus prestigieux du monde musulman. trench burberry enfant pas cher Adieu les trois villes légendaires Samarkand, Boukhara, Kiva et leurs trésors d'architecture.J'avais d'abord hésité (à préparer le voyage en découvrant que la Saint-Valentin avait été décrétée par les autorités locales comme « une force aux pouvoirs maléfiques qui cherche à mettre fin aux valeurs nationales ». Je passais outre le fait que le potentat local, Islam Karimov, ancien patron (du PCUS reconverti comme beaucoup (de ses ex-camarades dans les affaires, tenait le pays d'une main de fer et avait ouvert le territoire national aux bases aériennes nord-américaines. Je feignais de ne pas savoir que la famille Karimov, les filles Gulnara et Lola tenant le haut (du panier, pillait le pays (en se gavant de commissions sur le gaz, l'uranium et le pétrole. Bref, au nom de la découverte de ce joyau mondial, j'étais prêt à toutes les compromissions.J'apprends une terrible nouvelle qui remet en cause mon voyage : les bicyclettes sont interdites à Tachkent et dans les grandes villes du pays. Déjà, j'avais été désagréablement surpris par l'interdiction de circulation des motos et des scooters parce qu'ils étaient, affirmait la police, « beaucoup mieux adaptés à commettre des assassinats que les voitures ». trench coat burberry pas cher
    Mais s'attaquer au vélo, pour moi, constitue un crime impardonnable même si la police indique « qu'elle cherche avant tout à assurer la sécurité des citoyens, (les agents n'étant pas (en mesure de rattraper les cyclistes ». Un pays sans vélo est un pays sans âme, déclamait un célèbre (poète dont j'ai oublié (le nom. Ma décision est irrévocable : je n'irai pas (en Ouzbékistan tant que le vélocipède sera pourchassé ignominieusement. José FortDes associations et syndicats tunisiens ont annoncé la création d'une coalition pour défendre la liberté de la presse. « Les journalistes sont plus que jamais menacés par les tentatives du pouvoir de restreindre les libertés », explique Néjiba Hamrouni, présidente du Syndicat national des journalistes tunisiens. Les membres de la coalition, dont la Ligue des droits de l'homme, appellent à un rassemblement ce jour, à l'occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, pour protester contre un projet de loi prévoyant des peines de trois mois à trois ans de prison pour quiconque critiquerait le président de la République, les membres du gouvernement et les instances qui relèvent de leur pouvoir.Le grain de sel de Norbert Arndt, dirigeant du syndicat allemand VerDi de Herne.

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