Solde Sac Longchamp Pas Cher Carc - 0 views

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  #1 thenorth321 thenorth321 on 21 Jul 14

   

  Ils lui auraient dicté ses choix politiques ; mais on ne peut pas l'affirmer de manière certaine. Et quand Günter Grass c'était en passa une saison à Calcutta, hôte du gouvernement indien local, il en fit un livre, trop peu lu, absolument méprisant pour les Indiens ; ceuxlà apparaissent dans l'ouvrage tels une race inférieure. Un ouvrage au goût étrange. Mais les dessins de Günter Grass qui l'illustrent sont splendides, démonstration là encore de la discordance entre le talent immense et la morale déserte.Considérer Günter Grass comme une autorité morale, ou comme l'esprit libre par excellence, c'était donc une erreur évitable, sans qu'il fut nécessaire d'attendre la révélation de sa double vie. Une erreur qui a tout de même épargné la nongauche allemande. Jamais la nongauche ne sanctifia Günter Grass : non parce qu'il se disait de gauche mais parce qu'il avait tort, tort contre la réalité de son temps et de son peuple. sac longchamp pliage noir
  sac longchamp pliage noirÀ ceux qui, aujourd'hui en Allemagne et hors d'Allemagne, confessent leur myopie, leur erreur de jugement ou tentent de les justifier, rappelons qu'il était possible de ne pas plonger dans le fétichisme de Grass. Ni en Allemagne ni dans le reste de l'Europe : tous n'ont pas plongé. Malgré le Prix Nobel de littérature Ou en raison, peutêtre, du Prix Nobel, prix au pedigree douteux, si souvent. L'erreur et le suivisme n'étaient pas indispensables, ils ne le sont jamais.Günter Grass, une affaire allemande Certes, les SS, ce n'est que l'Allemagne. Mais, comment s'interdire de songer à cette génération entière d'intellectuels et d'artistes en Europe, en France surtout, autoproclamée de gauche au point que le mot ne fait plus sens , qui n'ont cessé d'adopter des postures morales tout en illustrant des causes absolument immorales Comment ne pas voir surgir des spectres : ceux qui hier, ont aimé Staline et Mao Et bientôt, vont pleurer Castro Ceux qui n'ont rien vu à Moscou, Pékin, La Havane, Téhéran, Sarajevo, et Billancourt Ceux qui, maintenant, devinent dans l'islamisme une rédemption de l'ccident Cette grande armée des spectres, de l'erreur absolue, dieu merci, elle n'a jamais cessé de se tromper d'avenir. La déchéance de Günter Grass sonnetelle le glas de l'imposture sculptée en conscience morale À regret, sans doute pas. Solde Sac Longchamp Pas Cher Solde Sac Longchamp Pas Cher Car, pardelà ce cas singulier, on ne se méfie pas assez du grand écrivain et de la star dès qu'ils abusent de leur séduction pour propager des opinions politiques, seulement politiques, mais déguisées autrement. On ne se demande pas assez si la posture médiatique est dictée par la connaissance. Ou par le narcissisme, la mode, le goût du scandale et l'intérêt financier. On se garde de l'homme politique, l'élu démocratique, beaucoup trop puisqu'il avance à découvert. On ne se garde pas assez, en revanche, de l'artiste quand son talent le dissimule, surtout quand le talent est grand : des magiciens, grimés en moralistes, on ne se méfie jamais assez. DÉJÀ JUGÉ pour le meurtre de chiites à Doujaïl, dans les années , Saddam Hussein doit répondre depuis hier de «génocide» contre les Kurdes devant le Haut Tribunal pénal irakien. Le dossier judiciaire porte sur le massacre de dizaines de milliers de Kurdes, en et , lors d'une opération baptisée «alAnfal» par le régime. Sac Longchamp Pliage Solde
  Sac Longchamp Pliage SoldePlus de villages avaient été détruits et des déplacements massifs de population organisés. Ali Hassan alMajid, dit «Ali le Chimique», le cousin de Saddam à la sinistre réputation, figure lui aussi avec cinq autres complices sur le banc des accusés. La cour, qui siège dans un bâtiment de la zone verte ultrasécurisée de Bagdad, est présidée par le juge chiite Abdallah alAmeri. Lors de la première audience, Saddam comme il en a pris l'habitude a accusé le magistrat de s'exprimer au nom des forces américaines. L'exdictateur a refusé de plaider coupable ou non coupable, de même que les autres accusés. Le juge a considéré qu'il s'agissait d'un plaider non coupable. «Vous êtes ici au nom de l'occupant, pas au nom de l'Irak.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Ils lui auraient dicté ses choix politiques ; mais on ne peut pas l'affirmer de manière certaine. Et quand Günter Grass c'était en passa une saison à Calcutta, hôte du gouvernement indien local, il en fit un livre, trop peu lu, absolument méprisant pour les Indiens ; ceuxlà apparaissent dans l'ouvrage tels une race inférieure. Un ouvrage au goût étrange. Mais les dessins de Günter Grass qui l'illustrent sont splendides, démonstration là encore de la discordance entre le talent immense et la morale déserte.Considérer Günter Grass comme une autorité morale, ou comme l'esprit libre par excellence, c'était donc une erreur évitable, sans qu'il fut nécessaire d'attendre la révélation de sa double vie. Une erreur qui a tout de même épargné la nongauche allemande. Jamais la nongauche ne sanctifia Günter Grass : non parce qu'il se disait de gauche mais parce qu'il avait tort, tort contre la réalité de son temps et de son peuple. <a title="sac longchamp pliage noir" rel="nofollow" href="http://www.alphapack.fr/saclongchamppascher/sac-longchamp-pliage-soldes-pas-cher/">sac longchamp pliage noir</a> <br /> sac longchamp pliage noirÀ ceux qui, aujourd'hui en Allemagne et hors d'Allemagne, confessent leur myopie, leur erreur de jugement ou tentent de les justifier, rappelons qu'il était possible de ne pas plonger dans le fétichisme de Grass. Ni en Allemagne ni dans le reste de l'Europe : tous n'ont pas plongé. Malgré le Prix Nobel de littérature Ou en raison, peutêtre, du Prix Nobel, prix au pedigree douteux, si souvent. L'erreur et le suivisme n'étaient pas indispensables, ils ne le sont jamais.Günter Grass, une affaire allemande Certes, les SS, ce n'est que l'Allemagne. Mais, comment s'interdire de songer à cette génération entière d'intellectuels et d'artistes en Europe, en France surtout, autoproclamée de gauche au point que le mot ne fait plus sens , qui n'ont cessé d'adopter des postures morales tout en illustrant des causes absolument immorales Comment ne pas voir surgir des spectres : ceux qui hier, ont aimé Staline et Mao Et bientôt, vont pleurer Castro Ceux qui n'ont rien vu à Moscou, Pékin, La Havane, Téhéran, Sarajevo, et Billancourt Ceux qui, maintenant, devinent dans l'islamisme une rédemption de l'ccident Cette grande armée des spectres, de l'erreur absolue, dieu merci, elle n'a jamais cessé de se tromper d'avenir. La déchéance de Günter Grass sonnetelle le glas de l'imposture sculptée en conscience morale À regret, sans doute pas. <a title="Solde Sac Longchamp Pas Cher" rel="nofollow" href="http://www.alphapack.fr/saclongchamppascher/sac-longchamp-pliage-soldes-pas-cher/">Solde Sac Longchamp Pas Cher</a> Solde Sac Longchamp Pas Cher Car, pardelà ce cas singulier, on ne se méfie pas assez du grand écrivain et de la star dès qu'ils abusent de leur séduction pour propager des opinions politiques, seulement politiques, mais déguisées autrement. On ne se demande pas assez si la posture médiatique est dictée par la connaissance. Ou par le narcissisme, la mode, le goût du scandale et l'intérêt financier. On se garde de l'homme politique, l'élu démocratique, beaucoup trop puisqu'il avance à découvert. On ne se garde pas assez, en revanche, de l'artiste quand son talent le dissimule, surtout quand le talent est grand : des magiciens, grimés en moralistes, on ne se méfie jamais assez. DÉJÀ JUGÉ pour le meurtre de chiites à Doujaïl, dans les années , Saddam Hussein doit répondre depuis hier de «génocide» contre les Kurdes devant le Haut Tribunal pénal irakien. Le dossier judiciaire porte sur le massacre de dizaines de milliers de Kurdes, en et , lors d'une opération baptisée «alAnfal» par le régime. <a title="Sac Longchamp Pliage Solde" rel="nofollow" href="http://www.alphapack.fr/saclongchamppascher/sac-longchamp-pliage-soldes-pas-cher/">Sac Longchamp Pliage Solde</a> <br /> Sac Longchamp Pliage SoldePlus de villages avaient été détruits et des déplacements massifs de population organisés. Ali Hassan alMajid, dit «Ali le Chimique», le cousin de Saddam à la sinistre réputation, figure lui aussi avec cinq autres complices sur le banc des accusés. La cour, qui siège dans un bâtiment de la zone verte ultrasécurisée de Bagdad, est présidée par le juge chiite Abdallah alAmeri. Lors de la première audience, Saddam comme il en a pris l'habitude a accusé le magistrat de s'exprimer au nom des forces américaines. L'exdictateur a refusé de plaider coupable ou non coupable, de même que les autres accusés. Le juge a considéré qu'il s'agissait d'un plaider non coupable. «Vous êtes ici au nom de l'occupant, pas au nom de l'Irak.</div>

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