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Longchamp
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bifeng4
on 22 Nov 14
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bifeng4
on 22 Nov 14
27"Nos soldats méritent une véritable stratégie pour résoudre la crise qui se poursuit", atil dit, en renouvelant son appel pour un plus grand engagement de soldats sous le contrôle des Nations unies et une réduction du nombre de militaires américains. Le Nouvel Observateur Tous droits réservés. nouvelobs.com est une marque exclusive du NouvelObservateurUn site du groupe Nouvel ObservateurL'actualité politique, économique, sociale du jour en France et à l'international est sur le Nouvel ObservateurUn ancien président taïwanais a affirmé qu'il avait accepté l'achat des frégates françaises dans les années parce qu'il redoutait un coup d'État fomenté contre lui par les hauts officiers impliqués dans cette affaire de corruption, selon des informations publiées ce mardi dans la presse taïwanaise. L'ancien président Lee Tenghui a fait ces déclarations aux enquêteurs gouvernementaux à la fin de l'année dernière, affirme le United Daily News qui ajoute avoir obtenu la transcription de l'interrogatoire. Lee Tenghui a affirmé que le chef d'étatmajor de l'époque, Hau Peitsun, n'avait pas tenu compte des règles concernant l'achat des matériels militaires lors de l'achat des six frégates Lafayette françaises à Thomson.Le président n'a alors pas osé empêcher Hau Peitsun de transformer l'achat prévu de frégates sudcoréennes en un contrat avec la France.
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polo lacoste rose pas cherSilence"Ils avaient déjà pris leur décision. Comment auraisje pu refuser? Si je l'avais fait, il y aurait eu un coup d'État", a déclaré Lee Tenghui, selon le journal. "Tout ce que je pouvais faire, c'était garder le silence. Si c'était ce qu'il (Hau) voulait, je ne pouvais rien y faire". Mardi pourtant, Louis Chao, membre de la commission de la commission d'enquête a affirmé qu'aucun enquêteur ne se souvenait que Lee Tenghui avait parlé d'un possible "coup d'État" lors de son interrogatoire. Ni Lee Tenghui ni Hau Peitsui n'ont pu être joints mardi. Selon un précédent rapport des enquêteurs, les frégates ont été surfacturées.
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polo lacoste rouge pas cher Elles ont coûté en tout , milliards d'euros à Taïwan, soit près du double du montant initialement prévu. Lee Tenghui avait pris ses fonctions en , alors que le pays en était au début de sa démocratisation. Il était affaibli par ses liens étroits avec les militaires. Cité par le journal, Hau Peitsui affirme que l'ancien président tente de se disculper. Hau Peitsui, qui est devenu plus tard Premier ministre déclare qu'il n'y a jamais eu de menace de coup d'Etat, et que les archives montrent clairement que Lee Tenghui ne s'est jamais opposé à l'achat des frégates. ScandaleLe scandale avait éclaté en après la mort du capitaine Yin Chingfeng, qui aurait été tué parce qu'il s'apprêtait à révéler que ses collègues avaient illégalement touché des commissions sur la vente des frégates Lafayette et sur d'autres contrats. Sous la présidence de Lee, l'enquête avait été arrêtée par manque de preuve, avant de reprendre après la dernière élection présidentielle de .
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polo lacoste blanc pas cherSix anciens officiers de la Marine coréenne qui ont travaillé sous les ordres de Hau Peitsui sont actuellement jugés pour avoir surestimé le prix des frégates. Le Nouvel Observateur Tous droits réservés. nouvelobs.com est une marque exclusive du NouvelObservateurUn site du groupe Nouvel ObservateurL'actualité politique, économique, sociale du jour en France et à l'international est sur le Nouvel ObservateurWASHINGTON (AFP) Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a déclaré vendredi que les EtatsUnis pensaient détenir une "preuve solide" de l'utilisation d'armes chimiques par le régime syrien.Au cours d'un dialogue avec des internautes organisé par Google+, la télévision NBC News et le département d'Etat, M. Kerry a dénoncé les "choix terribles qu'a faits le régime (du président syrien Bachar al)Assad par sa volonté de tuer entre . et .
27"Nos soldats méritent une véritable stratégie pour résoudre la crise qui se poursuit", atil dit, en renouvelant son appel pour un plus grand engagement de soldats sous le contrôle des Nations unies et une réduction du nombre de militaires américains. Le Nouvel Observateur Tous droits réservés. nouvelobs.com est une marque exclusive du NouvelObservateurUn site du groupe Nouvel ObservateurL'actualité politique, économique, sociale du jour en France et à l'international est sur le Nouvel ObservateurUn ancien président taïwanais a affirmé qu'il avait accepté l'achat des frégates françaises dans les années parce qu'il redoutait un coup d'État fomenté contre lui par les hauts officiers impliqués dans cette affaire de corruption, selon des informations publiées ce mardi dans la presse taïwanaise. L'ancien président Lee Tenghui a fait ces déclarations aux enquêteurs gouvernementaux à la fin de l'année dernière, affirme le United Daily News qui ajoute avoir obtenu la transcription de l'interrogatoire. Lee Tenghui a affirmé que le chef d'étatmajor de l'époque, Hau Peitsun, n'avait pas tenu compte des règles concernant l'achat des matériels militaires lors de l'achat des six frégates Lafayette françaises à Thomson.Le président n'a alors pas osé empêcher Hau Peitsun de transformer l'achat prévu de frégates sudcoréennes en un contrat avec la France.
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