Dans le discours, aussi, avec une rhétorique un peu rénovée, en rattachant la crise centrafricaine à celle du Darfour - ce qui est en partie vrai - pour intégrer une intervention « en solo » dans les efforts internationaux en vue de stabiliser la région. Pour autant, cette intervention n'apparaît pas si décomplexée que cela, comme en témoigne, du côté militaire, une forte réticence à communiquer sur le terrain. La transparence politique revendiquée n'a pas été déclinée à tous les niveaux. « On se croirait revenus vingt ans en arrière : tout est verrouillé, s'étonne la même source. Si cette intervention est légitime, pourquoi se cacher ? »En fait, les Français sont un peu embarrassés. En Centrafrique comme au Tchad, ils risquent d'apparaître comme les sauveurs de régimes contestables, dont ils obtiennent peu en retour. Le soutien à l'armée centrafricaine, qui se livre à des exactions à grande échelle dans le Nord-Ouest, pourrait ainsi s'avérer gênant. sac longchamp pas cher « Nous avons sans doute fait le sale et nécessaire travail que personne d'autre ne voulait faire, confie un proche du dossier, mais le problème est plus général. On en reste au vieux schéma où les choses se décident à trois personnes ou par un coup de téléphone de l'Élysée. Bref, une gestion au coup par coup, sans vision d'ensemble, sans vision tout court. » Une politique africaine datée et à la petite semaine, qui a montré ses limites en Côte d'Ivoire ou ailleurs. « AVEC les plans sociaux dans l'industrie, les difficultés récentes, on a oublié qu'ingénierie était synonyme de progrès technologiques », constate Gérard Briard, directeur du management des compétences de Segula. Déficit d'image, donc, autour du métier d'ingénieur. « La communication des grandes écoles est un peu en cause. sac burberry pas cher Pendant des années, on a mis en avant les écoles de commerce ; elles ont su créer des réseaux, des partenariats avec les entreprises, ce que n'ont pas vraiment fait les écoles d'ingénieurs », analyse Marc Jager, responsable du service recrutement chez Arc International. « Les écoles de commerce ont su communiquer, créer des sites internes avec des offres d'emploi, ce que ne font pas encore les écoles d'ingénieurs. Et puis à côté de la formation commerciale, la formation d'ingénieur peut paraître austère », poursuit Olivier Münch. Sans parler de la représentation du métier, difficile à appréhender. Je veux bien être ingénieur, mais pour faire quoi ? Est-ce rester assis derrière un ordinateur à faire des calculs ou être dans une usine à créer des machines ? « Du coup, à la sortie de l'école, une grande part de jeunes diplômés se tournent plutôt vers la finance et l'audit », constate Dan Bloch, d'Abylsen. Pour palier ce manque de visibilité, Segula a choisi de sillonner lycées et écoles d'ingénieurs avec des professionnels, qui parlent de leur métier et de leur quotidien. La Marine, elle, envoie dans les lycées un élève de l'École navale, qui va parler de la réalité du métier : « On leur raconte le quotidien dans un sous-marin nucléaire, sur un bâtiment. hermes birkin neuf pas cher .. Cela rend le métier attirant.» LEURS CAHIERS à la main, les étudiants trouvent les portes de l'université islamique de Gaza fermées. Les rafales d'armes automatiques claquent entre les immeubles du quartier des ministères, où s'affrontent les troupes fidèles au président Mahmoud Abbas et les partisans du gouvernement du Hamas. Surpris au milieu des combats, les étudiants longent les murs en béton pour se réfugier dans un café. Une fois à l'abri, ils suivent les combats, qui ont lieu juste à l'extérieur, en direct à la télévision.
started by stlwdwl2 on 31 Dec 14
« Nous avons sans doute fait le sale et nécessaire travail que personne d'autre ne voulait faire, confie un proche du dossier, mais le problème est plus général. On en reste au vieux schéma où les choses se décident à trois personnes ou par un coup de téléphone de l'Élysée. Bref, une gestion au coup par coup, sans vision d'ensemble, sans vision tout court. » Une politique africaine datée et à la petite semaine, qui a montré ses limites en Côte d'Ivoire ou ailleurs. « AVEC les plans sociaux dans l'industrie, les difficultés récentes, on a oublié qu'ingénierie était synonyme de progrès technologiques », constate Gérard Briard, directeur du management des compétences de Segula. Déficit d'image, donc, autour du métier d'ingénieur. « La communication des grandes écoles est un peu en cause. sac burberry pas cher Pendant des années, on a mis en avant les écoles de commerce ; elles ont su créer des réseaux, des partenariats avec les entreprises, ce que n'ont pas vraiment fait les écoles d'ingénieurs », analyse Marc Jager, responsable du service recrutement chez Arc International. « Les écoles de commerce ont su communiquer, créer des sites internes avec des offres d'emploi, ce que ne font pas encore les écoles d'ingénieurs. Et puis à côté de la formation commerciale, la formation d'ingénieur peut paraître austère », poursuit Olivier Münch. Sans parler de la représentation du métier, difficile à appréhender. Je veux bien être ingénieur, mais pour faire quoi ? Est-ce rester assis derrière un ordinateur à faire des calculs ou être dans une usine à créer des machines ? « Du coup, à la sortie de l'école, une grande part de jeunes diplômés se tournent plutôt vers la finance et l'audit », constate Dan Bloch, d'Abylsen. Pour palier ce manque de visibilité, Segula a choisi de sillonner lycées et écoles d'ingénieurs avec des professionnels, qui parlent de leur métier et de leur quotidien. La Marine, elle, envoie dans les lycées un élève de l'École navale, qui va parler de la réalité du métier : « On leur raconte le quotidien dans un sous-marin nucléaire, sur un bâtiment. hermes birkin neuf pas cher
.. Cela rend le métier attirant.» LEURS CAHIERS à la main, les étudiants trouvent les portes de l'université islamique de Gaza fermées. Les rafales d'armes automatiques claquent entre les immeubles du quartier des ministères, où s'affrontent les troupes fidèles au président Mahmoud Abbas et les partisans du gouvernement du Hamas. Surpris au milieu des combats, les étudiants longent les murs en béton pour se réfugier dans un café. Une fois à l'abri, ils suivent les combats, qui ont lieu juste à l'extérieur, en direct à la télévision.