Ils avaient entamé des danses, avec des parapluies au lieu des batons habituels.Outre Marikana, la mine d'or de KDC West restait paralysée par une grève, mardi. La plupart des autres mines ont rouvert ces derniers jours, mais les forces de l'ordre ont fait usage de balles en caoutchouc, de gaz lacrymogènes et de grenades assourdissantes pour disperser un rassemblement ??illégal?? mercredi matin, à proximité d'une mine du numéro un mondial du platine, Amplats. P.?B. 0 commentaire La discussion est fermée?: vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Après l'attaque, vendredi, de l'ambassade et d'une école américaines, des voix s'élèvent pour dénoncer la collusion entre l'islamisme de gouvernement et la mouvance salafiste. sac vanessa bruno cuir pas cher La colère gronde en Tunisie contre les islamistes d'Ennah-dha qui dirigent le pays. L'accusation de collusion de ces gouvernants avec les extrémistes qui ont multiplié, ces derniers mois, les actes de violence visant des femmes, des militants de gauche, des démocrates, des artistes, a pris un nouveau relief après l'attaque, vendredi, de l'ambassade et d'une école américaines par des salafistes. Après les violents affrontements consécutifs à la diffusion du stupide br?lot l'Innocence des musulmans, les affrontements à Tunis entre forces de l'ordre et extrémistes religieux ont fait quatre morts et des dizaines de blessés. Lundi, alors que Washington décidait d'évacuer une centaine de ressortissants américains, le chef salafiste à l'origine de ces violences, Seif-Allah Ben Hassine, dit Abou Yadh, prétendument recherché, prêchait librement à la mosquée El Fateh, en plein centre-ville de Tunis. Il a pu quitter sans problème le lieu de culte, entouré d'une centaine de partisans, sous les yeux des policiers censés l'arrêter. On lui a ??donné le temps de déguerpir??, s'indigne Raouf Khalsi dans l'éditorial du quotidien le Temps. Avant de mettre en cause le chef spirituel d'Ennah-dha : ??Rached Ghannouchi les appelle : "nos frères les salafistes". Sac Vanessa Bruno Soldes pas cher Un lien de sang ? Une même idéologie ? Le même objectif ???les milices de GhannouchiMême colère du c?té des intellectuels tunisiens qui viennent de lancer un appel à la démission du gouvernement. ??Depuis plus de dix mois, les appels aux meurtres, les agressions, les exactions de la part d'individus et de groupes dits "salafistes" se sont multipliés (...) sans rencontrer de réponse résolue pour y mettre un terme. Les simulacres d'arrestations, suivis de rapides libérations, n'ont fait (…) qu'accro?tre l'arrogance et les méfaits des auteurs des violences. Cette politique, nous le savons, est dictée par les dirigeants d'Ennahdha qui utilisent la mouvance radicale pour faire régner un climat de terreur au nom du sacré, tout en maintenant une fa?ade d'apparente modération??, écrivent les signataires, parmi lesquels le psychanalyste Fethi Benslama et l'écrivain Abdelwahab Meddeb. Sac Vanessa Bruno pas cher Ennahdha, débordé par des ??radicaux?? ? De nombreux démocrates n'y croient pas. ??Les salafistes sont les malabars de Rached Ghannouchi. Ennah-dha les lache dès qu'il faut casser du démocrate. Il n'y a pas d'islamisme modéré, tous veulent gérer la cité avec des dogmes religieux. C'est la droite de l'inquisition !?? nous confiait à Tunis, avant les violences de vendredi, l'écrivain Taoufik Ben Brik, opposant acharné à la dictature de Ben Ali.Ces accusations de collusion entre l'islamisme de gouvernement et la mouvance salafiste s'expriment dans un contexte de grande tension politique et sociale. Pour beaucoup, au-delà du 23?octobre, date anniversaire de l'élection de l'Assemblée constituante, le gouvernement sera de fait déchu de sa légitimité politique.
La colère gronde en Tunisie contre les islamistes d'Ennah-dha qui dirigent le pays. L'accusation de collusion de ces gouvernants avec les extrémistes qui ont multiplié, ces derniers mois, les actes de violence visant des femmes, des militants de gauche, des démocrates, des artistes, a pris un nouveau relief après l'attaque, vendredi, de l'ambassade et d'une école américaines par des salafistes. Après les violents affrontements consécutifs à la diffusion du stupide br?lot l'Innocence des musulmans, les affrontements à Tunis entre forces de l'ordre et extrémistes religieux ont fait quatre morts et des dizaines de blessés. Lundi, alors que Washington décidait d'évacuer une centaine de ressortissants américains, le chef salafiste à l'origine de ces violences, Seif-Allah Ben Hassine, dit Abou Yadh, prétendument recherché, prêchait librement à la mosquée El Fateh, en plein centre-ville de Tunis. Il a pu quitter sans problème le lieu de culte, entouré d'une centaine de partisans, sous les yeux des policiers censés l'arrêter. On lui a ??donné le temps de déguerpir??, s'indigne Raouf Khalsi dans l'éditorial du quotidien le Temps. Avant de mettre en cause le chef spirituel d'Ennah-dha : ??Rached Ghannouchi les appelle : "nos frères les salafistes". Sac Vanessa Bruno Soldes pas cher Un lien de sang ? Une même idéologie ? Le même objectif ???les milices de GhannouchiMême colère du c?té des intellectuels tunisiens qui viennent de lancer un appel à la démission du gouvernement. ??Depuis plus de dix mois, les appels aux meurtres, les agressions, les exactions de la part d'individus et de groupes dits "salafistes" se sont multipliés (...) sans rencontrer de réponse résolue pour y mettre un terme. Les simulacres d'arrestations, suivis de rapides libérations, n'ont fait (…) qu'accro?tre l'arrogance et les méfaits des auteurs des violences. Cette politique, nous le savons, est dictée par les dirigeants d'Ennahdha qui utilisent la mouvance radicale pour faire régner un climat de terreur au nom du sacré, tout en maintenant une fa?ade d'apparente modération??, écrivent les signataires, parmi lesquels le psychanalyste Fethi Benslama et l'écrivain Abdelwahab Meddeb. Sac Vanessa Bruno pas cher
Ennahdha, débordé par des ??radicaux?? ? De nombreux démocrates n'y croient pas. ??Les salafistes sont les malabars de Rached Ghannouchi. Ennah-dha les lache dès qu'il faut casser du démocrate. Il n'y a pas d'islamisme modéré, tous veulent gérer la cité avec des dogmes religieux. C'est la droite de l'inquisition !?? nous confiait à Tunis, avant les violences de vendredi, l'écrivain Taoufik Ben Brik, opposant acharné à la dictature de Ben Ali.Ces accusations de collusion entre l'islamisme de gouvernement et la mouvance salafiste s'expriment dans un contexte de grande tension politique et sociale. Pour beaucoup, au-delà du 23?octobre, date anniversaire de l'élection de l'Assemblée constituante, le gouvernement sera de fait déchu de sa légitimité politique.
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