sac lonchampsoas cher soldes Mais - 0 views

• 
  #1 thenorth321 thenorth321 on 01 Aug 14

   

  Personne ne devrait être surpris que les missiles antichars les plus récents puissent percer le blindage des chars d'assaut les plus lourds et les mieux protégés. Mais les tanks israéliens ont quand même réussi à limiter les pertes. De la même manière, l'absence de protection contre les missiles à courte portée équipés de petites ogives relève du simple bon sens : ils ne sont pas assez puissants pour justifier de dépenser des milliards de dollars pour le dernier système d'armes laser grand comme un terrain de football. D'autres erreurs d'interprétation plus graves sont aussi manifestes. Ainsi, au lieu de réfuter la liesse victorieuse de cheikh Hassan Nasrallah, de nombreux commentateurs à travers le monde répètent et cautionnent ses affirmations selon lesquelles le Hezbollah a combattu plus courageusement que les soldats des armées régulières des pays arabes lors des guerres précédentes. Mais en , après avoir franchi le canal de Suez par milliers, les fantassins égyptiens avaient tenu bon devant l'avancée des chars d'assaut israéliens. Ils se trouvaient en terrain découvert, en plein désert, sans aucune des protections ou des caches dont le Hezbollah disposait dans les villages libanais bâtis en pierre. sac lonchampsoas cher
  sac lonchampsoas cherIl est vrai qu'Israël n'avait pas de plan de bataille cohérent. En conséquence, même les bombardements dont les objectifs étaient les mieux définis ont été très destructeurs (quoiqu'avec un effet dissuasif puisque la Syrie n'a pas bougé). De la même manière, du début à la fin, les actions au sol de l'armée israélienne ont été hésitantes et peu concluantes. Israël n'a pas appliqué un plan qui avait pourtant été élaboré avec soin et qui combinait astucieusement des offensives maritimes, aériennes, terrestres, à la fois rapides et en profondeur audelà du front afin que ses troupes remontent ensuite vers la frontière en détruisant les arrières des positions du Hezbollah.plan est resté dans les cartons en raison des faibles pertes civiles israéliennes. S'attendant à être la cible de milliers de missiles (sans système de guidage) lancés en tirs de barrage par le Hezbollah, Israël pensait que leur nombre, combiné à leur effet de souffle destructeur, compenserait leur imprécision et tuerait beaucoup de civils, peutêtre des centaines chaque jour. Pareil bilan aurait rendu nécessaire, et justifié politiquement, une offensive de grande envergure engageant plus de soldats, au prix sans doute de la perte de centaines d'entre eux. sac lonchampsoas cher soldes sac lonchampsoas cher soldes Mais le Hezbollah a choisi de disperser ses missiles sur le terrain, les confiant à des milices villageoises capables de les mettre à l'abri des attaques aériennes, ainsi que des tirs d'artillerie et des drones d'observation, mais sans pour autant être en mesure de les lancer simultanément vers une cible désignée. Les Israéliens n'ont eu à déplorer qu'un ou deux morts civils par jour et non des centaines. Même au bout de trois semaines, le bilan total était moins lourd que celui de certains attentats suicides. Cela rendait politiquement inacceptable une offensive qui aurait entraîné la mort de jeunes soldats et de pères de famille. Enfin, une telle offensive n'aurait pas éliminé le Hezbollah car il s'agit d'un mouvement politique et pas seulement d'une armée ou d'une milice. Voilà pourquoi le résultat de la guerre est sans doute plus satisfaisant que ce que beaucoup pensent. Contrairement à Yasser Arafat qui combattait pour une Palestine éternelle plutôt que pour les Palestiniens, et qui était toujours prêt à sacrifier leur prospérité et leur sécurité au nom de la cause, Nasrallah compte sur le soutien politique de la population du SudLiban. le pliage longchamp tour eiffel
  le pliage longchamp tour eiffelAyant implicitement accepté la responsabilité du déclenchement de la guerre, Nasrallah a ordonné au Hezbollah de s'occuper de la reconstruction rapide des villages et des villes jusqu'à la frontière israélienne. Sa base populaire est maintenant l'otage de la bonne conduite du Hezbollah. Il ne peut plus guère se permettre d'engager un nouveau cycle de combats qui, une fois de plus, entraînerait de larges destructions. Expert en stratégie, consultant militaire, membre du Center for Strategic and International Studies de Washington. Copyright : Project Syndicate . Traduit de l'anglais par Patrice Horovitz.La France, et l'Europe avec elle, formera bien l'ossature de la force de l'ONU chargée d'aider à l'application de la résolution qui a permis un cessezlefeu au Liban après trentequatre jours de guerre entre Israël et le Hezbollah. le pliage longchamp tour eiffel pas cher le pliage longchamp tour eiffel pas cher La presse américaine a beau le déplorer, c'est ainsi. Compte tenu des engagements militaires des ÉtatsUnis en Afghanistan et en Irak, il ne peut pas en être autrement. Les troupes de Georges W. Bush ont découvert en Irak qu'il ne suffit pas de renverser un dictateur honni de tous pour se faire aimer. Mettre au Liban ses soldats entre deux ennemis qui ne sont convenus et ce du bout des lèvres que d'un fragile cessezlefeu, est une entreprise autrement périlleuse qui exige un minimum de précautions. Faire semblant de l'ignorer et ricaner à propos des prétendues reculades françaises en dit long sur l'aigreur qui a gagné l'état d'esprit général outreAtlantique. La France s'est battue pour que cessent des combats qui ne menaient à rien si ce n'est à renforcer le Hezbollah en lui permettant de démontrer sa capacité de résistance. longchamp le pliage bordeaux s
  longchamp le pliage bordeaux sIl a fallu pour cela accepter que le cessezlefeu ne soit que cela, un arrêt des hostilités. La résolution prévoit donc le déploiement de la Finul renforcée sans qu'un accord politique soit intervenu entre belligérants. C'est la pire des situations que l'on peut imaginer pour des Casques bleus dont la mission ne peut être d'imposer une paix qui ne serait pas souhaitée par les parties au conflit. On comprend que nos militaires, qui se souviennent du sang versé lors du précédent bosniaque, soient réticents. Il n'y a là que des coups à prendre. Point crucial, le désarmement du Hezbollah est laissé à l'armée libanaise, «assistée» de la Finul. On voit mal la milice chiite renoncer de plein gré à ses armes que le pilonnage israélien n'a pu faire taire.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Personne ne devrait être surpris que les missiles antichars les plus récents puissent percer le blindage des chars d'assaut les plus lourds et les mieux protégés. Mais les tanks israéliens ont quand même réussi à limiter les pertes. De la même manière, l'absence de protection contre les missiles à courte portée équipés de petites ogives relève du simple bon sens : ils ne sont pas assez puissants pour justifier de dépenser des milliards de dollars pour le dernier système d'armes laser grand comme un terrain de football. D'autres erreurs d'interprétation plus graves sont aussi manifestes. Ainsi, au lieu de réfuter la liesse victorieuse de cheikh Hassan Nasrallah, de nombreux commentateurs à travers le monde répètent et cautionnent ses affirmations selon lesquelles le Hezbollah a combattu plus courageusement que les soldats des armées régulières des pays arabes lors des guerres précédentes. Mais en , après avoir franchi le canal de Suez par milliers, les fantassins égyptiens avaient tenu bon devant l'avancée des chars d'assaut israéliens. Ils se trouvaient en terrain découvert, en plein désert, sans aucune des protections ou des caches dont le Hezbollah disposait dans les villages libanais bâtis en pierre. <a title="sac lonchampsoas cher" rel="nofollow" href="http://www.jeunesump28.fr/p-198-sac-lonchampsoas-cher">sac lonchampsoas cher</a> <br /> sac lonchampsoas cherIl est vrai qu'Israël n'avait pas de plan de bataille cohérent. En conséquence, même les bombardements dont les objectifs étaient les mieux définis ont été très destructeurs (quoiqu'avec un effet dissuasif puisque la Syrie n'a pas bougé). De la même manière, du début à la fin, les actions au sol de l'armée israélienne ont été hésitantes et peu concluantes. Israël n'a pas appliqué un plan qui avait pourtant été élaboré avec soin et qui combinait astucieusement des offensives maritimes, aériennes, terrestres, à la fois rapides et en profondeur audelà du front afin que ses troupes remontent ensuite vers la frontière en détruisant les arrières des positions du Hezbollah.plan est resté dans les cartons en raison des faibles pertes civiles israéliennes. S'attendant à être la cible de milliers de missiles (sans système de guidage) lancés en tirs de barrage par le Hezbollah, Israël pensait que leur nombre, combiné à leur effet de souffle destructeur, compenserait leur imprécision et tuerait beaucoup de civils, peutêtre des centaines chaque jour. Pareil bilan aurait rendu nécessaire, et justifié politiquement, une offensive de grande envergure engageant plus de soldats, au prix sans doute de la perte de centaines d'entre eux. <a title="sac lonchampsoas cher soldes" rel="nofollow" href="http://www.jeunesump28.fr/p-198-sac-lonchampsoas-cher">sac lonchampsoas cher soldes</a> sac lonchampsoas cher soldes Mais le Hezbollah a choisi de disperser ses missiles sur le terrain, les confiant à des milices villageoises capables de les mettre à l'abri des attaques aériennes, ainsi que des tirs d'artillerie et des drones d'observation, mais sans pour autant être en mesure de les lancer simultanément vers une cible désignée. Les Israéliens n'ont eu à déplorer qu'un ou deux morts civils par jour et non des centaines. Même au bout de trois semaines, le bilan total était moins lourd que celui de certains attentats suicides. Cela rendait politiquement inacceptable une offensive qui aurait entraîné la mort de jeunes soldats et de pères de famille. Enfin, une telle offensive n'aurait pas éliminé le Hezbollah car il s'agit d'un mouvement politique et pas seulement d'une armée ou d'une milice. Voilà pourquoi le résultat de la guerre est sans doute plus satisfaisant que ce que beaucoup pensent. Contrairement à Yasser Arafat qui combattait pour une Palestine éternelle plutôt que pour les Palestiniens, et qui était toujours prêt à sacrifier leur prospérité et leur sécurité au nom de la cause, Nasrallah compte sur le soutien politique de la population du SudLiban. <a title="le pliage longchamp tour eiffel" rel="nofollow" href="http://www.jeunesump28.fr/p-196-le-pliage-longchamp-tour-eiffel">le pliage longchamp tour eiffel</a> <br /> le pliage longchamp tour eiffelAyant implicitement accepté la responsabilité du déclenchement de la guerre, Nasrallah a ordonné au Hezbollah de s'occuper de la reconstruction rapide des villages et des villes jusqu'à la frontière israélienne. Sa base populaire est maintenant l'otage de la bonne conduite du Hezbollah. Il ne peut plus guère se permettre d'engager un nouveau cycle de combats qui, une fois de plus, entraînerait de larges destructions. Expert en stratégie, consultant militaire, membre du Center for Strategic and International Studies de Washington. Copyright : Project Syndicate . Traduit de l'anglais par Patrice Horovitz.La France, et l'Europe avec elle, formera bien l'ossature de la force de l'ONU chargée d'aider à l'application de la résolution qui a permis un cessezlefeu au Liban après trentequatre jours de guerre entre Israël et le Hezbollah. <a title="le pliage longchamp tour eiffel pas cher" rel="nofollow" href="http://www.jeunesump28.fr/p-196-le-pliage-longchamp-tour-eiffel">le pliage longchamp tour eiffel pas cher</a> le pliage longchamp tour eiffel pas cher La presse américaine a beau le déplorer, c'est ainsi. Compte tenu des engagements militaires des ÉtatsUnis en Afghanistan et en Irak, il ne peut pas en être autrement. Les troupes de Georges W. Bush ont découvert en Irak qu'il ne suffit pas de renverser un dictateur honni de tous pour se faire aimer. Mettre au Liban ses soldats entre deux ennemis qui ne sont convenus et ce du bout des lèvres que d'un fragile cessezlefeu, est une entreprise autrement périlleuse qui exige un minimum de précautions. Faire semblant de l'ignorer et ricaner à propos des prétendues reculades françaises en dit long sur l'aigreur qui a gagné l'état d'esprit général outreAtlantique. La France s'est battue pour que cessent des combats qui ne menaient à rien si ce n'est à renforcer le Hezbollah en lui permettant de démontrer sa capacité de résistance. <a title="longchamp le pliage bordeaux s" rel="nofollow" href="http://www.jeunesump28.fr/p-195-longchamp-le-pliage-bordeaux-s">longchamp le pliage bordeaux s</a> <br /> longchamp le pliage bordeaux sIl a fallu pour cela accepter que le cessezlefeu ne soit que cela, un arrêt des hostilités. La résolution prévoit donc le déploiement de la Finul renforcée sans qu'un accord politique soit intervenu entre belligérants. C'est la pire des situations que l'on peut imaginer pour des Casques bleus dont la mission ne peut être d'imposer une paix qui ne serait pas souhaitée par les parties au conflit. On comprend que nos militaires, qui se souviennent du sang versé lors du précédent bosniaque, soient réticents. Il n'y a là que des coups à prendre. Point crucial, le désarmement du Hezbollah est laissé à l'armée libanaise, «assistée» de la Finul. On voit mal la milice chiite renoncer de plein gré à ses armes que le pilonnage israélien n'a pu faire taire.</div>

  ...

  Cancel

To Top