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Sac Burberry pas cher Foulard - 0 views

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started by longchamps08 on 04 Nov 14
  • longchamps08
     
    Echarpe burberry pas cherDarzac avec cette canne et que nous l'avionsfort embarrassé, le soir du cabaret d'Épinay, en lui prouvant qu'il nousmentait ! Vous savez qu'il disait qu'il avait eu cette canne à Londres ; or,la marque attestait qu'elle était de Paris ! Pourquoi, à ce moment, au lieude penser : « Fred ment ; il était à Londres ; il n'a pas pu avoir cette cannede Paris, à Londres ? » ; Pourquoi ne nous sommesnous pas dit : « Fredment. Il n'était pas à Londres, puisqu'il a acheté cette canne à Paris ! »Fred menteur, Fred à Paris, au moment du crime ! C'est un point de départ de soupçon, cela ! Et quand, après votre enquête chez Cassette, vousnous apprenez que cette canne a été achetée par un homme qui est habillé comme M. Darzac, alors que nous sommes sûrs, d'après la parole deM. Darzac luimême, que ce n'est pas lui qui a acheté cette canne, alorsque nous sommes sûrs, grâce à l'histoire du bureau de poste , qu'il y aà Paris un homme qui prend la silhouette Darzac, alors que nous nousdemandons quel est donc cet homme qui, déguisé en Darzac, se présentele soir du crime chez Cassette pour acheter une canne que nous retrouvons entre les mains de Fred, comment ? comment ? comment ne noussommesnous pas dit un instant : « Mais… mais… mais… cet inconnudéguisé en Darzac qui achète une canne que Fred a entre les mains, … si c'était… si c'était… Fred luimême ? … » Certes, sa qualité d'agent de laSûreté n'était point propice à une pareille hypothèse ; mais, quand nousavions constaté l'acharnement avec lequel Fred accumulait les preuvescontre Darzac, la rage avec laquelle il poursuivait le malheureux… nousaurions pu être frappés par un mensonge de Fred aussi important quecelui qui le faisait entrer en possession, à Paris, d'une canne qu'il ne pouvait avoir eue à Londres. Même, s'il l'avait trouvée à Paris, le mensongede Londres n'en existait pas moins. Tout le monde le croyait à Londres,même ses chefs et il achetait une canne à Paris ! Maintenant, comment sefaisaitil que, pas une seconde, il n'en usa comme d'une canne trouvéeautour de M. Darzac ! C'est bien simple ! C'est tellement simple que nousn'y avons pas pensé… Larsan l'avait achetée, après avoir été blessé légèrement à la main par la balle de Mlle Stangerson, uniquement pour avoirun maintien, pour avoir toujours la main refermée, pour n'être point tenté d'ouvrir la main et de montrer sa blessure intérieure ? Comprenezvous ? … Voilà ce qu'il m'a dit, Larsan, et je me rappelle vous avoir répété souvent combien je trouvais bizarre « que sa main ne quittât pas cettecanne ». Polo Burberry pas cher
    Chemise burberry pas cher À table, quand je dînais avec lui, il n'avait pas plutôt quitté cettecanne qu'il s'emparait d'un couteau dont sa main droite ne se séparaitplus. Tous ces détails me sont revenus quand mon idée se fût arrêtée surLarsan, c'estàdire trop tard pour qu'ils me fussent d'un quelconque secours. C'est ainsi que, le soir où Larsan a simulé devant nous le sommeil,je me suis penché sur lui et, très habilement, j'ai pu voir, sans qu'il s'endoutât, dans sa main. Il ne s'y trouvait plus qu'une bande légère de taffetas qui dissimulait ce qui restait d'une blessure légère. Je constatai qu'ileût pu prétendre à ce moment que cette blessure lui avait été faite partoute autre chose qu'une balle de revolver. Tout de même, pour moi, àcette heurelà, c'était un nouveau signe extérieur qui entrait dans lecercle de mon raisonnement. La balle, m'a dit tout à l'heure Larsan,n'avait fait que lui effleurer la paume et avait déterminé une assez abondante hémorragie. Sac Burberry pas cher Foulard burberry pas cher« Si nous avions été plus perspicaces, au moment du mensonge de Larsan, et plus… dangereux… il est certain que celuici eût sorti, pour détourner les soupçons, l'histoire que nous avions imaginée pour lui,l'histoire de la découverte de la canne autour de Darzac ; mais les événements se sont tellement précipités que nous n'avons plus pensé à lacanne ! Tout de même nous l'avons fort ennuyé, LarsanBallmeyer, sansque nous nous en doutions ! - Mais, interrompisje, s'il n'avait aucune intention, en achetant lacanne, contre Darzac, pourquoi avaitil alors la silhouette Darzac ? Lepardessus mastic ? Le melon ? Etc. - Parce qu'il arrivait du crime et qu'aussitôt le crime commis, il avaitrepris le déguisement Darzac qui l'a toujours accompagné dans sonœuvre criminelle dans l'intention que vous savez ! « Mais déjà, vous pensez bien, sa main blessée l'ennuyait et il eut, enpassant avenue de l'Opéra, l'idée d'acheter une canne, idée qu'il réalisasurlechamp ! … Il était huit heures ! Un homme, avec la silhouette Darzac, qui achète une canne que je trouve dans les mains de Larsan ! … Etmoi, moi qui avais deviné que le drame avait déjà eu lieu à cette heurelà, qu'il venait d'avoir lieu, qui étais à peu près persuadé de l'innocencede Darzac je ne soupçonne pas Larsan ! … il y a des moments… - Il y a des moments, fisje, où les plus vastes intelligences… » Rouletabille me ferma la bouche… Et comme je l'interrogeais encore, jem'aperçus qu'il ne m'écoutait plus… Rouletabille dormait. J'eus toutesles peines du monde à le tirer de son sommeil quand nous arrivâmes àParis. Chapitre Le mystère de Mlle StangersonLes jours suivants, j'eus l'occasion de lui demander encore ce qu'il étaitallé faire en Amérique. Il ne me répondit guère d'une façon plus précisequ'il ne l'avait fait dans le train de Versailles, et il détourna la conversation sur d'autres points de l'affaire. Il finit, un jour, par me dire : « Mais comprenez donc que j'avais besoin de connaître la véritablepersonnalité de Larsan ! - Sans doute, fisje, mais pourquoi alliezvous la chercher enAmérique ? … » Il fuma sa pipe et me tourna le dos. Évidemment, je touchais au « mystère de Mlle Stangerson ». Trench burberry pas cher
    Rouletabille avait pensé que ce mystère, quiliait d'une façon si terrible Larsan à Mlle Stangerson, mystère dont il netrouvait, lui, Rouletabille, aucune explication dans la vie de Mlle Stangerson, « en France », il avait pensé, disje, que ce mystère « devait avoirson origine dans la vie de Mlle Stangerson, en Amérique ». Et il avait prisle bateau ! Làbas, il apprendrait qui était ce Larsan, il acquerrait les matériaux nécessaires à lui fermer la bouche… Et il était parti pourPhiladelphie ! Et maintenant, quel était ce mystère qui avait « commandé le silence »à Mlle Stangerson et à M. Robert Darzac ? Au bout de tant d'années,après certaines publications de la presse à scandale, maintenant que M.Stangerson sait tout et a tout pardonné, on peut tout dire. C'est, du reste,très court, et cela remettra les choses au point, car il s'est trouvé de tristesesprits pour accuser Mlle Stangerson qui, en toute cette sinistre affaire,fut toujours victime, « depuis le commencement ». Le commencement remontait à une époque lointaine où, jeune fille,elle habitait avec son père à Philadelphie. Là, elle fit la connaissance,dans une soirée, chez un ami de son père, d'un compatriote, un Françaisqui sut la séduire par ses manières, son esprit, sa douceur et son amour.

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