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  #1 waimaobbb on 30 Dec 14

   

  En Tunisie, le schéma est similaire ; en attestent les grandes grèves du bassin minier de Gafsa. Selon lui, il faut désormais éviter que ??la légitimité des luttes de transformation sociale ne soit effacée par la légitimité électorale. Le conflit oppose les religieux tout à la fois réactionnaires et porteurs d'un projet économique libéral et les femmes et les hommes à visée progressiste. L'an dernier, à la Fête de l'Humanité, Abdeljawad Jounaidi, du P?le démocratique tunisien, soulignait fort justement que certains islamistes brandissaient des banderoles Non à la démocratie?? au début de la révolution. En Syrie, comme ailleurs, les forces révolutionnaires doivent, qui plus est, répondre au défi des divisions qui les tiraillent.Tunis, Sfax, Sidi Bouzid, Kasserine… ces foyers ont toujours soif de justice.Cet été, cinquante-six ans après la promulgation du Code du statut personnel, les femmes ont montré par milliers qu'elles engageraient un combat pied à pied pour le retrait du projet de loi portant atteinte à l'égalité des sexes et introduisant la notion de ??complémentarité?? entre hommes et femmes. Sac a Main Longchamp Pas Cher
  L'islamisation de pans entiers de l'organisation sociale inquiète mais la flamme reste vive. Tunis, Sfax, Sidi Bouzid, Kasserine… ces foyers qui ont vu na?tre la révolution ont toujours soif de justice, et des milliers de personnes répondent ici et là aux appels à la grève générale lancés par l'UGTT, malgré le spectre d'une dérive autoritaire. ??Mais le grand défi, auquel fait face toujours la révolution de notre grand peuple, est la mission de rédiger un nouveau projet civilisationnel ?, explique Hassine Abassi.Les révolutions ont également mis au centre la question de la lutte anti-impérialiste, toujours prégnante, comme l'explique Hédi Omri, membre du Front du 17?décembre : ??Nous écrivons notre histoire avec le sang de nos martyrs, ils écrivent ?la leur avec les états-Unis et le Qatar.?? Pascal Boniface souligne néanmoins que ??le printemps arabe est ?la deuxième mort des néoconservateurs américains et européens qui disaient les Arabes incapables de construire la démocratie et qui avaient justifié la guerre en Irak. La démocratie est une construction nationale, pas un produit importé??. Pourtant, les puissances étrangères n'ont pas dit leur dernier mot, comme l'illustre le conflit qui se joue en Syrie. sac longchamp bandouliere pas cher Aux premiers manifestants qui investissaient pacifiquement la rue en vue de réformes politiques, a succédé l'Armée syrienne libre, dont les moyens militaires proviennent en partie des états-Unis et d'Arabie saoudite, en réponse à la violence du régime. Et des centaines de combattants islamistes wahhabites et salafistes venus de Tchétchénie, du Pakistan ou d'Afghanistan ont également investi le terrain, remettant au premier plan le risque de dérive vers une guerre confessionnelle. Dans ce contexte, la Fête de l'Humanité donnera la parole aux progressistes arabes, qui livreront leur sentiment face aux dangers des ingérences extérieures et sur la nécessité de voir aboutir les revendications démocratiques dans une paix négociée.Lire aussi :la Fête donne la parole aux artistes du monde arabeChantier de la Fête: semaine 3Le site de la Fête de l'Humanité 2012 11 commentaires La discussion est fermée?: vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires. Alain Chouet : Nos ministres sont-ils mal conseillés ou na?fs sur la Syrie?Par Georges Malbrunot le 4 septembre 2012 18h30 | 71 Commentaires http://blog.lefigaro.fr/malbrunot/2012/09/alain-chouet-nos-ministres-son. sac a dos longchamp pas cher
  html?fb_action_ids=10151175574169628 fb_action_types=og.likes fb_source=other_multiline action_object_map=%2210151175574169628%22%3A465905970096387 action_type_map=%2210151175574169628%22%3A%22og.likes%22 action_ref_mapJe vous propose une analyse d'Alain Chouet, ancien haut-responsable de la DGSE, et spécialiste de la Syrie, pays où il se rend depuis 40 ans. Une analyse iconoclaste sur les événements dramatiques qui se déroulent sur le terrain depuis un an et demi, et plus largement sur les acteurs qui tirent les ficelles dans les coulisses des révoltes arabes en cours. On peut ne pas être d'accord, mais son point de vue argumenté et étayé est à verser au débat. L'expression "printemps arabe" est censée faire référence au ? Printemps des peuples ? de 1848. Depuis la révolte de Sidi Bouzid, le 17 décembre 2010, la contagion s'est étendue de la Tunisie successivement à l'égypte, à la Libye, à Bahrein, au Yémen et enfin en Syrie.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">En Tunisie, le schéma est similaire ; en attestent les grandes grèves du bassin minier de Gafsa. Selon lui, il faut désormais éviter que ??la légitimité des luttes de transformation sociale ne soit effacée par la légitimité électorale. Le conflit oppose les religieux tout à la fois réactionnaires et porteurs d'un projet économique libéral et les femmes et les hommes à visée progressiste. L'an dernier, à la Fête de l'Humanité, Abdeljawad Jounaidi, du P?le démocratique tunisien, soulignait fort justement que certains islamistes brandissaient des banderoles Non à la démocratie?? au début de la révolution. En Syrie, comme ailleurs, les forces révolutionnaires doivent, qui plus est, répondre au défi des divisions qui les tiraillent.Tunis, Sfax, Sidi Bouzid, Kasserine… ces foyers ont toujours soif de justice.Cet été, cinquante-six ans après la promulgation du Code du statut personnel, les femmes ont montré par milliers qu'elles engageraient un combat pied à pied pour le retrait du projet de loi portant atteinte à l'égalité des sexes et introduisant la notion de ??complémentarité?? entre hommes et femmes. <a href="http://www.biouti.fr/" rel="nofollow" title="Sac a Main Longchamp Pas Cher">Sac a Main Longchamp Pas Cher</a> <br /> L'islamisation de pans entiers de l'organisation sociale inquiète mais la flamme reste vive. Tunis, Sfax, Sidi Bouzid, Kasserine… ces foyers qui ont vu na?tre la révolution ont toujours soif de justice, et des milliers de personnes répondent ici et là aux appels à la grève générale lancés par l'UGTT, malgré le spectre d'une dérive autoritaire. ??Mais le grand défi, auquel fait face toujours la révolution de notre grand peuple, est la mission de rédiger un nouveau projet civilisationnel ?, explique Hassine Abassi.Les révolutions ont également mis au centre la question de la lutte anti-impérialiste, toujours prégnante, comme l'explique Hédi Omri, membre du Front du 17?décembre : ??Nous écrivons notre histoire avec le sang de nos martyrs, ils écrivent ?la leur avec les états-Unis et le Qatar.?? Pascal Boniface souligne néanmoins que ??le printemps arabe est ?la deuxième mort des néoconservateurs américains et européens qui disaient les Arabes incapables de construire la démocratie et qui avaient justifié la guerre en Irak. La démocratie est une construction nationale, pas un produit importé??. Pourtant, les puissances étrangères n'ont pas dit leur dernier mot, comme l'illustre le conflit qui se joue en Syrie. <a href="http://www.biouti.fr/" rel="nofollow" title="sac longchamp bandouliere pas cher">sac longchamp bandouliere pas cher</a> Aux premiers manifestants qui investissaient pacifiquement la rue en vue de réformes politiques, a succédé l'Armée syrienne libre, dont les moyens militaires proviennent en partie des états-Unis et d'Arabie saoudite, en réponse à la violence du régime. Et des centaines de combattants islamistes wahhabites et salafistes venus de Tchétchénie, du Pakistan ou d'Afghanistan ont également investi le terrain, remettant au premier plan le risque de dérive vers une guerre confessionnelle. Dans ce contexte, la Fête de l'Humanité donnera la parole aux progressistes arabes, qui livreront leur sentiment face aux dangers des ingérences extérieures et sur la nécessité de voir aboutir les revendications démocratiques dans une paix négociée.Lire aussi :la Fête donne la parole aux artistes du monde arabeChantier de la Fête: semaine 3Le site de la Fête de l'Humanité 2012 11 commentaires La discussion est fermée?: vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires. Alain Chouet : Nos ministres sont-ils mal conseillés ou na?fs sur la Syrie?Par Georges Malbrunot le 4 septembre 2012 18h30 | 71 Commentaires <a href="http://blog.lefigaro.fr/malbrunot/2012/09/alain-chouet-nos-ministres-son" rel="nofollow" target="_blank">http://blog.lefigaro.fr/malbrunot/2012/09/alain-chouet-nos-ministres-son</a>. <a href="http://www.biouti.fr/" rel="nofollow" title="sac a dos longchamp pas cher">sac a dos longchamp pas cher</a> <br /> html?fb_action_ids=10151175574169628 fb_action_types=og.likes fb_source=other_multiline action_object_map=%2210151175574169628%22%3A465905970096387 action_type_map=%2210151175574169628%22%3A%22og.likes%22 action_ref_mapJe vous propose une analyse d'Alain Chouet, ancien haut-responsable de la DGSE, et spécialiste de la Syrie, pays où il se rend depuis 40 ans. Une analyse iconoclaste sur les événements dramatiques qui se déroulent sur le terrain depuis un an et demi, et plus largement sur les acteurs qui tirent les ficelles dans les coulisses des révoltes arabes en cours. On peut ne pas être d'accord, mais son point de vue argumenté et étayé est à verser au débat. L'expression "printemps arabe" est censée faire référence au ? Printemps des peuples ? de 1848. Depuis la révolte de Sidi Bouzid, le 17 décembre 2010, la contagion s'est étendue de la Tunisie successivement à l'égypte, à la Libye, à Bahrein, au Yémen et enfin en Syrie.</div>

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