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  #1 longcha longcha on 26 Jul 14

   

  Jesus Vidana Lopez est reconnaissant : «Dieu nous a vraiment aidé». Et pour cause : avec deux autres pêcheurs mexicains, il a été retrouvé après mois de dérive à travers l'Océan Pacifique. Audelà des prières, l'eau de pluie, les poissons et les oiseaux crus ont permis aux naufragés de rester en vie.Leur odyssée a pris fin le août dernier, après une dérive de . kilomètres. C'est un thonier taïwanais qui a découvert le bateau, avec sur son pont arrière, trois hommes plongés dans un sommeil comateux, non loin de l'île de Kiribati. Les miraculés racontent qu'ils ont cru rêver en entendant le bruit de moteur du bateau sauveteur. sac longchamp pliage cuir
  sac longchamp pliage cuirUn membre de l'équipage du thonier se souvient : «Les trois naufragés n'avaient plus que la peau sur les os».En octobre , ils avaient quitté le port de San Blas, sur la côte Pacifique du Mexique, pour aller pêcher le requin. Mais le mauvais temps, puis une panne d'essence les ont empêchés de regagner la côte. Ne disposant d'aucun moyen d'alerte ni de navigation, ils ont dû se laisser porter par le courant.TempêtesDeux autres compagnons d'infortune sont morts au bout de deux mois. «Ils ne pouvaient pas manger d'oiseaux et de poissons crus. Ils n'arrêtaient pas de vomir et ils ont fini par cracher du sang», raconte l'un des rescapés. Sac a main Longchamp Pliage pas cher Sac a main Longchamp Pliage pas cher Tous deux ont été jetés par dessus bord.La pire épreuve pour les naufragé : l'hiver dernier, lorsque de violentes tempêtes se sont abattues sur leur frêle embarcation, les empêchant d'attraper leur nourriture. «On avait peur de couler. Nous avons passé jusqu'à treize jours sans nourriture, on n'avait qu'un oiseau à manger» se souviennentils. Les rescapés sont attendus vendredi au Mexique. L'un d'entre eux a même découvert qu'il était le père d'une petite fille de six mois.EN OUVRANT la perspective de «négociations sérieuses» comme réponse à l'offre de coopération qui lui avait été faite par les grandes puissances, Téhéran sème le trouble. longchamp sac pliage degriffé
  longchamp sac pliage degrifféÀ Paris et à Moscou, les diplomates ont réagi prudemment hier, en indiquant vouloir d'abord étudier avec soin la proposition iranienne, jugée «complexe», contenue dans un document de vingt et une pages. Ce passage au crible prendra plusieurs jours, indiquaient hier les chancelleries occidentales.Même accueil circonspect à Washington, où le département d'État a laissé passer plus de vingtquatre heures avant de livrer sa première réaction officielle, hier, en début de soirée. Et de toute évidence, la réponse iranienne est insuffisante du point de vue américain. «Nous reconnaissons que l'Iran estime que sa réponse est une offre sérieuse et nous allons l'étudier La réponse, toutefois, ne remplit pas les conditions posées par le Conseil de sécurité, qui réclame une suspension totale et contrôlable de tout le processus d'enrichissement», a déclaré le porteparole du département d'État, Gonzalo Gallegos. Washington disait être hier soir en consultation avec des membres du Conseil de sécurité de l'ONU pour savoir comment y répondre.les clivages risquent de se creuserIl apparaît clairement que Téhéran a une nouvelle fois refusé l'exigence des Occidentaux de suspendre l'enrichissement de l'uranium comme condition préalable pour désamorcer la crise.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Jesus Vidana Lopez est reconnaissant : «Dieu nous a vraiment aidé». Et pour cause : avec deux autres pêcheurs mexicains, il a été retrouvé après mois de dérive à travers l'Océan Pacifique. Audelà des prières, l'eau de pluie, les poissons et les oiseaux crus ont permis aux naufragés de rester en vie.Leur odyssée a pris fin le août dernier, après une dérive de . kilomètres. C'est un thonier taïwanais qui a découvert le bateau, avec sur son pont arrière, trois hommes plongés dans un sommeil comateux, non loin de l'île de Kiribati. Les miraculés racontent qu'ils ont cru rêver en entendant le bruit de moteur du bateau sauveteur. <a title="sac longchamp pliage cuir" href="http://www.alphapack.fr/saclongchamppascher/sac-longchamp-pliage-soldes-pas-cher/" rel="nofollow">sac longchamp pliage cuir</a> <br /> sac longchamp pliage cuirUn membre de l'équipage du thonier se souvient : «Les trois naufragés n'avaient plus que la peau sur les os».En octobre , ils avaient quitté le port de San Blas, sur la côte Pacifique du Mexique, pour aller pêcher le requin. Mais le mauvais temps, puis une panne d'essence les ont empêchés de regagner la côte. Ne disposant d'aucun moyen d'alerte ni de navigation, ils ont dû se laisser porter par le courant.TempêtesDeux autres compagnons d'infortune sont morts au bout de deux mois. «Ils ne pouvaient pas manger d'oiseaux et de poissons crus. Ils n'arrêtaient pas de vomir et ils ont fini par cracher du sang», raconte l'un des rescapés. <a title="Sac a main Longchamp Pliage pas cher" href="http://www.alphapack.fr/saclongchamppascher/sac-longchamp-pliage-soldes-pas-cher/" rel="nofollow">Sac a main Longchamp Pliage pas cher</a> Sac a main Longchamp Pliage pas cher Tous deux ont été jetés par dessus bord.La pire épreuve pour les naufragé : l'hiver dernier, lorsque de violentes tempêtes se sont abattues sur leur frêle embarcation, les empêchant d'attraper leur nourriture. «On avait peur de couler. Nous avons passé jusqu'à treize jours sans nourriture, on n'avait qu'un oiseau à manger» se souviennentils. Les rescapés sont attendus vendredi au Mexique. L'un d'entre eux a même découvert qu'il était le père d'une petite fille de six mois.EN OUVRANT la perspective de «négociations sérieuses» comme réponse à l'offre de coopération qui lui avait été faite par les grandes puissances, Téhéran sème le trouble. <a title="longchamp sac pliage degriffé" href="http://www.alphapack.fr/saclongchamppascher/sac-longchamp-pliage-soldes-pas-cher/" rel="nofollow">longchamp sac pliage degriffé</a> <br /> longchamp sac pliage degrifféÀ Paris et à Moscou, les diplomates ont réagi prudemment hier, en indiquant vouloir d'abord étudier avec soin la proposition iranienne, jugée «complexe», contenue dans un document de vingt et une pages. Ce passage au crible prendra plusieurs jours, indiquaient hier les chancelleries occidentales.Même accueil circonspect à Washington, où le département d'État a laissé passer plus de vingtquatre heures avant de livrer sa première réaction officielle, hier, en début de soirée. Et de toute évidence, la réponse iranienne est insuffisante du point de vue américain. «Nous reconnaissons que l'Iran estime que sa réponse est une offre sérieuse et nous allons l'étudier La réponse, toutefois, ne remplit pas les conditions posées par le Conseil de sécurité, qui réclame une suspension totale et contrôlable de tout le processus d'enrichissement», a déclaré le porteparole du département d'État, Gonzalo Gallegos. Washington disait être hier soir en consultation avec des membres du Conseil de sécurité de l'ONU pour savoir comment y répondre.les clivages risquent de se creuserIl apparaît clairement que Téhéran a une nouvelle fois refusé l'exigence des Occidentaux de suspendre l'enrichissement de l'uranium comme condition préalable pour désamorcer la crise.</div>

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