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Longchamp

started by bifeng7 on 15 Nov 14
  • bifeng7
     
    12Stangerson dit : « À ce moment, je fus abordé par mon gardequi me retint un instant. » il y a donc conversation avec le garde. Legarde parle à M. Stangerson de coupe de bois ou de braconnage ; MlleStangerson n'est plus là ; elle a déjà regagné le laboratoire puisque leprofesseur dit encore : « Je quittai le garde et je rejoignis ma fille qui étaitdéjà au travail ! » « C'est donc dans ces courtes minutes que le drame se déroula. C'estnécessaire ! Je vois très bien Mlle Stangerson rentrer dans le pavillon, pénétrer dans sa chambre pour poser son chapeau et se trouver en face dubandit qui la poursuit. Le bandit était là, dans le pavillon, depuis un certain temps. Il devait avoir arrangé son affaire pour que tout se passât lanuit. Longchamp pas cher
    Sac Longchamp Pliage Pas CherIl avait alors déchaussé les chaussures du père Jacques qui le gênaient, dans les conditions que j'ai dites au juge d'instruction, il avaitopéré la rafle des papiers, comme je vous l'ai dit tout à l'heure, et ils'était ensuite glissé sous le lit quand le père Jacques était revenu laver le vestibule et le laboratoire… Le temps lui avait paru long… il s'était relevé, après le départ du père Jacques, avait à nouveau erré dans le laboratoire, était venu dans le vestibule, avait regardé dans le jardin, et avait vuvenir, vers le pavillon - car, à ce momentlà, la nuit qui commençait étaittrès claire - Mlle Stangerson, toute seule ! Jamais il n'eût osé l'attaquer àcette heurelà s'il n'avait cru être certain que Mlle Stangerson était seule !Et, pour qu'elle lui apparût seule, il fallait que la conversation entre M.Stangerson et le garde qui le retenait eût lieu à un coin détourné du sentier, coin où se trouve un bouquet d'arbres qui les cachait aux yeux dumisérable. Alors, son plan est fait. Il va être plus tranquille, seul avecMlle Stangerson dans ce pavillon, qu'il ne l'aurait été, en pleine nuit,avec le père Jacques dormant dans son grenier. Et il dut fermer la fenêtredu vestibule ! ce qui explique aussi que ni M. Stangerson, ni le garde, dureste assez éloignés encore du pavillon, n'ont entendu le coup derevolver. « Puis il regagna la «Chambre Jaune». Sac Longchamp Solde sac de voyage longchamp pas cher Mlle Stangerson arrive. Ce quis'est passé a dû être rapide comme l'éclair ! … Mlle Stangerson a dûcrier… ou plutôt a voulu crier son effroi ; l'homme l'a saisie à la gorge…Peutêtre vatil l'étouffer, l'étrangler… Mais la main tâtonnante de MlleStangerson a saisi, dans le tiroir de la table de nuit, le revolver qu'elle y acaché depuis qu'elle redoute les menaces de l'homme. L'assassin branditdéjà, sur la tête de la malheureuse, cette arme terrible dans les mains deLarsanBallmeyer, un os de mouton… Mais elle tire… le coup part,blesse la main qui abandonne l'arme. L'os de mouton roule par terre, ensanglanté par la blessure de l'assassin… l'assassin chancelle, vas'appuyer à la muraille, y imprime ses doigts rouges, craint une autreballe et s'enfuit… « Elle le voit traverser le laboratoire… Elle écoute… Que faitil dans levestibule ? … Il est bien long à sauter par cette fenêtre… Enfin, il saute !Elle court à la fenêtre et la referme ! … Et maintenant, estce que son pèrea vu ? a entendu ? Maintenant que le danger a disparu, toute sa penséeva à son père… douée d'une énergie surhumaine, elle lui cachera tout,s'il en est temps encore ! … Et, quand M. Stangerson reviendra, il trouvera la porte de la «Chambre Jaune» fermée, et sa fille, dans le laboratoire,penchée sur son bureau, attentive, au travail, déjà ! » Rouletabille se tourne alors vers M. Darzac : « Vous savez la vérité, s'écriatil, ditesnous donc si la chose ne s'estpas passée ainsi ? - Je ne sais rien, répond M. Darzac. Sac Longchamp Pliage Pas Cher
    sac longchamp pliage solde- Vous êtes un héros ! fait Rouletabille, en se croisant les bras… Mais siMlle Stangerson était, hélas ! en état de savoir que vous êtes accusé, ellevous relèverait de votre parole… elle vous prierait de dire tout ce qu'ellevous a confié… que disje, elle viendrait vous défendre ellemême ! … » M. Darzac ne fit pas un mouvement, ne prononça pas un mot. Il regarda tristement Rouletabille. « Enfin, fit celuici, puisque Mlle Stangerson n'est pas là, il faut bienque j'y sois, moi ! Mais, croyezmoi, monsieur Darzac, le meilleur moyen,le seul, de sauver Mlle Stangerson et de lui rendre la raison, c'est encorede vous faire acquitter ! » Un tonnerre d'applaudissements accueillit cette dernière phrase. Leprésident n'essaya même pas de réfréner l'enthousiasme de la salle. Robert Darzac était sauvé. Il n'y avait qu'à regarder les jurés pour en êtrecertain ! Leur attitude manifestait hautement leur conviction.

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