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  #1 longcha longcha on 08 May 14

   

  Frieda a dû renoncer à voir son troisième enfant, Maggy. «L'affaire Da Silva» a brisé le lien filial. Maggy a tourné le dos à sa mère par lassitude, par peur aussi. «Quand j'ai compris que les flics n'allaient rien faire pour arrêter l'assassin d'Alain, j'ai su quel était mon devoir», reprend Frieda subitement. Carlos Da Silva est portugais et, aucun mandat international n'étant délivré contre lui, il échappe à la justice française. Après son crime, il a regagné hâtivement le pays, se réfugiant dans les montagnes austères du Minho, au nord du pays. Frieda commence son enquête à Strasbourg, écumant les bas-fonds de la ville pour extirper des informations à des témoins récalcitrants. ralph lauren pas cher
  L'omerta est une loi de la rue dont l'injonction première est de taire le nom de l'auteur d'un «quelconque» délit. Pourtant, elle finit par apprendre qu'Alain connaissait très bien son assassin. Comme les habitués du bar des Marronniers. Issus du même quartier, tous se fréquentaient depuis des années, certains depuis l'enfance. Face à cette injustice flagrante, face au mutisme des témoins du meurtre, la mère éplorée se transforme peu à peu en machine de guerre. Désormais, plus rien ne peut l'arrêter. Elle l'a juré sur la tombe de son fils. polo ralph lauren homme pas cher Ses pérégrinations dans les bas-fonds de la cité alsacienne portent leurs fruits. Tout d'abord, elle apprend de la bouche d'un jeune peintre en bâtiment plus courageux que les autres que le Portugais est un dealer bien connu des services de police. Il lui raconte aussi que, deux mois avant le crime, Alain avait reproché à Carlos d'être «un vendeur de mort, un parfait salaud», lors d'une banale dispute. Est-ce le mobile du crime ? Trop facile, au goût de Frieda ! L'explication semble pourtant «suffire à la police» qui classe l'affaire comme un simple règlement de comptes. Mais la mère d'Alain détient une autre information capitale : l'adresse de Da Silva au Portugal. Sans hésiter une seconde, elle traverse la France et rejoint la ville de Braga où le tueur se planque dans le bar de son frère.«J'ai acheté de la corde et de l'éther. ralph lauren homme
  Je me suis procuré des menottes et un automatique. Mon idée était de le ramener de force en France, ligoté dans le coffre de ma voiture. Au retour, j'avais même imaginé m'arrêter sur le bord d'une route pour lui laisser un petit souvenir de mon P 38 dans le genou ou dans le coude.» Une folie. Elle s'en rend vite compte. Dans un journal local, elle trouve l'adresse d'un détective privé et décide de faire appel à ses services : José, encore un môme, mais dont la détermination est celle du plus fin des limiers. Avec deux collègues, il tend un piège à Da Silva.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Frieda a dû renoncer à voir son troisième enfant, Maggy. «L'affaire Da Silva» a brisé le lien filial. Maggy a tourné le dos à sa mère par lassitude, par peur aussi. «Quand j'ai compris que les flics n'allaient rien faire pour arrêter l'assassin d'Alain, j'ai su quel était mon devoir», reprend Frieda subitement. Carlos Da Silva est portugais et, aucun mandat international n'étant délivré contre lui, il échappe à la justice française. Après son crime, il a regagné hâtivement le pays, se réfugiant dans les montagnes austères du Minho, au nord du pays. Frieda commence son enquête à Strasbourg, écumant les bas-fonds de la ville pour extirper des informations à des témoins récalcitrants. <a title="ralph lauren pas cher" rel="nofollow" href="http://www.groupe-barniol.fr/">ralph lauren pas cher</a> <br /> L'omerta est une loi de la rue dont l'injonction première est de taire le nom de l'auteur d'un «quelconque» délit. Pourtant, elle finit par apprendre qu'Alain connaissait très bien son assassin. Comme les habitués du bar des Marronniers. Issus du même quartier, tous se fréquentaient depuis des années, certains depuis l'enfance. Face à cette injustice flagrante, face au mutisme des témoins du meurtre, la mère éplorée se transforme peu à peu en machine de guerre. Désormais, plus rien ne peut l'arrêter. Elle l'a juré sur la tombe de son fils. <a title="polo ralph lauren homme pas cher" rel="nofollow" href="http://www.groupe-barniol.fr/polo-ralph-lauren-homme-pas-cher-soldes.html">polo ralph lauren homme pas cher</a> Ses pérégrinations dans les bas-fonds de la cité alsacienne portent leurs fruits. Tout d'abord, elle apprend de la bouche d'un jeune peintre en bâtiment plus courageux que les autres que le Portugais est un dealer bien connu des services de police. Il lui raconte aussi que, deux mois avant le crime, Alain avait reproché à Carlos d'être «un vendeur de mort, un parfait salaud», lors d'une banale dispute. Est-ce le mobile du crime ? Trop facile, au goût de Frieda ! L'explication semble pourtant «suffire à la police» qui classe l'affaire comme un simple règlement de comptes. Mais la mère d'Alain détient une autre information capitale : l'adresse de Da Silva au Portugal. Sans hésiter une seconde, elle traverse la France et rejoint la ville de Braga où le tueur se planque dans le bar de son frère.«J'ai acheté de la corde et de l'éther. <a title="ralph lauren homme" rel="nofollow" href="http://www.groupe-barniol.fr/">ralph lauren homme</a> <br /> Je me suis procuré des menottes et un automatique. Mon idée était de le ramener de force en France, ligoté dans le coffre de ma voiture. Au retour, j'avais même imaginé m'arrêter sur le bord d'une route pour lui laisser un petit souvenir de mon P 38 dans le genou ou dans le coude.» Une folie. Elle s'en rend vite compte. Dans un journal local, elle trouve l'adresse d'un détective privé et décide de faire appel à ses services : José, encore un môme, mais dont la détermination est celle du plus fin des limiers. Avec deux collègues, il tend un piège à Da Silva.</div>

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