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started by bifeng5 on 13 Dec 14
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    Aux yeux de 59% des Français, la France évoque "quelque chose de positif". Mais 41% répondent par la négative à l'évocation de leur pays et 26% déclarent qu'ils n'y vivraient pas s'ils avaient le choix. Ils rejettent foncièrement les partis politiques (81% d'opinions négatives), le capitalisme (65%) et le socialisme (57%), seuls le gaullisme (61% d'opinions positives) et le libéralisme bénéficiant d'un jugement plus clément. Dans leur volonté de changement, la priorité est donnée au renouvellement des instances et du personnel politiques (25%), avec la vie économique (20%), l'emploi et le chômage (15%), la solidarité et les actions sociales (10%). Soixante-trois pour cent jugent important qu'un chef d'Etat ait eu une longue expérience dans le secteur privé. Prêts à plus de flexibilité, les Français se partagent sur l'assouplissement du marché du travail : 50% sont pour un licenciement facile, 48% pour un licenciement difficile. Ils se prononcent à 53% pour un contrat de travail unique dont le niveau de protection augmenterait avec l'ancienneté du salarié. trousse longchamp soldes
    Près d'un Français sur deux (49%) est prêt à un allongement de la durée du temps de travail légal à 39 heures. L'entreprise trouve grâce à leurs yeux à 78%. Ils sont à 72% favorables à l'ouverture des magasins le dimanche, l'une des mesures les plus contestées du projet de loi Macron. En ce sens, le rêve scandinave est le premier des scénarios plébiscités à 30%, suivi toutefois de près par le rêve d'une France d'avant (27%). Le modèle anglo-saxon n'est rêvé qu'à 18%. L'étude, intitulée "Français, si vous pouviez réinventer la France?", a été réalisée par internet du 6 au 13 novembre auprès d'un échantillon de 2.006 personnes âgées de 18 ans et plus. sac longchamp rouge pas cher LE PREMIER MINISTRE polonais, Jaroslaw Kaczynski, qui, il y a un an, avait juré à ses électeurs de moraliser la vie publique, se serait bien passé de ce nouveau scandale, menaçant de déstabiliser une coalition gouvernementale déjà bien fragile. Dans la ligne de mire, le ministre de l'Agriculture et chef de file du parti populiste Samoobrona, Andrzej Lepper, accusé de harcèlement sexuel par une jeune femme de 33 ans. L'affaire, révélée lundi par le quotidien Gazeta Wyborcza, s'est enrichie chaque jour de révélations de plus en plus scabreuses, plongeant la Pologne dans un feuilleton politico-sexuel inédit. « C'était pour moi la seule solution, accepter des relations sexuelles ou devenir femme de ménage », a raconté Aneta Krawczyk, devant les caméras de télévision. Mme Krawczyk a avoué avoir cédé à deux reprises aux avances de Lepper. Puis elle a révélé avoir subi les mêmes pressions de la part d'un autre hiérarque de Samoobrona, Stanislaw Lyzwinski, responsable de ce parti à Lodz et père de son troisième enfant, malgré les tentatives de ce dernier de la faire avorter clandestinement par l'entremise d'un ami vétérinaire (l'avortement est interdit en Pologne).Cette sordide affaire serait peut-être passée aux oubliettes si Aneta Krawczyk n'avait fait des émules. longchamp rouge pas cher
    Stimulées par les confessions de la jeune femme, plusieurs ex-collaboratrices de Samoobrona ont accusé en choeur des responsables de ce parti de s'être livré aux mêmes turpitudes.Croix gamméeAndrzej Lepper, qui dément et crie au complot, a annoncé qu'il allait engager les meilleurs avocats « même issus de cabinets étrangers s'il le faut » pour prouver son innocence. « Il n'est pas question que je démissionne », a-t-il ajouté, mais Jaroslaw Kaczynski, qui a ordonné une enquête, a déjà fait savoir qu'il excluait « de collaborer avec des gens qui auraient commis de tels actes ». C'est que le premier ministre n'en est pas à ses premiers démêlés avec Andrzej Lepper. En septembre dernier, il avait limogé son ministre de l'Agriculture, qui critiquait sa politique, avant de le réintégrer piteusement un mois plus tard.Trois semaines après des élections locales qui ont sanctionné son parti Droit et Justice (PIS), Jaroslaw Kaczynski ne peut fermer les yeux sur ces dérapages, sous peine d'être encore affaibli. Mais, faute de majorité, peut-il vraiment se permettre de sanctionner ses alliés populistes sans déclencher des législatives anticipées qu'il est assuré de perdre, à en croire les sondages ?Le premier ministre polonais a d'autant plus de souci à se faire qu'il n'en est pas à son premier scandale.

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