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started by bifeng5 on 29 Dec 14
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    Un groupe d'hommes armés a pris d'assaut une station de pompage pétrolière appartenant à Shell au coeur du delta du Niger, la grande région pétrolifère du Nigeria. Les assaillants n'auraient pas fait de victimes, mais détenaient toujours, hier, plusieurs otages, selon un porte-parole de la compagnie. La plupart des quarante ouvriers du site a cependant été libérée hier matin. Dans l'État de Bayelsa, ce raid n'a pas vraiment surpris. Les attaques sont devenues un fait presque habituel dans la région. Le 10 octobre, la même station de pompage, qui produit quelque 12 000 barils par jour, avait déjà été prise pour cible. Le 7 décembre, un important terminal d'exportation d'or noir de la société italienne Agip avait été en partie détruit lors d'une action revendiquée par le Mouvement d'émancipation du delta du Niger (Mend). sac longchamp pas cher
    Quatre employés étrangers - trois Italiens et un Libanais - sont depuis lors retenus en otages. Au total, au cours des six derniers mois, près de 600 personnes, dont quelques expatriés, sont mortes et 180 travailleurs ont été séquestrés par l'un des multiples groupes séparatistes qui affirment lutter pour une meilleure répartition des revenus pétroliers au Nigeria. Les attaques sont en fait organisées par les chefs communautaires locaux qui entendent ainsi obtenir de l'argent ou des emplois. Elles se terminent le plus souvent pacifiquement, après quelques jours de négociations. Pour le gouvernement, ce raid tombe très mal. Premier producteur d'Afrique, le Nigeria accueille cette semaine, pour la première fois, une réunion de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Ces derniers mois, les violences ont fait chuter la production locale de près de 25 %. sac longchamp pliage NICOLAS HULOT a-t-il tué les Verts, le parti écologiste ? À l'aune des sondages pour la présidentielle, qui plébiscitent étude après étude l'animateur de télévision au détriment de la candidate offi­cielle des Verts, la question se ­pose. Moins de 2 % d'intentions de vote pour Dominique Voynet, quand le producteur d'« Ushuaïa » caracole autour de 8 ou 10 % ! ­Certes, Hulot n'a toujours pas dit s'il serait candidat et le ralliement de ­Nicolas Sarkozy à sa « charte de l'écologie », après celui de ­Ségolène Royal, ou même celui de Domi­nique Voynet, éloigne un peu plus la nécessité de sa candidature. L'idée, pour lui, était en ­effet de ­tirer la sonnette d'alarme.Mais le « phénomène Hulot » invite le parti des Verts à l'introspection. Pourquoi le parti issu de la candidature présidentielle de René Dumont, qui alerte depuis 1974 sur les risques écologiques ­encourus par la planète, est-il si inaudible, alors que jamais, à la veille d'une élection présidentielle, les questions environnementales n'ont été si présentes dans le débat et les esprits ? Est-ce leurs incessantes querelles picrocho­lines ? Pour Hulot, qui était l'invité des journées d'été des Verts à Coutances fin août, la ­réponse est plus simple : les Verts se sont fourvoyés eux-mêmes en s'éloignant de leurs fondamentaux. C'est-à-dire dire des questions environnementales.Beaucoup de Français, sensibilisés au tri sélectif des ordures ménagères ou aux économies d'énergies, ne comprennent pas toujours les positions des Verts sur des ­sujets jugés plus « sociétaux ». polo lacoste pas cher
    Comme, par exemple, celui de la ­libéralisation du cannabis, celui du mariage ­homosexuel ou encore ­celui de la défense des sans-papiers.Ancrage à gauche En leur sein aussi, la question fait ­rage. Les « environnemen­talistes », mis en minorité il y a quinze jours lors de leur dernier congrès de Bordeaux, tirent bien la sonnette d'alarme depuis plusieurs années. Mais, à chaque fois, ils se font accuser de « waechterisme » - référence aux années Waechter quand les « écolos » d'alors prônaient le « ni droite ni gauche ». L'ancrage à gauche des Verts a-t-il donc tué le mouvement écologiste ? Pas forcément. Corinne Lepage ou France Gamerre, respectivement présidentes de Cap 21 et de Génération écologie, ne décollent pas non plus dans les sondages. Fort d'un diagnostic sur « l'urgence », désormais partagé par une majorité de citoyens, les Verts ­veulent désormais, se trouver une nouvelle crédibilité.

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