Sac Longchamp Solde Avec la perspective - 0 views

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  #1 longcha longcha on 11 Oct 14

   

  En gommant de son rapport d'évaluation toutes les aspérités démontrant que la Bulgarie et la Roumanie ne sont pas prêtes à honorer ce rendezvous, la Commission européenne a donné l'impression de vouloir se débarrasser d'un paquet devenu encombrant. De chercher à prendre de vitesse une opinion publique de plus en plus rétive à l'élargissement. Bruxelles avait promis que son diagnostic de l'état de préparation des deux capitales serait neutre et objectif. Pourtant, la lecture des versions successives du document, officiellement présenté le septembre, démontre le contraire. Au chapitre le plus sensible de la corruption, les experts qui suivent jour après jour les vicissitudes des réformes judiciaires bulgares écrivaient initialement que les progrès réalisés à Sofia étaient limités . Une fois que le texte fut relu, jusqu'aux plus hautes hiérarchies de la Commission, ce constat fut ainsi reformulé dans la lutte contre la corruption, des progrès ont été réalisés . Les exemples de ce type fourmillent. Sac Longchamp pas cher
  Comme l'explique un proche de l'exécutif On écrit d'abord une chose, puis son contraire. Ces opérations de camouflage s'expliquent. Pour la Commission Barroso, et avec l'assentiment tacite des VingtCinq, l'affaire était entendue depuis longtemps en dépit des insuffisances de leur préparation, il fallait que la Bulgarie et la Roumanie adhèrent le er janvier , et pas un an plus tard, comme les traités d'adhésion le permettaient pourtant. Ce n'est qu'en que le sort européen des Dix et celui de ces deux pays s'étaient disjoints. à l'époque, il s'en est même fallu de peu transition plus difficile vers l'économie de marché, stigmates pesants de l'exdictature Ceaucescu en Roumanie pour que Sofia et Bucarest soient intégrés en même temps que la Pologne ou la Hongrie, dans la grande caravane de l'histoire. Face aux nécessités de celleci, les exigences de l'acquis communautaire ne pèsent pas lourd. Les futures échéances de l'élargissement n'en sont pas pour autant vides de sens. Sac Longchamp Solde Avec la perspective d'une intégration européenne des Balkans, une autre logique est à l'oeuvre. Pour l'UE, il ne s'agit plus de réunifier deux blocs, mais de stabiliser une région peuplée de millions d'habitants minée par les séparatismes et les séquelles de la guerre en exYougoslavie. La Croatie, qui a commencé ses négociations d'adhésion fin , est censée montrer le chemin, avant d'être accompagnée par la Bosnie, la Macédoine, l'Albanie, le Monténégro, la Serbie et le Kosovo. Zagreb ne cesse de réitérer son souhait d'une accession en , mais Bruxelles joue la montre. Alors qu'avec l'indépendance prochaine du Monténégro, et probablement du Kosovo, les risques de séparatisme se multiplient dans la région, les supporters de Zagreb estiment qu'une rapide adhésion de la Croatie permettra de donner un exemple vertueux à ses voisins. Ces impératifs d'équilibre géopolitique s'expliquent également dans le cas de la Turquie, dont l'adhésion, affirment ses supporters, permettra à l'Europe de jeter des ponts vers un MoyenOrient turbulent. Mais à la différence du cas balkanique, cette opération de rapprochement préfigure l'image d'une Union européenne messianique, soucieuse d'exporter ses valeurs, qu'elle juge universelles, jusque sur le continent asiatique. Sac Longchamp Pliage pas cher
  Mais estce là la vocation de l'UE Plut t que de tenter d'apporter une réponse à tous ces défis, l'Europe se replie sur ses problèmes institutionnels, au risque d'afficher son impuissance. Il serait imprudent d'avancer avec des nouveaux élargissements sans règlement de la question institutionnelle , a déclaré le président José Manuel Barroso. L'analyse est partagée par le premier ministre Dominique de Villepin. En clair, même la Croatie, pourtant en prise avec des voisins turbulents, devra attendre que les VingtSept se dotent d'un nouveau traité pour rejoindre l'Union. C'estàdire pas avant . Quant à la Turquie, les opposants à son adhésion sont persuadés que son sort sera réglé par le référendum fran ais, prévu pour être organisé après la cl ture des négociations avec Ankara, et qu'une majorité de nos concitoyens repoussera cet élargissement. La Turquie, c'est fini, on en reparlera dans dix ou quinze ans , affirme l'eurodéputé Alain Lamassoure.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">En gommant de son rapport d'évaluation toutes les aspérités démontrant que la Bulgarie et la Roumanie ne sont pas prêtes à honorer ce rendezvous, la Commission européenne a donné l'impression de vouloir se débarrasser d'un paquet devenu encombrant. De chercher à prendre de vitesse une opinion publique de plus en plus rétive à l'élargissement. Bruxelles avait promis que son diagnostic de l'état de préparation des deux capitales serait neutre et objectif. Pourtant, la lecture des versions successives du document, officiellement présenté le septembre, démontre le contraire. Au chapitre le plus sensible de la corruption, les experts qui suivent jour après jour les vicissitudes des réformes judiciaires bulgares écrivaient initialement que les progrès réalisés à Sofia étaient limités . Une fois que le texte fut relu, jusqu'aux plus hautes hiérarchies de la Commission, ce constat fut ainsi reformulé dans la lutte contre la corruption, des progrès ont été réalisés . Les exemples de ce type fourmillent. <a title="Sac Longchamp pas cher" rel="nofollow" href="http://www.exteval.fr/">Sac Longchamp pas cher</a> <br /> Comme l'explique un proche de l'exécutif On écrit d'abord une chose, puis son contraire. Ces opérations de camouflage s'expliquent. Pour la Commission Barroso, et avec l'assentiment tacite des VingtCinq, l'affaire était entendue depuis longtemps en dépit des insuffisances de leur préparation, il fallait que la Bulgarie et la Roumanie adhèrent le er janvier , et pas un an plus tard, comme les traités d'adhésion le permettaient pourtant. Ce n'est qu'en que le sort européen des Dix et celui de ces deux pays s'étaient disjoints. à l'époque, il s'en est même fallu de peu transition plus difficile vers l'économie de marché, stigmates pesants de l'exdictature Ceaucescu en Roumanie pour que Sofia et Bucarest soient intégrés en même temps que la Pologne ou la Hongrie, dans la grande caravane de l'histoire. Face aux nécessités de celleci, les exigences de l'acquis communautaire ne pèsent pas lourd. Les futures échéances de l'élargissement n'en sont pas pour autant vides de sens. <a title="Sac Longchamp Solde" rel="nofollow" href="http://www.exteval.fr/">Sac Longchamp Solde</a> Avec la perspective d'une intégration européenne des Balkans, une autre logique est à l'oeuvre. Pour l'UE, il ne s'agit plus de réunifier deux blocs, mais de stabiliser une région peuplée de millions d'habitants minée par les séparatismes et les séquelles de la guerre en exYougoslavie. La Croatie, qui a commencé ses négociations d'adhésion fin , est censée montrer le chemin, avant d'être accompagnée par la Bosnie, la Macédoine, l'Albanie, le Monténégro, la Serbie et le Kosovo. Zagreb ne cesse de réitérer son souhait d'une accession en , mais Bruxelles joue la montre. Alors qu'avec l'indépendance prochaine du Monténégro, et probablement du Kosovo, les risques de séparatisme se multiplient dans la région, les supporters de Zagreb estiment qu'une rapide adhésion de la Croatie permettra de donner un exemple vertueux à ses voisins. Ces impératifs d'équilibre géopolitique s'expliquent également dans le cas de la Turquie, dont l'adhésion, affirment ses supporters, permettra à l'Europe de jeter des ponts vers un MoyenOrient turbulent. Mais à la différence du cas balkanique, cette opération de rapprochement préfigure l'image d'une Union européenne messianique, soucieuse d'exporter ses valeurs, qu'elle juge universelles, jusque sur le continent asiatique. <a title="Sac Longchamp Pliage pas cher" rel="nofollow" href="http://www.exteval.fr/c-1-Sac-Longchamp-Le-Pliage">Sac Longchamp Pliage pas cher</a> <br /> Mais estce là la vocation de l'UE Plut t que de tenter d'apporter une réponse à tous ces défis, l'Europe se replie sur ses problèmes institutionnels, au risque d'afficher son impuissance. Il serait imprudent d'avancer avec des nouveaux élargissements sans règlement de la question institutionnelle , a déclaré le président José Manuel Barroso. L'analyse est partagée par le premier ministre Dominique de Villepin. En clair, même la Croatie, pourtant en prise avec des voisins turbulents, devra attendre que les VingtSept se dotent d'un nouveau traité pour rejoindre l'Union. C'estàdire pas avant . Quant à la Turquie, les opposants à son adhésion sont persuadés que son sort sera réglé par le référendum fran ais, prévu pour être organisé après la cl ture des négociations avec Ankara, et qu'une majorité de nos concitoyens repoussera cet élargissement. La Turquie, c'est fini, on en reparlera dans dix ou quinze ans , affirme l'eurodéputé Alain Lamassoure.</div>

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