Ga?l De SantisLe 27 janvier 1973, à Paris, sont signés les accords ?qui aboutiront, deux ans plus tard, à la fin de la guerre. ?Le peuple vietnamien a fait plier l'impérialisme américain, mais le régime de Saigon est toujours en place, porté à bout de bras et surarmé par Washington. Paris, avenue Kléber, 13 mai 1968. En plein c?ur des ? événements ?, les délégations de la conférence de Paris sur le Vietnam se rencontrent pour la première fois. L'agression américaine dure alors depuis une dizaine d'années. Elle ne se ralentira nullement pendant la conférence : les bombardements sur le Nord-Vietnam seront toujours aussi intensifs, l'engagement au sol au Sud des GI restera massif et meurtrier. Sans compter le Laos, autre pays martyr de la région, et le Cambodge, qui entre dans cette danse de mort du fait d'une nouvelle agression américaine, en 1970. Soldes Sac Vanessa Bruno Pas cher PiétinementMais, au grand étonnement du monde, le Vietnam résiste, marque des points sur le terrain. Aux états-Unis, l'opinion s'inquiète. Des manifestations ont lieu, d'abord étudiantes, puis plus générales et de plus en plus massives. Ailleurs dans le monde -et la France n'est pas la dernière-, les protestations se multiplient. Le 31?mars 1968, le président Johnson annonce qu'il ne se présentera pas pour briguer un second mandat. Le piétinement de ses armées au Vietnam est la cause majeure de cet aveu d'impuissance.En janvier 1969, le nouveau président, Nixon, met en place une politique dite de vietnamisation: il s'agit de désamorcer les protestations dans le monde, tout en maintenant les buts de guerre. Sac Vanessa Bruno Cuir pas cher Cyniquement, il s'agit de ??jaunir les cadavres??. Il n'empêche : le retrait des soldats américains commence. C'est une première victoire du peuple vietnamien et des forces de paix de par le monde.Le chemin de la paix avec le Vietnam passe par la Chine et l'URSSMais Nixon a également l'ambition de mettre en place une politique internationale novatrice. Il est aidé en cela par un universitaire issu de Harvard, grand spécialiste des relations internationales, Henry Kissinger. Pour eux, le chemin de la paix avec le Vietnam passe par la Chine et l'URSS, deux pays par ailleurs en perpétuel conflit politique. Cela s'appelle, en bonne politique, jouer sur les contradictions chez l'ennemi. Sac Vanessa Bruno Noir pas cher En 1972, le président américain visite Pékin, puis Moscou. S'il n'y obtient pas le blanc-seing attendu, du moins y a-t-il confirmation que, pour les pays socialistes, la coexistence pacifique est plus importante que la défense du Vietnam.Mais la diplomatie nixonienne avait, dans ses calculs si subtils, oublié un facteur : ni les dirigeants révolutionnaires, ni le peuple du Vietnam, ne voulaient abandonner la lutte pour restaurer l'unité du pays, but suprême, jamais oublié. Sur le terrain, la guerre, toujours atroce, continue donc. Et c'est bien penauds que les Américains, finalement, reviennent à la table des négociations. Preuve que l'on entre dans l'ère des pourparlers décisifs, ce sont désormais Kissinger pour Washington et Le Duc Tho pour Hanoi qui abordent -discrètement- le fond du problème, envisagent les décisions stratégiques.Des événements liés au conflit vietnamien (dont le fameux scandale du Watergate, qui éclate en juin 1972) affaiblissent considérablement l'exécutif américain.
PiétinementMais, au grand étonnement du monde, le Vietnam résiste, marque des points sur le terrain. Aux états-Unis, l'opinion s'inquiète. Des manifestations ont lieu, d'abord étudiantes, puis plus générales et de plus en plus massives. Ailleurs dans le monde -et la France n'est pas la dernière-, les protestations se multiplient. Le 31?mars 1968, le président Johnson annonce qu'il ne se présentera pas pour briguer un second mandat. Le piétinement de ses armées au Vietnam est la cause majeure de cet aveu d'impuissance.En janvier 1969, le nouveau président, Nixon, met en place une politique dite de vietnamisation: il s'agit de désamorcer les protestations dans le monde, tout en maintenant les buts de guerre. Sac Vanessa Bruno Cuir pas cher Cyniquement, il s'agit de ??jaunir les cadavres??. Il n'empêche : le retrait des soldats américains commence. C'est une première victoire du peuple vietnamien et des forces de paix de par le monde.Le chemin de la paix avec le Vietnam passe par la Chine et l'URSSMais Nixon a également l'ambition de mettre en place une politique internationale novatrice. Il est aidé en cela par un universitaire issu de Harvard, grand spécialiste des relations internationales, Henry Kissinger. Pour eux, le chemin de la paix avec le Vietnam passe par la Chine et l'URSS, deux pays par ailleurs en perpétuel conflit politique. Cela s'appelle, en bonne politique, jouer sur les contradictions chez l'ennemi. Sac Vanessa Bruno Noir pas cher
En 1972, le président américain visite Pékin, puis Moscou. S'il n'y obtient pas le blanc-seing attendu, du moins y a-t-il confirmation que, pour les pays socialistes, la coexistence pacifique est plus importante que la défense du Vietnam.Mais la diplomatie nixonienne avait, dans ses calculs si subtils, oublié un facteur : ni les dirigeants révolutionnaires, ni le peuple du Vietnam, ne voulaient abandonner la lutte pour restaurer l'unité du pays, but suprême, jamais oublié. Sur le terrain, la guerre, toujours atroce, continue donc. Et c'est bien penauds que les Américains, finalement, reviennent à la table des négociations. Preuve que l'on entre dans l'ère des pourparlers décisifs, ce sont désormais Kissinger pour Washington et Le Duc Tho pour Hanoi qui abordent -discrètement- le fond du problème, envisagent les décisions stratégiques.Des événements liés au conflit vietnamien (dont le fameux scandale du Watergate, qui éclate en juin 1972) affaiblissent considérablement l'exécutif américain.
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