trench burberry enfant pas cher Le chef - 0 views

• 
  #1 longcha longcha on 08 Dec 14

   

  Ce qui a, fort heureusement, fait bondir non seulement des syndicalistes et des hommes et femmes politiques de gauche, mais aussi des intellectuels. Le philosophe Jürgen Habermas accuse ainsi la chancelière de vouloir faire sombrer l'Allemagne et l'UE dans une ère postdémocratique, non pas une dictature, précise-t-il, mais un régime sous surveillance où les décisions les plus importantes sont confisquées par des « experts » patronaux ou des technocrates. B. O.Sélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.Le couloir de la mort de la prison de Changhua, à Taiwan Taipei, correspondance. Taïwan a osé: six condamnés à mort ont été exécutés par balles (le 19 avril) quelques heures seulement aprèsla visite d'une délégation de la Coalition mondiale contre la peine demort, rassemblant 144 ONG, à Taipei où elle avait appelé sans relâche les autorités à mettre un terme à l'exercice de ces pratiques barbares. trench burberry homme pas cher
  La Coalition a instamment réagi à cette provocation en se déclarant «horrifiée» par la nouvelle qui «constitue un mauvais message à la communauté internationale» dans un communiqué publié sur son site. "Le Président Ma a eu une attitude arrogante et n'a pas fait montre d'une volonté d'écouter l'appel lancé par les représentants de la Coalition mondiale" a déclaréM. Hei-Yuan Chiu le président de l'organisation abolitionniste taïwanaiseTAEDP (Alliance taïwanaise pour l'abolition de la peine de mort)."Les dirigeants de ce pays s'abritent derrière l'opinion publique pour justifier les exécutions. Le Président Ma et sesministres qui ont reçu la délégation de la Coalitionn'osent pas dire clairement qu'ils sont favorables à la peine de mort, en affirmanthypocritement qu'ils mettront un terme à ce châtiment sans donner de limite dans le temps", a-t-il ajouté.IndignationCette indignation est d'autant plus forte que lors de leurs rencontres à Taipei, les 20 membres de la délégation avaient reçu l'assurance en personne du président Ma Ying-jeou que son gouvernement faisait tout ce qui était en son pouvoir pour «réduire le nombre des exécutions» même si le chef de l'exécutif a clairement indiqué que son pays «maintenait la peine de mort, la majorité de la population y étant favorable» selon les enquêtes d'opinion. Il a justifié en substance la politique rétentionniste de Taïwan par le fait qu'il n'existait pas de peine de perpétuité dans le code pénal et que l'abolition du châtiment suprême soit perçue par la population comme un encouragement à la criminalité. trench burberry enfant pas cher Le chef de l'Etat, membre du parti nationaliste Kuomintang, a toutefois éludé une question de la présidente de la Coalition, Florence Bellivier, sur le fait qu'il n'usait pas son droit de grâce. Un oubli symbolique qui visiblement n'était pas dû au hasard, puisque le très sémillant président devait être informé des exécutions en préparation au moment de la rencontre avec la délégation de la Coalition.Taïwan avait observé de facto un moratoire de 2005 à 2010 avant de reprendre les exécutions en décembre 2012 en passant par les armes six condamnés à mort, contre cinq en 2011 et quatre en 2010.En général, ces exécutions surviennent au moment oùun crime fait la une de l'actualité dans ce pays où une majorité des magistrats sont favorables à la peine capitale.Cette reprise massive, aussi bien qu'inattendue, des exécutions fait évidemment craindre à la Coalition pour le sort des quelques 70 condamnés taïwanais qui se trouvent dans les couloirs de la mort, dont une trentaine dans le centre de détention de Taipei, prison visité par la délégation de la Coalition.Des cas emblématiquesDeux cas emblématiques, celui de Chiou Ho-shun et celui de Cheng Hsin-tze, ont plus particulièrement retenu l'attention des membres de la Coalition.Chiou Ho-Shun, dont le cas présente beaucoup de similitudes avec celui du journaliste noir américain Mumia Abu Jamal. trench coat burberry pas cher
  Il estdans le couloir de la mort à Taipei depuis plus de 25 ans. Il a été condamné à mort accusé d'avoir tué un enfant de neuf ans en 1987 et d'avoir enlevé une femme. M. Chiou clame depuis 1988 son innocence affirmant que ses aveux lui ont été extorqués sous la torture par la police. Une association taïwanaise a pris sa défense et avec le soutien d'Amnesty international, une centaine de milliers de signatures ont été recueillies au plan international pour exiger un nouveau procès pour M. Chiou. Ce dernier a formellement épuisé tous ses recours judiciaires, son appel ayant été rejeté en juillet 2011 par laCour Suprême. trench burberry pas cher soldes «Son cas est urgent, car il peut être exécuté d'un instant à l'autre», a souligné Samuel Huang, le responsable du comité de défense de Chiou Ho-shun. Jacky Hortaut, animateur du Collectif français de soutien à Mumia Abu Jamal et dirigeantde la Coalition mondiale, a interpellé le président Ma qui s'est borné à indiquer qu'un nouveau procès avait été demandé par ses défenseurs. Le vice-ministre de la justice Chen Huan Wu a tenu les mêmes propos sans fournir plus de détails.Les droits de l'Homme en questionLa délégation de la Coalition mondiale avisité le centre de détention de Taipei, le plus grand centre pénitentiare de l'Ile qui abrite trois mille détenus pour 2100 places. Certaines cellules sont surpeuplées avec de 8 à 9 prisonniers, ce qui se traduit par une surface disponible de 1,5 m2 par détenu. Les prisonniers dorment à même le sol avec une couverture pour tout matelas. Un système d'alerte existe en cas d'urgence dans chacune des cellules qui sont placées sous surveillance vidéo. trench coat burberry femme
  Les condamnés travaillent dans plusieurs ateliers, pâtisserie, horticulture et travaux divers. Ils reçoivent un salaire mensuel de quelques 2000 dollars taiwanais (moins de 50 euros). Les pâtisseries fabriquées en prison sont vendues dans le commerce et les bénéfices sont répartis entre les détenus, la prison et un fonds de compensation pour les victimes. Les détenus, qui sont vêtus d'un uniforme vert, crâne rasé, peuvent s'entretenir librement avec leurs avocats. Ils ont le droit à une visite de proches une fois par semaine. Ils peuvent égalementtéléphoner mais seulement sur justification, les conversations sont sur écoute.Les prisonniers peuvent pratiquer un sport, notamment le basket sur des petits terrains qui séparent deux rangées de bâtiments abritant les cellules.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Ce qui a, fort heureusement, fait bondir non seulement des syndicalistes et des hommes et femmes politiques de gauche, mais aussi des intellectuels. Le philosophe Jürgen Habermas accuse ainsi la chancelière de vouloir faire sombrer l'Allemagne et l'UE dans une ère postdémocratique, non pas une dictature, précise-t-il, mais un régime sous surveillance où les décisions les plus importantes sont confisquées par des « experts » patronaux ou des technocrates. B. O.Sélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.Le couloir de la mort de la prison de Changhua, à Taiwan Taipei, correspondance. Taïwan a osé: six condamnés à mort ont été exécutés par balles (le 19 avril) quelques heures seulement aprèsla visite d'une délégation de la Coalition mondiale contre la peine demort, rassemblant 144 ONG, à Taipei où elle avait appelé sans relâche les autorités à mettre un terme à l'exercice de ces pratiques barbares. <a title="trench burberry homme pas cher" href="http://www.valegangas.com/" rel="nofollow">trench burberry homme pas cher</a> <br /> La Coalition a instamment réagi à cette provocation en se déclarant «horrifiée» par la nouvelle qui «constitue un mauvais message à la communauté internationale» dans un communiqué publié sur son site. "Le Président Ma a eu une attitude arrogante et n'a pas fait montre d'une volonté d'écouter l'appel lancé par les représentants de la Coalition mondiale" a déclaréM. Hei-Yuan Chiu le président de l'organisation abolitionniste taïwanaiseTAEDP (Alliance taïwanaise pour l'abolition de la peine de mort)."Les dirigeants de ce pays s'abritent derrière l'opinion publique pour justifier les exécutions. Le Président Ma et sesministres qui ont reçu la délégation de la Coalitionn'osent pas dire clairement qu'ils sont favorables à la peine de mort, en affirmanthypocritement qu'ils mettront un terme à ce châtiment sans donner de limite dans le temps", a-t-il ajouté.IndignationCette indignation est d'autant plus forte que lors de leurs rencontres à Taipei, les 20 membres de la délégation avaient reçu l'assurance en personne du président Ma Ying-jeou que son gouvernement faisait tout ce qui était en son pouvoir pour «réduire le nombre des exécutions» même si le chef de l'exécutif a clairement indiqué que son pays «maintenait la peine de mort, la majorité de la population y étant favorable» selon les enquêtes d'opinion. Il a justifié en substance la politique rétentionniste de Taïwan par le fait qu'il n'existait pas de peine de perpétuité dans le code pénal et que l'abolition du châtiment suprême soit perçue par la population comme un encouragement à la criminalité. <a title="trench burberry enfant pas cher" href="http://www.valegangas.com/" rel="nofollow">trench burberry enfant pas cher</a> Le chef de l'Etat, membre du parti nationaliste Kuomintang, a toutefois éludé une question de la présidente de la Coalition, Florence Bellivier, sur le fait qu'il n'usait pas son droit de grâce. Un oubli symbolique qui visiblement n'était pas dû au hasard, puisque le très sémillant président devait être informé des exécutions en préparation au moment de la rencontre avec la délégation de la Coalition.Taïwan avait observé de facto un moratoire de 2005 à 2010 avant de reprendre les exécutions en décembre 2012 en passant par les armes six condamnés à mort, contre cinq en 2011 et quatre en 2010.En général, ces exécutions surviennent au moment oùun crime fait la une de l'actualité dans ce pays où une majorité des magistrats sont favorables à la peine capitale.Cette reprise massive, aussi bien qu'inattendue, des exécutions fait évidemment craindre à la Coalition pour le sort des quelques 70 condamnés taïwanais qui se trouvent dans les couloirs de la mort, dont une trentaine dans le centre de détention de Taipei, prison visité par la délégation de la Coalition.Des cas emblématiquesDeux cas emblématiques, celui de Chiou Ho-shun et celui de Cheng Hsin-tze, ont plus particulièrement retenu l'attention des membres de la Coalition.Chiou Ho-Shun, dont le cas présente beaucoup de similitudes avec celui du journaliste noir américain Mumia Abu Jamal. <a title="trench coat burberry pas cher" href="http://www.valegangas.com/" rel="nofollow">trench coat burberry pas cher</a> <br /> Il estdans le couloir de la mort à Taipei depuis plus de 25 ans. Il a été condamné à mort accusé d'avoir tué un enfant de neuf ans en 1987 et d'avoir enlevé une femme. M. Chiou clame depuis 1988 son innocence affirmant que ses aveux lui ont été extorqués sous la torture par la police. Une association taïwanaise a pris sa défense et avec le soutien d'Amnesty international, une centaine de milliers de signatures ont été recueillies au plan international pour exiger un nouveau procès pour M. Chiou. Ce dernier a formellement épuisé tous ses recours judiciaires, son appel ayant été rejeté en juillet 2011 par laCour Suprême. <a title="trench burberry pas cher soldes" href="http://www.valegangas.com/" rel="nofollow">trench burberry pas cher soldes</a> «Son cas est urgent, car il peut être exécuté d'un instant à l'autre», a souligné Samuel Huang, le responsable du comité de défense de Chiou Ho-shun. Jacky Hortaut, animateur du Collectif français de soutien à Mumia Abu Jamal et dirigeantde la Coalition mondiale, a interpellé le président Ma qui s'est borné à indiquer qu'un nouveau procès avait été demandé par ses défenseurs. Le vice-ministre de la justice Chen Huan Wu a tenu les mêmes propos sans fournir plus de détails.Les droits de l'Homme en questionLa délégation de la Coalition mondiale avisité le centre de détention de Taipei, le plus grand centre pénitentiare de l'Ile qui abrite trois mille détenus pour 2100 places. Certaines cellules sont surpeuplées avec de 8 à 9 prisonniers, ce qui se traduit par une surface disponible de 1,5 m2 par détenu. Les prisonniers dorment à même le sol avec une couverture pour tout matelas. Un système d'alerte existe en cas d'urgence dans chacune des cellules qui sont placées sous surveillance vidéo. <a title="trench coat burberry femme" href="http://www.valegangas.com/" rel="nofollow">trench coat burberry femme</a> <br /> Les condamnés travaillent dans plusieurs ateliers, pâtisserie, horticulture et travaux divers. Ils reçoivent un salaire mensuel de quelques 2000 dollars taiwanais (moins de 50 euros). Les pâtisseries fabriquées en prison sont vendues dans le commerce et les bénéfices sont répartis entre les détenus, la prison et un fonds de compensation pour les victimes. Les détenus, qui sont vêtus d'un uniforme vert, crâne rasé, peuvent s'entretenir librement avec leurs avocats. Ils ont le droit à une visite de proches une fois par semaine. Ils peuvent égalementtéléphoner mais seulement sur justification, les conversations sont sur écoute.Les prisonniers peuvent pratiquer un sport, notamment le basket sur des petits terrains qui séparent deux rangées de bâtiments abritant les cellules.</div>

  ...

  Cancel

To Top