Les cons sont justes contents que les ennuis se terminent. Plus d'Ardisson, plus de Fogiel, plus de Labro, mais toujours la «Star Academy». Ce qui s'appelle pas de chance. On va envoyer une douzaine de garçons et de filles au Minotaure Audimat pour qu'il les dévore dans le labyrinthe de l'île SaintDenis. Qu'avaientils fait de si mal, Ardisson, Fogiel et Labro Ça doit être parce qu'ils parlaient. Ils auraient dû chanter. Guy Carlier croyait qu'on peut faire de la critique de la télé à la télé. Ralph Lauren pas cher chaussures ralph lauren hommeErreur typique d'un gars n'ayant jamais vécu dans une dictature. A la télé, comme naguère dans les pays socialistes, on opère par purges. Vous me direz : mais ces gens sont surpayés. Et alors Beaucoup plus pénible de perdre son job quand il est surpayé que quand il est souspayé. Rien ne ressemble plus au goulag que euros de moins par mois. Ce n'est pas Ardisson, anticommuniste notoire, qui me dira le contraire. L'événement télévisuel de l'été, pour moi, reste Julien Arnaud, qui présentait les journaux du weekend sur TF à la place de Claire Chazal. Polo soldes ralph lauren Polo ralph lauren Il a été un peu éclipsé dans les médias par Harry Roselmack, mais ça ne l'a pas empêché de faire un aussi bon travail que celui qu'il faisait sur LCI : présentation claire de sujets intéressants. L'information, c'est tellement simple, il suffit de tout lire, de tout écouter, de tout regarder et de le résumer après. On se demande pourquoi si peu de journalistes télé en font. Ces vacances de deux mois auxquelles on force, maintenant, les gens de la télé en arrêtant leurs émissions dès la fin mai. Le stress, évacué un peu trop loin, revient à toute vitesse en septembre. Ils vont finir, comme les profs, par vivre pour leurs congés. Et avoir beaucoup de dépressions nerveuses. Polo ralph lauren pas cher chaussure ralph laurenMetteur en scène d'opéra depuis trente ans, Nicolas Joël attaque sa dixseptième saison à la direction du Théâtre du Capitole de Toulouse. Homme de culture et de pouvoir, il parle couramment six langues. Artiste chéri des chanteurs et des musiciens, il a toujours irrité la critique progressiste par son respect des oeuvres et son refus du geste au détriment de la note. Notre rendezvous A Toulouse, dans son bureau, le premier jour de l'été. Belle hauteur sous plafond, briques apparentes, affiches encadrées de la Scala. Cet aprèsmidi, il fait très lourd sur la Ville rose. En polo noir, Nicolas Joël clôt dans quelques heures sa saison lyrique avec la dernière représentation de sa chatoyante production des Maîtres chanteurs de Nuremberg, de Wagner.
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