polo lacoste femmeMais en ce n'était plus le cas et cela faisait bienlongtemps que je n'avais pas eu de nouvelles de Steve Jobs. On a évoqué un peu l'Institut Aspen quej'avais rejoint dernièrement, et je lui ai proposé de venir donner une conférence lors de notreuniversité d'été dans le Colorado. Il m'a répondu qu'il serait ravi de venir, mais qu'il ne monterait passur scène. Il voulait, en réalité, se promener avec moi et me parler. Cela m'a paru quelque peu curieux. J'ignorais à l'époque que c'était son modus operandi quand ilavait une affaire délicate à régler. J'appris donc, au cours de cette marche, qu'il souhaitait que j'écriveune biographie sur lui. polo lacoste femme polo lacoste pas cher J'avais récemment publié celle de Benjamin Franklin et travaillais sur celled'Albert Einstein ; je me suis demandé, avec amusement, si Steve Jobs avait la fatuité de se placerdans la suite logique des deux précédents. Jugeant qu'il était au milieu de sa carrière et que la vie luiréservait encore bien des rebondissements, j'ai décliné l'offre. Dans dix ou vingt ans peutêtre, lui aije répliqué, quand vous aurez pris votre retraite … J'avais rencontré Steve Jobs la première fois en , lorsqu'il était venu au siège de TimeLife àManhattan pour déjeuner avec l'équipe de rédaction et faire l'article pour son nouveau Macintosh. Ilétait déjà vif à l'époque, et avait fustigé un correspondant du Time qui avait eu le malheur d'écrire surlui un article un peu trop « indiscret ». Mais en conversant avec lui après la réunion, j'ai été, commetant d'autres personnes avant moi, fasciné par le personnage, par sa passion et son intensité. On est restés en contact, même après son éviction d'Apple. Quand il avait quelque chose à présenter, parexemple l'ordinateur de NeXT ou un film Pixar, son œil irrésistible se braquait sur moi ; il m'emmenaitalors manger des sushis dans un restaurant de Manhattan pour me dire qu'il venait de réaliser le chefd'œuvre de sa vie. polo lacoste pas cher polos lacoste Lacoste Pas CherJ'aimais bien l'homme. Quand il eut retrouvé son trône à Apple, on lui a consacré la une du Time. Peu après, sachant quenous préparions une série sur les grandes figures du siècle, il m'avait suggéré quelques idées. Il avaitlancé sa campagne « Think Different » où il présentait sa propre collection d'icônes et, dans certainscas, nos choix se recoupaient. Il était fasciné par ces gens qui avaient laissé leur marque dansl'histoire de l'humanité… Après que j'ai refusé sa proposition d'écrire sa biographie, il m'a appelé de temps en temps. Unjour, je lui ai envoyé un email pour lui demander si c'était vrai, comme le prétendait ma fille, que lelogo d'Apple était un hommage au mathématicien Alan Turing qui, après avoir percé les codes de lamachine Enigma et été le pionnier de l'informatique moderne, s'était suicidé en croquant une pommetrempée dans du cyanure. Jobs m'a rétorqué qu'il aurait bien aimé avoir eu cette idée, mais que cen'était pas là l'origine du logo. polos lacosteLacoste Pas Cher 3Ce fut alors le point de départ d'une discussion sur les débuts d'Apple ;et malgré moi, j'ai commencé à me documenter sur le sujet au cas où, un jour, je déciderais d'écrirecette biographie. Quand mon travail sur Einstein est sorti, Jobs est venu me trouver à une séance dedédicace que je donnais à Palto Alto et m'a entraîné à l'écart pour me convaincre encore une foisd'écrire ce livre. Son insistance me surprenait. Il protégeait d'ordinaire farouchement sa vie privée et n'avait sansdoute jamais lu l'un de mes ouvrages. Un jour peutêtre, aije répondu. Mais en , sa femmeLaurene m'a appelé : « Si vous voulez faire ce livre, c'est maintenant. » Jobs venait à nouveau des'absenter d'Apple pour raison médicale.
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3Ce fut alors le point de départ d'une discussion sur les débuts d'Apple ;et malgré moi, j'ai commencé à me documenter sur le sujet au cas où, un jour, je déciderais d'écrirecette biographie. Quand mon travail sur Einstein est sorti, Jobs est venu me trouver à une séance dedédicace que je donnais à Palto Alto et m'a entraîné à l'écart pour me convaincre encore une foisd'écrire ce livre. Son insistance me surprenait. Il protégeait d'ordinaire farouchement sa vie privée et n'avait sansdoute jamais lu l'un de mes ouvrages. Un jour peutêtre, aije répondu. Mais en , sa femmeLaurene m'a appelé : « Si vous voulez faire ce livre, c'est maintenant. » Jobs venait à nouveau des'absenter d'Apple pour raison médicale.
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