21Bush, musée défendant les huit années controversées au pouvoir du e dirigeant américain.Morceaux tordus de la charpente métallique du World Trade Center, images d'archives du Septembre: les pires attaques terroristes de l'histoire des EtatsUnis au début de la présidence Bush dominent les expositions de cet imposant complexe sur le campus de l'université méthodiste de Dallas.Enthousiaste, énergique et positif, le centre Bush, qui rejoint d'autres musées ou bibliothèques célébrant les bilans de présidents du XXe siècle, n'échappera pas aux accusations d'hagiographie.Les années au pouvoir de George W. Bush, de à , sont l'histoire "d'un président qui pensait que son mandat serait consacré aux affaires intérieures, et qui s'est retrouvé à défendre le pays", résume Mark Langdale, président de la fondation George W. Bush.En , dans son livre "Decision points", M. Sac à Main Longchamp Soldes Sac à Main Longchamp pas cher Bush, aujourd'hui âgé de ans, avait estimé que l'histoire serait le seul juge de sa présidence."Quel que soit le verdict, ça ne me dérange pas de ne plus être là pour l'entendre", avait ajouté celui qui avait quitté la Maison Blanche avec une cote de confiance de seulement %, et été remplacé par un adversaire politique qui avait bâti sa campagne sur une critique implacable de son bilan.M. Obama, qui doit prendre la parole en fin de matinée aux côtés de M. Bush et de leurs prédécesseurs Bill Clinton (), George H.W. Bush () et Jimmy Carter (), a mis ses reproches en sourdine depuis qu'il est au pouvoir, et son discours devrait être consensuel. Sac à Main Longchamp pas cher Sac à Main Longchamp Pliage"La bonne décision"L'invasion de l'Irak en , pour empêcher le régime de Saddam Hussein d'utiliser des "armes de destruction massive" jamais retrouvées, reste le principal reproche opposé à un président dont la cote ne s'était jamais remise de sa gestion jugée calamiteuse de l'ouragan Katrina en , et qui avait quitté le pouvoir au plus fort d'une crise économique sans précédent en deux générations.Dans un entretien diffusé mercredi sur ABC News, George W. Bush s'est dit "à l'aise" avec la décision qu'il avait prise d'envahir l'Irak: "Je pense que le renversement de Saddam Hussein était la bonne décision".D'anciens collaborateurs de M. Bush espèrent toutefois que l'ouverture de ce musée marquera la première étape d'un rééexamen de son bilan. "Au fur et à mesure que le temps passe, les passions se calment et les gens commencent à avoir un regard plus objectif", assure Karen Hughes, qui fut l'une des plus proches conseillères du e président.Alors que des défenseurs des droits de l'homme ont accusé l'équipe Bush d'avoir soutenu la torture pendant sa "guerre contre le terrorisme", l'ancien conseiller de sécurité nationale Stephen Hadley affirme être certain que "cela a sauvé des vies américaines". Sac à Main Longchamp Pliage Sac Longchamp Bandoulière "Je pense que (M. Bush) a pris la bonne décision et qu'il y a des Américains qui peuvent le remercier aujourd'hui car ils sont vivants", indique M. Hadley à l'AFP.Le musée, qui comme la bibliothèque Reagan abrite une reproduction léchée du Bureau ovale, abrite en son coeur le "Decision points theater": les concepteurs du musée demandent directement aux visiteurs ce qu'ils auraient fait à la place du président face aux défis de l'actualité.Bombardés de vidéos, événements "en direct" et conseils de collaborateurs, ils utilisent des écrans tactiles pour prendre des décisions cruciales. Le président Bush intervient alors à l'écran pour justifier les raisons qui l'ont conduit à agir de telle ou telle façon, sur l'Irak, Katrina et la crise financière."L'idée était de montrer aux gens ce que cela représente d'avoir à prendre des décisions rapidement, alors que la presse vous harcèle en quelque sorte pour savoir ce que vous allez faire, et quand", résume l'ancienne "Première dame" Laura Bush. Sac Longchamp Bandoulière Sac Longchamp Bandoulière pas cherLe Nouvel Observateur Tous droits réservés. nouvelobs.com est une marque exclusive du NouvelObservateurUn site du groupe Nouvel ObservateurL'actualité politique, économique, sociale du jour en France et à l'international est sur le Nouvel ObservateurKABOUL (AFP) Ils sont journalistes, artistes, politiciens et entrepreneurs. Ces jeunes Afghans modernes, émancipés sous une décennie de présence occidentale, construisent peu à peu leur pays que d'autres fuient, craignant un nouveau conflit.A moins de deux ans du retrait des forces de l'Otan, que beaucoup voient comme synonyme d'un nouvel embrasement meurtrier, leur parcours, leur motivation et leur quête de progrès s'opposent aux stéréotypes de violence et d'intolérance qui collent toujours à un pays fragilisé par trois décennies de guerre."Cette génération a grandi dans les années et . Elle a connu l'extrêmegauche et l'extrêmedroite, le communisme et les talibans, l'émigration, les camps de réfugiés", liste Omar Sharifi, un analyste de Kaboul.
Sac à Main Longchamp Pliage"La bonne décision"L'invasion de l'Irak en , pour empêcher le régime de Saddam Hussein d'utiliser des "armes de destruction massive" jamais retrouvées, reste le principal reproche opposé à un président dont la cote ne s'était jamais remise de sa gestion jugée calamiteuse de l'ouragan Katrina en , et qui avait quitté le pouvoir au plus fort d'une crise économique sans précédent en deux générations.Dans un entretien diffusé mercredi sur ABC News, George W. Bush s'est dit "à l'aise" avec la décision qu'il avait prise d'envahir l'Irak: "Je pense que le renversement de Saddam Hussein était la bonne décision".D'anciens collaborateurs de M. Bush espèrent toutefois que l'ouverture de ce musée marquera la première étape d'un rééexamen de son bilan. "Au fur et à mesure que le temps passe, les passions se calment et les gens commencent à avoir un regard plus objectif", assure Karen Hughes, qui fut l'une des plus proches conseillères du e président.Alors que des défenseurs des droits de l'homme ont accusé l'équipe Bush d'avoir soutenu la torture pendant sa "guerre contre le terrorisme", l'ancien conseiller de sécurité nationale Stephen Hadley affirme être certain que "cela a sauvé des vies américaines". Sac à Main Longchamp Pliage Sac Longchamp Bandoulière "Je pense que (M. Bush) a pris la bonne décision et qu'il y a des Américains qui peuvent le remercier aujourd'hui car ils sont vivants", indique M. Hadley à l'AFP.Le musée, qui comme la bibliothèque Reagan abrite une reproduction léchée du Bureau ovale, abrite en son coeur le "Decision points theater": les concepteurs du musée demandent directement aux visiteurs ce qu'ils auraient fait à la place du président face aux défis de l'actualité.Bombardés de vidéos, événements "en direct" et conseils de collaborateurs, ils utilisent des écrans tactiles pour prendre des décisions cruciales. Le président Bush intervient alors à l'écran pour justifier les raisons qui l'ont conduit à agir de telle ou telle façon, sur l'Irak, Katrina et la crise financière."L'idée était de montrer aux gens ce que cela représente d'avoir à prendre des décisions rapidement, alors que la presse vous harcèle en quelque sorte pour savoir ce que vous allez faire, et quand", résume l'ancienne "Première dame" Laura Bush. Sac Longchamp Bandoulière
Sac Longchamp Bandoulière pas cherLe Nouvel Observateur Tous droits réservés. nouvelobs.com est une marque exclusive du NouvelObservateurUn site du groupe Nouvel ObservateurL'actualité politique, économique, sociale du jour en France et à l'international est sur le Nouvel ObservateurKABOUL (AFP) Ils sont journalistes, artistes, politiciens et entrepreneurs. Ces jeunes Afghans modernes, émancipés sous une décennie de présence occidentale, construisent peu à peu leur pays que d'autres fuient, craignant un nouveau conflit.A moins de deux ans du retrait des forces de l'Otan, que beaucoup voient comme synonyme d'un nouvel embrasement meurtrier, leur parcours, leur motivation et leur quête de progrès s'opposent aux stéréotypes de violence et d'intolérance qui collent toujours à un pays fragilisé par trois décennies de guerre."Cette génération a grandi dans les années et . Elle a connu l'extrêmegauche et l'extrêmedroite, le communisme et les talibans, l'émigration, les camps de réfugiés", liste Omar Sharifi, un analyste de Kaboul.
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