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started by bifeng8 on 06 Aug 14
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    polo lacoste slim fit pas cher Mauricio ou les élections sentimentales d'Eduardo Mendoza. Éd. du Seuil, pages, , euros. Eduardo Mendoza nous parle d'une ville que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. La Barcelone d'avant les jeux Olympiques. D'avant l'explosion du tourisme culturel de masse. Une ville qui, en dépit de la statue de Christophe Colomb lorgnant vers les Amériques, tournait désespérément le dos à la mer. polo lacoste pas cher junior
    polo lacoste sport pas cherBarcelone, vieillotte et souffreteuse, se devait de faire peau neuve. Au nom de la modernité. Une nouvelle génération de notables chasse l'autre. C'est dans l'ordre naturel des choses. Les étudiants, autrefois agités, réintègrent sagement leur place dans le giron familial et la société. Le pragmatisme l'emporte sur des idéaux révolutionnaires, glanés entre deux cours magistraux sur les campus en proie à l'effervescence antifranquiste. Avocats, médecins, financiers, entrepreneurs, ils marchent sur les traces de leurs aînés. polo lacoste pas cher manche longue polo lacoste stretch pas cher C'est fou comme leur avenir ressemble à leur passé. Les héros du nouveau roman d'Eduardo Mendoza portent en eux ces contradictions, lourds fardeaux qui les paralysent dans leur moindre geste jusqu'au plus intime. Surtout si on éprouve quelque scrupule à s'en défaire. On est socialiste, chaque jour qui passe, un peu moins par conviction que par intérêt. D'ailleurs, la victoire du PSOE ne fait peur qu'aux petits enfants. Mendoza brosse le portrait de cette Espagne de la transition sans amertume, mais avec une ironie mordante et efficace. Et ses héros sont fatigués avant d'avoir vécu, comme si le poids de l'histoire les engluait dans un no man's land intellectuel, amoureux et politique proche du néant. polo lacoste pas cher martinique
    polo lacoste vert pas cherQuand Madrid s'éclate, Barcelone s'ennuie à en mourir. Le sida fait son apparition mais personne ne sait encore très bien de quoi il en retourne. Ces Élections sentimentales sonnent le glas d'une époque, tournent la page d'une histoire sur laquelle il est encore écrit attention à la peinture fraîche. M.J. S. commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires. polo lacoste pas cher montreal Culture le Octobre Les LETTRES françaises L Afrique fantôme, d Hans Bouman D'aucuns se souviennent des grandes têtes hiératiques qu'Hans Bouman avait peintes pendant les années . De toute évidence, leur inspiration était surtout africaine (et nul n'ignore que l'artiste éprouve une authentique et profonde passion pour les cultures traditionnelles du continent noir). Ce qui frappait alors dans ces compositions majestueuses, ce n'étaient pas les références plus ou moins affirmées à ce qu'on appelait à l'âge du cubisme l'« art nègre », mais plutôt le travail de la matière, dans l'épaisseur et la densité de la matière, et aussi le travail de la couleur, qui procurait le sentiment d'un noir prégnant et pourtant impur. Depuis lors, son travail a beaucoup évolué. Récemment, comme on a pu le voir lors de son exposition personnelle à la galerie Area, Bouman s'est employé à explorer les ressources de la composition virtuelle, aboutissant à des oeuvres associant les pratiques anciennes et les pratiques liées aux nouvelles technologies. Depuis quelque temps, et cela se vérifie depuis son exposition personnelle à Clamart et puis lorsqu'il a participé au Rêve de Joseph K. à la collégiale SaintPierre d'Orléans, le peintre a choisi d'une part de revenir aux têtes emblématiques héritées de son Afrique intérieure et, de l'autre, à une purification des firmes et une plus grande fluidité de son style. polo lacoste pas cher neuf
    polo lacoste xs pas cherIl en résulte des volumes sculpturaux, puissants, impressionnants, qui paraissent constituer des masses pondéreuses dans un espace qui semble immatériel et emporté par des mouvements aériens. Il est vrai qu'il s'est aussi consacré à la sculpture, à la sculpture monumentale autant qu'à la sculpture ornementale. Cette expérience lui a appris à imaginer des tableaux qui puissent être à la fois la magnification de la matière et de sa masse et l'expression d'une abstraction qui est celle de la peinture, la peinture étant la fabrication d'un simulacre quel que soit le rapport établi avec le monde réel ou avec le monde des abstractions. Hans Bouman est parvenu à franchir un cap décisif dans son histoire personnelle : ces oeuvres nouvelles prouvent qu'il a gagné une plénitude et une force alors que son écriture s'est libérée d'influences contraires et donc contraignantes. La subtilité du dessin fait corps avec l'exercice même de la peinture dans une fusion qui attribue à chacune de ses toiles une subtilité et une intensité qui ne se démentent jamais. Sans doute me diraton que j'extrapole, mais ces compositions sont à mes yeux un cycle d'autoportraits. Mais, à l'inverse de Rembrandt, ce ne sont pas ses propres traits qu'il trace et dont il joue, mais ses sentiments, ses passions, ses doutes, ses rêves, sa pensée de la peinture entre le virtuel et le tangible.

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