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started by thenorth321 thenorth321 on 08 Jul 14
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    Avanthier, les avions israéliens ont lâché des milliers de tracts sur les localités libanaises situées au sud du Litani, leur intimant l'ordre de regrouper leurs armes à l'entrée du village, autour d'un drapeau blanc visible de loin.Tsahal veut redorer son blasonPourquoi, à l'issue d'un mois de guerre contre le Hezbollah, et à deux jours seulement d'un cessezlefeu ordonné par le Conseil de sécurité de l'ONU, Tsahal atil décidé de lancer une offensive de grande ampleur, impliquant plus de hommes, et devant la conduire jusqu'aux rives du Litani La rumeur court que les généraux ont exercé sur les politiques une pression sans précédent dans l'histoire de l'Etat juif. Pour comprendre, il faut interroger d'anciens militaires, dégagés de leur obligation de réserve. «La première raison de cette offensive générale de dernière minute est interne à Israël», confie Aharon Berenson, ans, qui fut pilote de Skyhawk pendant la guerre du Kippour octobre et, plus tard, administrateur des propriétés de l'Etat au Golan territoire syrien occupé par Israël depuis la guerre des SixJours de . «Tsahal a un besoin critique de redorer son blason, de reconquérir l'estime dont elle jouissait dans la population israélienne. Un mois de guerre et toujours autant de roquettes tombant sur notre territoire : l'échec est flagrant !» Dans tous les sondages d'opinion, l'armée est, de loin, l'institution la plus respectée en Israël, à la différence de la Knesset, ouvertement vilipendée par un très grand nombre de citoyens. Mais, comme elle pompe du budget de l'Etat, elle est tenue à des résultats. marque longchamp
    marque longchamp Pour Aharon, qui occupe aujourd'hui ses journées à combattre, aux commandes d'un monomoteur à hélice, les feux de forêts déclenchés par les roquettes du Hezbollah, la seconde raison de cette invasion qui ne dit pas son nom est, pour Tsahal, «d'essayer de retrouver un pouvoir de dissuasion crédible face au monde arabe et à l'Iran». Selon l'ancien pilote de guerre, la nécessité de conquérir le maximum de terrain au Hezbollah pour ne le transmettre ensuite qu'à l'armée libanaise et à la Finul, ne vient qu'en troisième rang dans l'ordre des préoccupations de Tsahal. Il règne une drôle d'ambiance le soir à Metulla, où l'électricité saute et revient, au gré des dommages infligés par les obus du Hezbollah. A la terrasse, protégée de murs épais, du Tahana, le dernier restaurant ouvert de la bourgade, se presse une faune hétéroclite : réservistes israéliens en uniforme débraillé échangeant des propos inquiets sur tel hélicoptère qui viendrait d'être abattu par un missile, correspondants de guerre, irréductibles résidents locaux mâles ayant envoyé leurs familles vers le sud du pays. La jeune et jolie serveuse est débordée. Soudain, la jeune fille pousse un petit cri de joie, pose son plateau, et court embrasser une silhouette qui s'avance dans l'obscurité. En treillis, le fusil à lunette en bandoulière, le garçon a le visage noirci au bouchon. sac de marque longchamp sac de marque longchamp C'est un commando d'élite, qui s'apprête à repasser de l'autre côté de la frontière. A peine un baiser, et il repart dans la nuit. «Il est du même kibboutz que moi, sur le Golan. Je ne l'avais pas vu depuis un mois. J'en suis toute tremblante !», confie la serveuse. LA SYRIE «appuie» la décision libanaise d'approuver la résolution , «ainsi que les réserves libanaises officielles», a annoncé hier l'agence officielle syrienne Sana. C'était la première fois que Damas se prononçait sur les percées diplomatiques qui se sont négociées sans lui. marque longchamp pas cher
    marque longchamp pas cher En prenant acte laconiquement de la décision du gouvernement libanais, «prise à l'unanimité», souligne l'agence, Damas entérine la décision de son allié le Hezbollah, tout en reconnaissant son absence dans le débat. L'extuteur du Liban, dont les troupes ont quitté officiellement le pays du Cèdre en avril sous la pression internationale, est vu par nombre d'analystes occidentaux comme le grand perdant de la guerre. «Tout s'est fait sans elle. C'est la deuxième sortie syrienne du Liban», affirme un observateur privilégié. Le silence diplomatique observé par les Syriens depuis le début du conflit accrédite la vision d'un gouvernement isolé, qui aurait perdu la main. Pour la première fois, un règlement diplomatique régional s'est déroulé sans le pays qui avait toujours su se rendre indispensable. Le ministre des Affaires étrangères, Walid Mouallem, s'est fait même retoquer assez violemment par ses pairs à la réunion de la Ligue arabe, à Beyrouth il a une semaine.

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