Selon des témoins et des résidents du village de Zarzour, majoritairement sunnite, les troupes régulières utilisaient le lieu de culte chiite à des fins militaires avant que les rebelles ne s'emparent du village, rapporte HRW. L'un des combattants annonce la ??destruction des repaires des chiites et des rafida??, terme désignant cette minorité. Le vol serait le mobile du pillage de deux églises dans la région de Lattaquié par des rebelles sunnites.La ?force africaine? promise par les pays voisins du Mali peine toujours à prendre forme, presque deux semaines après le déclenchement de l'intervention fran?aise. L'obstacle est surtout financier. ?L'objectif, c'est de permettre à la force internationale, la Misma, de prendre le relais pour permettre au Mali de retrouver son intégrité territoriale et nous savons que cela prendra encore du temps.?? De l'aveu même de Fran?ois Hollande, la ??force africaine?? promise par les pays voisins du Mali peine toujours à prendre forme, presque deux semaines après le déclenchement de l'intervention fran?aise. sac a main vanessa bruno pas cher Loin des promesses de la Cedeao (Lire : La Cedeao sur le pied de guerre), qui assure vouloir ??accélérer?? le déploiement de troupes ouest-africaines, seuls 200soldats de la future Mission internationale de soutien au Mali (Misma), selon un décompte de l'AFP, étaient effectivement arrivés à Bamako lundi. Ils devraient être rejoints dans les jours qui viennent par 150Burkinabés ??en route pour le Mali??, sur les 500 promis par Ouagadougou. Même avec ce contingent, on reste très en de?à du chiffre avancé par le ministère fran?ais de la Défense, qui évoquait lundi les ??830 soldats nigérians, nigériens, togolais et béninois?? ayant rejoint Bamako depuis le 17?janvier.Depuis le début de la crise malienne, l'implication militaire des pays de la Cedeao balance entre menaces, promesses et atermoiements. ??La prudence de l'organisation ouest-africaine est sans doute dictée par les difficultés logistiques qu'elle aurait à déployer une force militaire??, analysait le chercheur Albert Bourgi en novembre dernier, dans la revue Questions internationales. Prévue par la résolution 2085 du 21?décembre 2012, la Misma ne devait pas être opérationnelle avant plusieurs mois. Mais c'est surtout l'obstacle financier qui freine aujourd'hui l'engagement militaire des pays voisins du Mali. Soldes Sac Vanessa Bruno Pas cher ? Nos armées sont mal organisées, elles n'ont pas l'expérience d'interventions extérieures. Mais surtout, sortir 500hommes, cela co?te beaucoup d'argent et pour l'instant, personne n'est prêt à mettre la main à la poche, résume un diplomate ouest-africain. Les états ne veulent pas s'engager. Tout le monde attend la conférence des donateurs qui se tiendra le 29?janvier en marge du sommet de l'UA, à Addis-Abeba.?? Samedi, à Abidjan, au sommet de la Cedeao auquel participait le chef de la diplomatie fran?aise, Laurent Fabius, le financement de cette force internationale occupait toutes les discussions. Initialement évalué entre 150 et 200?millions d'euros, il pourrait en fait atteindre les 375?millions d'euros, les effectifs de la Misma devant atteindre à terme, sur le papier, 5 000soldats. Et pour l'instant, seule l'Union européenne a décidé de s'engager financièrement, à hauteur de 50?millions d'euros. Sac Vanessa Bruno Cuir pas cher Toujours seule en première ligne avec une armée malienne dépenaillée, sans troupes africaines auxquelles ??apporter son appui??, la France fait désormais grand cas de la promesse tchadienne d'envoyer 2 000hommes sur le front malien. En réalité, seuls 200Tchadiens, jusque-là prépositionnés à Niamey, se dirigeaient hier vers la frontière malienne. ??Le Tchad commence certes à bénéficier de ses ressources pétrolières, mais de là à projeter 2 000soldats au Mali… Ce pays ne peut assumer seul une telle charge??, commente ce même diplomate ouest-africain.Autre défi, celui de la formation des soldats appelés à participer à la Misma. Dans les années 1990, au Liberia, l'intervention d'une force ouest-africaine, l'écomog, dominée par le Nigeria, avait laissé de mauvais souvenirs, contribuant à renforcer la crise plut?t qu'à l'apaiser. Au Mali, où les risques d'enlisement sont sérieux, la France, par sa participation, serait de fait comptable d'éventuelles exactions. Pressée par Paris de s'engager plus nettement, l'Union européenne assumera une mission de formation des soldats maliens.
Loin des promesses de la Cedeao (Lire : La Cedeao sur le pied de guerre), qui assure vouloir ??accélérer?? le déploiement de troupes ouest-africaines, seuls 200soldats de la future Mission internationale de soutien au Mali (Misma), selon un décompte de l'AFP, étaient effectivement arrivés à Bamako lundi. Ils devraient être rejoints dans les jours qui viennent par 150Burkinabés ??en route pour le Mali??, sur les 500 promis par Ouagadougou. Même avec ce contingent, on reste très en de?à du chiffre avancé par le ministère fran?ais de la Défense, qui évoquait lundi les ??830 soldats nigérians, nigériens, togolais et béninois?? ayant rejoint Bamako depuis le 17?janvier.Depuis le début de la crise malienne, l'implication militaire des pays de la Cedeao balance entre menaces, promesses et atermoiements. ??La prudence de l'organisation ouest-africaine est sans doute dictée par les difficultés logistiques qu'elle aurait à déployer une force militaire??, analysait le chercheur Albert Bourgi en novembre dernier, dans la revue Questions internationales. Prévue par la résolution 2085 du 21?décembre 2012, la Misma ne devait pas être opérationnelle avant plusieurs mois. Mais c'est surtout l'obstacle financier qui freine aujourd'hui l'engagement militaire des pays voisins du Mali. Soldes Sac Vanessa Bruno Pas cher ? Nos armées sont mal organisées, elles n'ont pas l'expérience d'interventions extérieures. Mais surtout, sortir 500hommes, cela co?te beaucoup d'argent et pour l'instant, personne n'est prêt à mettre la main à la poche, résume un diplomate ouest-africain. Les états ne veulent pas s'engager. Tout le monde attend la conférence des donateurs qui se tiendra le 29?janvier en marge du sommet de l'UA, à Addis-Abeba.?? Samedi, à Abidjan, au sommet de la Cedeao auquel participait le chef de la diplomatie fran?aise, Laurent Fabius, le financement de cette force internationale occupait toutes les discussions. Initialement évalué entre 150 et 200?millions d'euros, il pourrait en fait atteindre les 375?millions d'euros, les effectifs de la Misma devant atteindre à terme, sur le papier, 5 000soldats. Et pour l'instant, seule l'Union européenne a décidé de s'engager financièrement, à hauteur de 50?millions d'euros. Sac Vanessa Bruno Cuir pas cher
Toujours seule en première ligne avec une armée malienne dépenaillée, sans troupes africaines auxquelles ??apporter son appui??, la France fait désormais grand cas de la promesse tchadienne d'envoyer 2 000hommes sur le front malien. En réalité, seuls 200Tchadiens, jusque-là prépositionnés à Niamey, se dirigeaient hier vers la frontière malienne. ??Le Tchad commence certes à bénéficier de ses ressources pétrolières, mais de là à projeter 2 000soldats au Mali… Ce pays ne peut assumer seul une telle charge??, commente ce même diplomate ouest-africain.Autre défi, celui de la formation des soldats appelés à participer à la Misma. Dans les années 1990, au Liberia, l'intervention d'une force ouest-africaine, l'écomog, dominée par le Nigeria, avait laissé de mauvais souvenirs, contribuant à renforcer la crise plut?t qu'à l'apaiser. Au Mali, où les risques d'enlisement sont sérieux, la France, par sa participation, serait de fait comptable d'éventuelles exactions. Pressée par Paris de s'engager plus nettement, l'Union européenne assumera une mission de formation des soldats maliens.
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