Cette conversationentre magistrats, prévenus, victime, témoins et journaliste allait prendrefin quand se produisit un véritable coup de théâtre ; ce qui n'est jamaispour déplaire à M. de Marquet. Le brigadier de gendarmerie vint nousannoncer que Frédéric Larsan demandait à être introduit, ce qui lui futimmédiatement accordé. Il tenait à la main une grossière paire de chaussures vaseuses qu'il jeta dans le laboratoire. « Voilà, ditil, les souliersque chaussait l'assassin ! Les reconnaissezvous, père Jacques ? Le pèreJacques se pencha sur ce cuir infect et, tout stupéfait, reconnut de vieilleschaussures à lui qu'il avait jetées il y avait déjà un certain temps au rebut, dans un coin du grenier ; il était tellement troublé qu'il dut se moucher pour dissimuler son émotion. Alors, montrant le mouchoir dont seservait le père Jacques, Frédéric Larsan dit : « Voilà un mouchoir qui ressemble étonnamment à celui qu'on a trouvé dans la «Chambre Jaune». -Ah ! je l'sais ben, fit le père Jacques en tremblant ; ils sont quasiment pareils. Lacoste pas cher Lacoste pas cher Nousdevions apprendre, quelques heures plus tard, de la bouche même deMlle Stangerson, que ce réticule lui avait été volé ou qu'elle l'avait perdu, et que les choses s'étaient passées de la sorte que nous les avaient expliquées son père ; qu'elle était allée, le octobre, au bureau de poste , et qu'on lui avait remis une lettre qui n'était, affirmatelle, que celled'un mauvais plaisant. Elle l'avait immédiatement brûlée. Pour en revenir à notre interrogatoire, ou plutôt à notre « conversation », je dois signaler que le chef de la Sûreté, ayant demandé à M. Stangerson dansquelles conditions sa fille était allée à Paris le octobre, jour de la pertedu réticule, nous apprîmes ainsi qu'elle s'était rendue dans la capitale, «accompagnée de M. Robert Darzac, que l'on n'avait pas revu au châteaudepuis cet instant jusqu'au lendemain du crime ». Le fait que M. RobertDarzac était aux côtés de Mlle Stangerson, dans les grands magasins dela Louve quand le réticule avait disparu, ne pouvait passer inaperçu etretint, il faut le dire, assez fortement notre attention. Polo Lacoste pas cher Quant à sa sortie, c'estautre chose ! Comment atil pu s'enfuir ? Le plus naturellement dumonde ! » Un instant, Frédéric Larsan se tut. Cet instant nous parut bienlong. Nous attendions qu'il parlât avec une fièvre bien compréhensible. «Je ne suis pas entré dans la «Chambre Jaune», reprit Frédéric Larsan,mais j'imagine que vous avez acquis la preuve qu'on ne pouvait en sortirque par la porte. C'est par la porte que l'assassin est sorti. Or, puisqu'ilest impossible qu'il en soit autrement, c'est que cela est ! Il a commis lecrime et il est sorti par la porte ! À quel moment ! Au moment où cela luia été le plus facile, au moment où cela devient le plus explicable, tellement explicable qu'il ne saurait y avoir d'autre explication. Examinonsdonc les « moments » qui ont suivi le crime. Survetement Lacoste pas cher Chemise lacoste pas cher Il y a le premier moment,pendant lequel se trouvent, devant la porte, prêts à lui barrer le chemin,M. Stangerson et le père Jacques. Il y a le second moment, pendant lequel, le père Jacques étant un instant absent, M. Stangerson se trouvetout seul devant la porte. Il y a le troisième moment, pendant lequel M.Stangerson est rejoint par le concierge. Il y a le quatrième moment, pendant lequel se trouvent devant la porte M.
Lacoste pas cher Nousdevions apprendre, quelques heures plus tard, de la bouche même deMlle Stangerson, que ce réticule lui avait été volé ou qu'elle l'avait perdu, et que les choses s'étaient passées de la sorte que nous les avaient expliquées son père ; qu'elle était allée, le octobre, au bureau de poste , et qu'on lui avait remis une lettre qui n'était, affirmatelle, que celled'un mauvais plaisant. Elle l'avait immédiatement brûlée. Pour en revenir à notre interrogatoire, ou plutôt à notre « conversation », je dois signaler que le chef de la Sûreté, ayant demandé à M. Stangerson dansquelles conditions sa fille était allée à Paris le octobre, jour de la pertedu réticule, nous apprîmes ainsi qu'elle s'était rendue dans la capitale, «accompagnée de M. Robert Darzac, que l'on n'avait pas revu au châteaudepuis cet instant jusqu'au lendemain du crime ». Le fait que M. RobertDarzac était aux côtés de Mlle Stangerson, dans les grands magasins dela Louve quand le réticule avait disparu, ne pouvait passer inaperçu etretint, il faut le dire, assez fortement notre attention. Polo Lacoste pas cher Quant à sa sortie, c'estautre chose ! Comment atil pu s'enfuir ? Le plus naturellement dumonde ! » Un instant, Frédéric Larsan se tut. Cet instant nous parut bienlong. Nous attendions qu'il parlât avec une fièvre bien compréhensible. «Je ne suis pas entré dans la «Chambre Jaune», reprit Frédéric Larsan,mais j'imagine que vous avez acquis la preuve qu'on ne pouvait en sortirque par la porte. C'est par la porte que l'assassin est sorti. Or, puisqu'ilest impossible qu'il en soit autrement, c'est que cela est ! Il a commis lecrime et il est sorti par la porte ! À quel moment ! Au moment où cela luia été le plus facile, au moment où cela devient le plus explicable, tellement explicable qu'il ne saurait y avoir d'autre explication. Examinonsdonc les « moments » qui ont suivi le crime. Survetement Lacoste pas cher
Chemise lacoste pas cher Il y a le premier moment,pendant lequel se trouvent, devant la porte, prêts à lui barrer le chemin,M. Stangerson et le père Jacques. Il y a le second moment, pendant lequel, le père Jacques étant un instant absent, M. Stangerson se trouvetout seul devant la porte. Il y a le troisième moment, pendant lequel M.Stangerson est rejoint par le concierge. Il y a le quatrième moment, pendant lequel se trouvent devant la porte M.
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