Ilnous aperçut ; il poussa vers nous un cri désespéré : « J'arrive trop tard ! … » Rouletabille lui cria : « Elle vit ! … » Une minute après,Darzac entrait dans la chambre de Mlle Stangerson, et, à travers la porte, nous entendîmes ses sanglots.« Fatalité ! gémissait à côté de moi, Rouletabille. Quels Dieux infernaux veillent donc sur le malheur de cette famille ! Si l'on ne m'avait pasendormi, j'aurais sauvé Mlle Stangerson de l'homme, et je l'aurais rendumuet pour toujours… et le garde ne serait pas mort ! » Darzac vint nous retrouver. sac longchamp noir pas cher Il était tout en larmes. Rouletabille luiraconta tout : et comment il avait tout préparé pour leur salut, à Mlle Stangerson et à lui ; et comment il y serait parvenu en éloignant l'hommepour toujours « après avoir vu sa figure » ; et comment son plan s'étaiteffondré dans le sang, à cause du narcotique. « Ah ! si vous aviez eu réellement confiance en moi, fit tout bas lejeune homme, si vous aviez dit à Mlle Stangerson d'avoir confiance enmoi ! … Mais ici chacun se défie de tous… la fille se défie du père… et lafiancée se défie du fiancé… Pendant que vous me disiez de tout fairepour empêcher l'arrivée de l'assassin, elle préparait tout pour se faire assassiner ! … Et je suis arrivé trop tard… à demi endormi… me traînantpresque, dans cette chambre où la vue de la malheureuse, baignant dansson sang, me réveilla tout à fait… » Sur la demande deDarzac, Rouletabille raconta la scène.S'appuyant aux murs pour ne pas tomber, pendant que, dans le vestibuleet dans la cour d'honneur, nous poursuivions l'assassin, il s'était dirigévers la chambre de la victime… Les portes de l'antichambre sont ouvertes ; il entre ; Mlle Stangerson gît, inanimée, à moitié renversée sur lebureau, les yeux clos ; son peignoir est rouge du sang qui coule à flots desa poitrine. sac longchamp bleu pas cher Il semble à Rouletabille, encore sous l'influence du narcotique, qu'il se promène dans quelque affreux cauchemar. Automatiquement, il revient dans la galerie, ouvre une fenêtre, nous clame le crime,nous ordonne de tuer, et retourne dans la chambre. Aussitôt, il traversele boudoir désert, entre dans le salon dont la porte est restée entrouverte,secoueStangerson sur le canapé où il s'est étendu et le réveillecomme je l'ai réveillé, lui, tout à l'heure…Stangerson se dresse avecdes yeux hagards, se laisse traîner par Rouletabille jusque dans lachambre, aperçoit sa fille, pousse un cri déchirant… Ah ! il est réveillé ! ilest réveillé ! … Tous les deux, maintenant, réunissant leurs forces chancelantes, transportent la victime sur son lit… Puis Rouletabille veut nous rejoindre, pour savoir… « pour savoir… »mais, avant de quitter la chambre, il s'arrête près du bureau… Il y a là,par terre, un paquet… énorme… un ballot… Qu'estce que ce paquet faitlà, auprès du bureau ? … L'enveloppe de serge qui l'entoure est dénouée… Rouletabille se penche… Des papiers… des papiers… des photographies… Il lit : « Nouvel électroscope condensateur différentiel…Propriétés fondamentales de la substance intermédiaire entre la matièrepondérable et l'éther impondérable. sac longchamp rouge pas cher»… Vraiment, vraiment, quel est cemystère et cette formidable ironie du sort qui veulent qu'à l'heure où «on » lui assassine sa fille, « on » vienne restituer au professeur Stangerson toutes ces paperasses inutiles, « qu'il jettera au feu ! … au feu ! … aufeu ! … le lendemain ».Dans la matinée qui suivit cette horrible nuit, nous avons vu réapparaîtrede Marquet, son greffier, les gendarmes. Nous avons tous étéinterrogés, excepté naturellement Mlle Stangerson qui était dans un étatvoisin du coma. Rouletabille et moi, après nous être concertés, n'avonsdit que ce que nous avons bien voulu dire. sac longchamp noir pas cher J'eus garde de rien rapporterde ma station dans le cabinet noir ni des histoires de narcotique. Bref,nous tûmes tout ce qui pouvait faire soupçonner que nous nous attendions à quelque chose, et aussi tout ce qui pouvait faire croire que MlleStangerson « attendait l'assassin ». La malheureuse allait peutêtre payerde sa vie le mystère dont elle entourait son assassin… Il ne nous appartenait point de rendre un pareil sacrifice inutile… Arthur Rance raconta àtout le monde, fort naturellement - si naturellement que j'en fus stupéfait- qu'il avait vu le garde pour la dernière fois vers onze heures du soir. sac longchamp rose pas cher Celuici était venu dans sa chambre, ditil, pour y prendre sa valise qu'ildevait transporter le lendemain matin à la première heure à la gare deSaintMichel « et s'était attardé à causer longuement chasse et braconnage avec lui » ! ArthurWilliam Rance, en effet, devait quitter le Glandier dans la matinée et se rendre à pied, selon son habitude, à SaintMichel ; aussi avaitil profité d'un voyage matinal du garde dans le petitbourg pour se débarrasser de son bagage. Du moins je fus conduit à le penser carStangerson confirma sesdires ; il ajouta qu'il n'avait pas eu le plaisir, la veille au soir, d'avoir à satable son ami Arthur Rance parce que celuici avait pris, vers les cinqheures, un congé définitif de sa fille et de lui.Arthur Rance s'était faitservir simplement un thé dans sa chambre, se disant légèrementindisposé. Bernier, le concierge, sur les indications de Rouletabille, rapporta qu'ilavait été requis par le garde luimême, cette nuitlà, pour faire la chasseaux braconniers (le garde ne pouvait plus le contredire), qu'ils s'étaientdonné rendezvous tous deux non loin de la chênaie et que, voyant quele garde ne venait point, il était allé, lui, Bernier, audevant du garde… Ilétait arrivé à hauteur du donjon, ayant passé la petite porte de la courd'honneur, quand il aperçut un individu qui fuyait à toutes jambes ducôté opposé, vers l'extrémité de l'aile droite du château ; des coups de revolver retentirent dans le même moment derrière le fuyard ; Rouletabilleétait apparu à la fenêtre de la galerie ; il l'avait aperçu, lui Bernier, l'avaitreconnu, l'avait vu avec son fusil et lui avait crié de tirer. sac longchamp rouge pas cher Alors, Bernieravait lâché son coup de fusil qu'il tenait tout prêt… et il était persuadéqu'il avait mis à mal le fuyard ; il avait cru même qu'il l'avait tué, et cette croyance avait duré jusqu'au moment où Rouletabille, dépouillant lecorps qui était tombé sous le coup de fusil, lui avait appris que ce corps «avait été tué d'un coup de couteau » ; que, du reste, il restait ne rien comprendre à une pareille fantasmagorie, attendu que, si le cadavre trouvén'était point celui du fuyard sur lequel nous avions tous tiré, il fallaitbien que ce fuyard fût quelque part. Or, dans ce petit coin de cour oùnous nous étions tous rejoints autour du cadavre, « il n'y avait pas deplace pour un autre mort ou pour un vivant » sans que nous le vissions ! Ainsi parla le père Bernier. Mais le juge d'instruction lui répondit que,pendant que nous étions dans ce petit bout de cour, la nuit était biennoire, puisque nous n'avions pu distinguer le visage du garde, et que,pour le reconnaître, il nous avait fallu le transporter dans le vestibule…À quoi le père Bernier répliqua que, si l'on n'avait pas vu « l'autre corps,mort ou vivant », on aurait au moins marché dessus, tant ce bout de courest étroit. sac longchamp soldeEnfin, nous étions, sans compter le cadavre, cinq dans ce boutde cour et il eût été vraiment étrange que l'autre corps nous échappât…La seule porte qui donnait dans ce bout de cour était celle de la chambredu garde, et la porte en était fermée. On en avait retrouvé la clef dans lapoche du garde… Tout de même, comme ce raisonnement de Bernier, qui à première vueparaissait logique, conduisait à dire qu'on avait tué à coups d'armes àfeu un homme mort d'un coup de couteau, le juge d'instruction ne s'y arrêta pas longtemps. Et il fut évident pour tous, dès midi, que ce magistrat était persuadé que nous avions raté « le fuyard » et que nous avionstrouvé là un cadavre qui n'avait rien à voir avec « notre affaire ». Pourlui, le cadavre du garde était une autre affaire. sac longchamp rose pas cher Il voulut le prouver sansplus tarder, et il est probable que « cette nouvelle affaire » correspondaitavec des idées qu'il avait depuis quelques jours sur les mœurs du garde,sur ses fréquentations, sur la récente intrigue qu'il entretenait avec lafemme du propriétaire de l'auberge du « Donjon », et corroborait également les rapports qu'on avait dû lui faire relativement aux menaces demort proférées par le père Mathieu à l'adresse du garde, car à une heureaprèsmidi le père Mathieu, malgré ses gémissements de rhumatisant etles protestations de sa femme, était arrêté et conduit sous bonne escorte àCorbeil. On n'avait cependant rien découvert chez lui de compromettant ; mais des propos tenus, encore la veille, à des rouliers qui les répétèrent, le compromirent plus que si l'on avait trouvé dans sa paillasse lecouteau qui avait tué « l'homme vert ». Nous en étions là, ahuris de tant d'événements aussi terriblesqu'inexplicables, quand, pour mettre le comble à la stupéfaction de tous, nous vîmes arriver au château Frédéric Larsan, qui en était parti aussitôtaprès avoir vu le juge d'instruction et qui en revenait, accompagné d'unemployé du chemin de fer.Nous étions alors dans le vestibule avec Arthur Rance, discutant de laculpabilité et de l'innocence du père Mathieu (du moins Arthur Rance etmoi étions seuls à discuter, car Rouletabille semblait parti pour quelquerêve lointain et ne s'occupait en aucune façon de ce que nous disions). Lejuge d'instruction et son greffier se trouvaient dans le petit salon vert oùRobert Darzac nous avait introduits quand nous étions arrivés pour lapremière fois au Glandier. Le père Jacques, mandé par le juge, venaitd'entrer dans le petit salon ;Robert Darzac était en haut, dans lachambre de Mlle Stangerson, avecStangerson et les médecins. Frédéric Larsan entra dans le vestibule avec l'employé de chemin de fer.
Il semble à Rouletabille, encore sous l'influence du narcotique, qu'il se promène dans quelque affreux cauchemar. Automatiquement, il revient dans la galerie, ouvre une fenêtre, nous clame le crime,nous ordonne de tuer, et retourne dans la chambre. Aussitôt, il traversele boudoir désert, entre dans le salon dont la porte est restée entrouverte,secoueStangerson sur le canapé où il s'est étendu et le réveillecomme je l'ai réveillé, lui, tout à l'heure…Stangerson se dresse avecdes yeux hagards, se laisse traîner par Rouletabille jusque dans lachambre, aperçoit sa fille, pousse un cri déchirant… Ah ! il est réveillé ! ilest réveillé ! … Tous les deux, maintenant, réunissant leurs forces chancelantes, transportent la victime sur son lit… Puis Rouletabille veut nous rejoindre, pour savoir… « pour savoir… »mais, avant de quitter la chambre, il s'arrête près du bureau… Il y a là,par terre, un paquet… énorme… un ballot… Qu'estce que ce paquet faitlà, auprès du bureau ? … L'enveloppe de serge qui l'entoure est dénouée… Rouletabille se penche… Des papiers… des papiers… des photographies… Il lit : « Nouvel électroscope condensateur différentiel…Propriétés fondamentales de la substance intermédiaire entre la matièrepondérable et l'éther impondérable. sac longchamp rouge pas cher»… Vraiment, vraiment, quel est cemystère et cette formidable ironie du sort qui veulent qu'à l'heure où «on » lui assassine sa fille, « on » vienne restituer au professeur Stangerson toutes ces paperasses inutiles, « qu'il jettera au feu ! … au feu ! … aufeu ! … le lendemain ».Dans la matinée qui suivit cette horrible nuit, nous avons vu réapparaîtrede Marquet, son greffier, les gendarmes. Nous avons tous étéinterrogés, excepté naturellement Mlle Stangerson qui était dans un étatvoisin du coma. Rouletabille et moi, après nous être concertés, n'avonsdit que ce que nous avons bien voulu dire. sac longchamp noir pas cher J'eus garde de rien rapporterde ma station dans le cabinet noir ni des histoires de narcotique. Bref,nous tûmes tout ce qui pouvait faire soupçonner que nous nous attendions à quelque chose, et aussi tout ce qui pouvait faire croire que MlleStangerson « attendait l'assassin ». La malheureuse allait peutêtre payerde sa vie le mystère dont elle entourait son assassin… Il ne nous appartenait point de rendre un pareil sacrifice inutile… Arthur Rance raconta àtout le monde, fort naturellement - si naturellement que j'en fus stupéfait- qu'il avait vu le garde pour la dernière fois vers onze heures du soir. sac longchamp rose pas cher Celuici était venu dans sa chambre, ditil, pour y prendre sa valise qu'ildevait transporter le lendemain matin à la première heure à la gare deSaintMichel « et s'était attardé à causer longuement chasse et braconnage avec lui » ! ArthurWilliam Rance, en effet, devait quitter le Glandier dans la matinée et se rendre à pied, selon son habitude, à SaintMichel ; aussi avaitil profité d'un voyage matinal du garde dans le petitbourg pour se débarrasser de son bagage. Du moins je fus conduit à le penser carStangerson confirma sesdires ; il ajouta qu'il n'avait pas eu le plaisir, la veille au soir, d'avoir à satable son ami Arthur Rance parce que celuici avait pris, vers les cinqheures, un congé définitif de sa fille et de lui.Arthur Rance s'était faitservir simplement un thé dans sa chambre, se disant légèrementindisposé. Bernier, le concierge, sur les indications de Rouletabille, rapporta qu'ilavait été requis par le garde luimême, cette nuitlà, pour faire la chasseaux braconniers (le garde ne pouvait plus le contredire), qu'ils s'étaientdonné rendezvous tous deux non loin de la chênaie et que, voyant quele garde ne venait point, il était allé, lui, Bernier, audevant du garde… Ilétait arrivé à hauteur du donjon, ayant passé la petite porte de la courd'honneur, quand il aperçut un individu qui fuyait à toutes jambes ducôté opposé, vers l'extrémité de l'aile droite du château ; des coups de revolver retentirent dans le même moment derrière le fuyard ; Rouletabilleétait apparu à la fenêtre de la galerie ; il l'avait aperçu, lui Bernier, l'avaitreconnu, l'avait vu avec son fusil et lui avait crié de tirer. sac longchamp rouge pas cher
Alors, Bernieravait lâché son coup de fusil qu'il tenait tout prêt… et il était persuadéqu'il avait mis à mal le fuyard ; il avait cru même qu'il l'avait tué, et cette croyance avait duré jusqu'au moment où Rouletabille, dépouillant lecorps qui était tombé sous le coup de fusil, lui avait appris que ce corps «avait été tué d'un coup de couteau » ; que, du reste, il restait ne rien comprendre à une pareille fantasmagorie, attendu que, si le cadavre trouvén'était point celui du fuyard sur lequel nous avions tous tiré, il fallaitbien que ce fuyard fût quelque part. Or, dans ce petit coin de cour oùnous nous étions tous rejoints autour du cadavre, « il n'y avait pas deplace pour un autre mort ou pour un vivant » sans que nous le vissions ! Ainsi parla le père Bernier. Mais le juge d'instruction lui répondit que,pendant que nous étions dans ce petit bout de cour, la nuit était biennoire, puisque nous n'avions pu distinguer le visage du garde, et que,pour le reconnaître, il nous avait fallu le transporter dans le vestibule…À quoi le père Bernier répliqua que, si l'on n'avait pas vu « l'autre corps,mort ou vivant », on aurait au moins marché dessus, tant ce bout de courest étroit. sac longchamp soldeEnfin, nous étions, sans compter le cadavre, cinq dans ce boutde cour et il eût été vraiment étrange que l'autre corps nous échappât…La seule porte qui donnait dans ce bout de cour était celle de la chambredu garde, et la porte en était fermée. On en avait retrouvé la clef dans lapoche du garde… Tout de même, comme ce raisonnement de Bernier, qui à première vueparaissait logique, conduisait à dire qu'on avait tué à coups d'armes àfeu un homme mort d'un coup de couteau, le juge d'instruction ne s'y arrêta pas longtemps. Et il fut évident pour tous, dès midi, que ce magistrat était persuadé que nous avions raté « le fuyard » et que nous avionstrouvé là un cadavre qui n'avait rien à voir avec « notre affaire ». Pourlui, le cadavre du garde était une autre affaire. sac longchamp rose pas cher Il voulut le prouver sansplus tarder, et il est probable que « cette nouvelle affaire » correspondaitavec des idées qu'il avait depuis quelques jours sur les mœurs du garde,sur ses fréquentations, sur la récente intrigue qu'il entretenait avec lafemme du propriétaire de l'auberge du « Donjon », et corroborait également les rapports qu'on avait dû lui faire relativement aux menaces demort proférées par le père Mathieu à l'adresse du garde, car à une heureaprèsmidi le père Mathieu, malgré ses gémissements de rhumatisant etles protestations de sa femme, était arrêté et conduit sous bonne escorte àCorbeil. On n'avait cependant rien découvert chez lui de compromettant ; mais des propos tenus, encore la veille, à des rouliers qui les répétèrent, le compromirent plus que si l'on avait trouvé dans sa paillasse lecouteau qui avait tué « l'homme vert ». Nous en étions là, ahuris de tant d'événements aussi terriblesqu'inexplicables, quand, pour mettre le comble à la stupéfaction de tous, nous vîmes arriver au château Frédéric Larsan, qui en était parti aussitôtaprès avoir vu le juge d'instruction et qui en revenait, accompagné d'unemployé du chemin de fer.Nous étions alors dans le vestibule avec Arthur Rance, discutant de laculpabilité et de l'innocence du père Mathieu (du moins Arthur Rance etmoi étions seuls à discuter, car Rouletabille semblait parti pour quelquerêve lointain et ne s'occupait en aucune façon de ce que nous disions). Lejuge d'instruction et son greffier se trouvaient dans le petit salon vert oùRobert Darzac nous avait introduits quand nous étions arrivés pour lapremière fois au Glandier. Le père Jacques, mandé par le juge, venaitd'entrer dans le petit salon ;Robert Darzac était en haut, dans lachambre de Mlle Stangerson, avecStangerson et les médecins. Frédéric Larsan entra dans le vestibule avec l'employé de chemin de fer.
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