Aux Seychelles, le danger est pris au sérieux, puisque déjà 2 000 personnes ont été contaminées dans le mois de janvier. Et une autre île de l'océan Indien semble touchée. Madagascar a en effet vu une quinzaine de patients venir se plaindre dans les hôpitaux malgaches, présentant les symptômes de la maladie de « celui qui marche courbé » (la traduction littérale du terme swahili « chikungunya »). Forte fièvre, éruptions cutanées, courbatures dans les articulations sans traitement médicamenteux ni vaccin existants.Un nouveau cas en métropoleLe territoire français pourrait avoir connu son premier cas, jeudi, avec l'hospitalisation à Blois d'une femme de 51 ans, de retour de vacances à la Réunion. Les résultats des examens qu'elle a subit seront connus la semaine prochaine. Un cas de chikungunya avait déjà été déclaré le 11 janvier dernier, dans le Loir-et-Cher. survetement lacoste neuf De son côté, Ali Larijani, le principal dirigeant iranien chargé du nucléaire rappelait, la veille, qu'une telle décision pousserait l'Iran à «reprendre toutes ses activités nucléaires suspendues, sans aucune restriction». Avec, dans la foulée, l'expulsion des inspecteurs, qui enquêtent sur le territoire iranien depuis 2003, et le retrait des caméras de surveillance posées dans les sites sensibles. Autrement dit : le «black-out» total sur les activités iraniennes.Personne, bien sûr, n'aimerait en arriver là. Car si, comme vient de le rappeler John Negroponte, le chef du renseignement américain, «l'Iran ne possède probablement pas l'arme nucléaire», les cachotteries de la République islamique dont le programme est resté clandestin pendant presque 20 ans inquiètent la communauté internationale. A Vienne, tout le monde ose espérer que d'ici à la prochaine réunion du Conseil des gouverneurs de l'AIEA, prévue le 6 mars, Téhéran finira par accepter la proposition russe et évitera de s'isoler.Si l'Iran refuse aujourd'hui de céder, c'est parce que les pressions qui pèsent sur lui demeurent, aux yeux de ses dirigeants, largement limitées. survetement lacoste noir Cet enchevêtrement complexe impossible à défaire a irrévocablement façonné l'histoire des deux pays dans une étoffe indéchirable. Deux pays forcés «à s'entendre l'un avec l'autre», sous peine d'engendrer des déchirements internes douloureux.;La mixité franco-algérienne doit être reconnue et déboucher rapidement sur une alliance stratégique, structurée, et dense, car et c'est le deuxième pilier c'est l'intérêt mutuel des deux pays. La France doit se projeter dans ce que sera le Maghreb dans quelques années seulement : 100 millions de personnes, le premier locuteur de notre langue nationale, un terrain privilégié de rayonnement, un partenaire central à tous les niveaux. Cette collaboration géopolitique est absolument vitale pour la France, dans une région du monde qui sera sans doute la seule où elle aura quelque influence et pourra défendre son rang de puissance. Cette alliance s'impose aussi comme une pièce maîtresse de l'Union du Maghreb arabe, et le maillon essentiel d'une alliance plus large entre l'Europe et le Maghreb.;Pour ces raisons, comme beaucoup de Français, je soutiens la décision du président de la République de faire abroger l'article incriminé. survetement lacoste junior Profitons de cette décision pour mettre un terme à la guerre des mémoires qui empoisonne les relations entre les deux pays. Je suis convaincu qu'elle nous permettra de commémorer le fait colonial sans passions déplacées, comme une douleur dont la mémoire ne doit pas affecter l'avenir.;Reconnaître son passé, c'est faire émerger les pages sombres qui y ont été enfouies, occultées, non pour se repentir ou s'enorgueillir, mais pour les partager. Ce sera possible lorsque sera établi un vaste champ de coopération politique qui traitera ainsi de notre histoire commune. Villes jumelées, échanges scolaires ou universitaires, programmes de langues, rédaction d'un manuel d'histoire en commun, comme ce sera bientôt le cas entre la France et l'Allemagne : les projets potentiels ne manquent pas. L'alliance franco-algérienne devra inclure une dimension politique et stratégique, animée par les institutions, enrichie par la contribution des sociétés civiles, et en particulier les historiens.;* Président de la convention laïque pour l'égalité et auteur de La Discrimination positive Pourquoi la France ne peut y échapper, aux Editions Calmann-Lévy.
De son côté, Ali Larijani, le principal dirigeant iranien chargé du nucléaire rappelait, la veille, qu'une telle décision pousserait l'Iran à «reprendre toutes ses activités nucléaires suspendues, sans aucune restriction». Avec, dans la foulée, l'expulsion des inspecteurs, qui enquêtent sur le territoire iranien depuis 2003, et le retrait des caméras de surveillance posées dans les sites sensibles. Autrement dit : le «black-out» total sur les activités iraniennes.Personne, bien sûr, n'aimerait en arriver là. Car si, comme vient de le rappeler John Negroponte, le chef du renseignement américain, «l'Iran ne possède probablement pas l'arme nucléaire», les cachotteries de la République islamique dont le programme est resté clandestin pendant presque 20 ans inquiètent la communauté internationale. A Vienne, tout le monde ose espérer que d'ici à la prochaine réunion du Conseil des gouverneurs de l'AIEA, prévue le 6 mars, Téhéran finira par accepter la proposition russe et évitera de s'isoler.Si l'Iran refuse aujourd'hui de céder, c'est parce que les pressions qui pèsent sur lui demeurent, aux yeux de ses dirigeants, largement limitées. survetement lacoste noir Cet enchevêtrement complexe impossible à défaire a irrévocablement façonné l'histoire des deux pays dans une étoffe indéchirable. Deux pays forcés «à s'entendre l'un avec l'autre», sous peine d'engendrer des déchirements internes douloureux.;La mixité franco-algérienne doit être reconnue et déboucher rapidement sur une alliance stratégique, structurée, et dense, car et c'est le deuxième pilier c'est l'intérêt mutuel des deux pays. La France doit se projeter dans ce que sera le Maghreb dans quelques années seulement : 100 millions de personnes, le premier locuteur de notre langue nationale, un terrain privilégié de rayonnement, un partenaire central à tous les niveaux. Cette collaboration géopolitique est absolument vitale pour la France, dans une région du monde qui sera sans doute la seule où elle aura quelque influence et pourra défendre son rang de puissance. Cette alliance s'impose aussi comme une pièce maîtresse de l'Union du Maghreb arabe, et le maillon essentiel d'une alliance plus large entre l'Europe et le Maghreb.;Pour ces raisons, comme beaucoup de Français, je soutiens la décision du président de la République de faire abroger l'article incriminé. survetement lacoste junior
Profitons de cette décision pour mettre un terme à la guerre des mémoires qui empoisonne les relations entre les deux pays. Je suis convaincu qu'elle nous permettra de commémorer le fait colonial sans passions déplacées, comme une douleur dont la mémoire ne doit pas affecter l'avenir.;Reconnaître son passé, c'est faire émerger les pages sombres qui y ont été enfouies, occultées, non pour se repentir ou s'enorgueillir, mais pour les partager. Ce sera possible lorsque sera établi un vaste champ de coopération politique qui traitera ainsi de notre histoire commune. Villes jumelées, échanges scolaires ou universitaires, programmes de langues, rédaction d'un manuel d'histoire en commun, comme ce sera bientôt le cas entre la France et l'Allemagne : les projets potentiels ne manquent pas. L'alliance franco-algérienne devra inclure une dimension politique et stratégique, animée par les institutions, enrichie par la contribution des sociétés civiles, et en particulier les historiens.;* Président de la convention laïque pour l'égalité et auteur de La Discrimination positive Pourquoi la France ne peut y échapper, aux Editions Calmann-Lévy.
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