Enfin, la 3ème situation concerne le risque de contamination de ressortissants français à l'étranger, dans la zone épidémique. Il s'agit alors d'organiser au besoin le retour préventif ou d'urgence des expatriés et d'informer au maximum quant aux risques liés à la zone épidémique. Le plan adresse également aux ressortissants français une liste des hôpitaux les moins à risque, où l'on peut se (...) un réel espoir d'éradication ? Depuis 2009, l'espérance de vie des patients séropositifs s'est nettement améliorée grâce au développement des antirétroviraux et du dépistage précoce. Malgré ces progrès, la propagation du virus se poursuit. Cabas Vanessa Bruno pas cher « Avec 7 000 à 8 000 nouvelles contaminations chaque année, l'épidémie par le VIH/SIDA est toujours active en France », viennent d'ailleurs de confirmer les experts de l'Institut de Veille Sanitaire (InVS). Publié à quelques jours de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA, organisée le 1er décembre prochain, le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) rappelle l'amélioration des progrès thérapeutiques et du dépistage rapide en France. Progrès grâce auxquels les patients ont une espérance de vie prolongée. Reste que « les comportements de prévention sont loin d'être optimaux », notent les auteurs. « Si le taux de mortalité par VIH/SIDA recule en France, les nouveaux cas de séropositivité augmentent d'année en année », soulignent-ils. Ainsi 11 000 tests positifs ont-ils été répertoriés en 2013, soit une augmentation de 7% par rapport à 2011. Bilan en demi-teinte Comportements à risque, déni de la maladie, méconnaissance des modes de contamination, les personnes infectées sont toujours de plus en plus nombreuses à ignorer leur séropositivité. Sac Vanessa Bruno Classique pas cher Or si le diagnostic est tardif, un retard de prise en charge réduit considérablement l'espérance de vie. Ainsi « environ 30% des Français découvrant leur maladie sont déjà au stade SIDA ou à un niveau immunitaire faible, traduisant un délai de plusieurs années après leur contamination », décrivent les auteurs du BEH. Dès ce seuil franchi, le virus progresse très rapidement dans l'organisme. Sa propagation s'accélère d'autant plus vite que les traitements sont, à ce stade, bien moins efficaces face à la forte charge virale. E-cigarette : efficace pour diminuer sa consommation de tabac Selon une étude scientifique belge, l'e-cigarette constitue bel et bien une solution pour arrêter le tabac, ou du moins pour en diminuer sa consommation. Malgré son caractère hautement controversé, la cigarette électronique constituerait bien une aide pour arrêter de fumer ou au moins pour diminuer sa consommation de tabac. C'est ce qui ressort d'une étude menée par quatre chercheurs de l'université de Leuven et de l'University College Antwerp en Belgique, publiée dans l'International Journal of Environmental Research and Public Health. Cabas Vanessa Bruno Hauteur pas cher Pendant 8 mois, l'équipe s'est intéressée à 48 fumeurs, sans désir d'arrêt du tabac, répartis au hasard en trois groupes : les deux premiers groupes utilisaient la cigarette électronique alors que le groupe contrôle ne fumait que du tabac classique. Lors des deux premiers mois, seuls les deux groupes « e-cigarette » ont été autorisés à fumer ou à vapoter à loisir, alors que le groupe témoin était privé de cigarette. Pour mesurer les envies de fumer et les symptômes de privation, les chercheurs ont organisé des sessions au laboratoire pour les groupes 1 et 2 : chaque participant devait s'y présenter après 4h d'abstinence tabagique, et y fumer une cigarette électronique. Dans un second temps et durant six mois, tous les participants ont pu avoir accès à la cigarette électronique. A la fin du suivi, 21% des participants avaient cessé de fumer, et 23% avaient au moins réduit leur consommation de cigarette. Dans les trois groupes, le nombre de cigarettes fumées a chuté de 60% par rapport au début de l'étude. Une baisse du désir de fumer Dès la première session en laboratoire, les scientifiques ont observé que le fait de vapoter après 4h d'abstinence réduisait le désir de fumer de la même façon que si l'on fumait une cigarette normale.
« Avec 7 000 à 8 000 nouvelles contaminations chaque année, l'épidémie par le VIH/SIDA est toujours active en France », viennent d'ailleurs de confirmer les experts de l'Institut de Veille Sanitaire (InVS). Publié à quelques jours de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA, organisée le 1er décembre prochain, le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) rappelle l'amélioration des progrès thérapeutiques et du dépistage rapide en France. Progrès grâce auxquels les patients ont une espérance de vie prolongée. Reste que « les comportements de prévention sont loin d'être optimaux », notent les auteurs. « Si le taux de mortalité par VIH/SIDA recule en France, les nouveaux cas de séropositivité augmentent d'année en année », soulignent-ils. Ainsi 11 000 tests positifs ont-ils été répertoriés en 2013, soit une augmentation de 7% par rapport à 2011. Bilan en demi-teinte Comportements à risque, déni de la maladie, méconnaissance des modes de contamination, les personnes infectées sont toujours de plus en plus nombreuses à ignorer leur séropositivité. Sac Vanessa Bruno Classique pas cher Or si le diagnostic est tardif, un retard de prise en charge réduit considérablement l'espérance de vie. Ainsi « environ 30% des Français découvrant leur maladie sont déjà au stade SIDA ou à un niveau immunitaire faible, traduisant un délai de plusieurs années après leur contamination », décrivent les auteurs du BEH. Dès ce seuil franchi, le virus progresse très rapidement dans l'organisme. Sa propagation s'accélère d'autant plus vite que les traitements sont, à ce stade, bien moins efficaces face à la forte charge virale. E-cigarette : efficace pour diminuer sa consommation de tabac Selon une étude scientifique belge, l'e-cigarette constitue bel et bien une solution pour arrêter le tabac, ou du moins pour en diminuer sa consommation. Malgré son caractère hautement controversé, la cigarette électronique constituerait bien une aide pour arrêter de fumer ou au moins pour diminuer sa consommation de tabac. C'est ce qui ressort d'une étude menée par quatre chercheurs de l'université de Leuven et de l'University College Antwerp en Belgique, publiée dans l'International Journal of Environmental Research and Public Health. Cabas Vanessa Bruno Hauteur pas cher
Pendant 8 mois, l'équipe s'est intéressée à 48 fumeurs, sans désir d'arrêt du tabac, répartis au hasard en trois groupes : les deux premiers groupes utilisaient la cigarette électronique alors que le groupe contrôle ne fumait que du tabac classique. Lors des deux premiers mois, seuls les deux groupes « e-cigarette » ont été autorisés à fumer ou à vapoter à loisir, alors que le groupe témoin était privé de cigarette. Pour mesurer les envies de fumer et les symptômes de privation, les chercheurs ont organisé des sessions au laboratoire pour les groupes 1 et 2 : chaque participant devait s'y présenter après 4h d'abstinence tabagique, et y fumer une cigarette électronique. Dans un second temps et durant six mois, tous les participants ont pu avoir accès à la cigarette électronique. A la fin du suivi, 21% des participants avaient cessé de fumer, et 23% avaient au moins réduit leur consommation de cigarette. Dans les trois groupes, le nombre de cigarettes fumées a chuté de 60% par rapport au début de l'étude. Une baisse du désir de fumer Dès la première session en laboratoire, les scientifiques ont observé que le fait de vapoter après 4h d'abstinence réduisait le désir de fumer de la même façon que si l'on fumait une cigarette normale.
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