Dans le même temps, les négociations entre le gouvernement grec et la troïka UE-BCE-FMI sur les réformes réclamées par les créanciers du pays se poursuivent. La troïka, qui a plongé la Grèce dans le marasme austéritaire depuis 2010, entend poursuivre son «plan de redressement du pays». A savoir achever les services publics déjà mourants du pays. Le gouvernement grec s'est engagé l'année dernière, au départ de 150.000 salariés du public d'ici 2015. Selon le ministère de la Réforme de l'administration, qui pilote ce dossier, près de 25.000 fonctionnaires sont censés entrer dans un programme de mobilité d'ici fin 2014, tandis qu'une autre fournée, jugés corrompus, quitteront la fonction publique. Lacoste pas cher homme Selon le ministère, près de 400.000 fonctionnaires doivent partir à la retraite d'ici 2015 et les embauches sont gelées depuis 2010.L'austérité mine la santé des plus pauvresAprès Chypre, la Slovénie prochaine cible des marchés et de la troïkaUne série documentaire sur l'ampleur et la violence, symbolique et sociale, de l'austérité imposée aux GrecsDisons le tout net aux dirigeants politiques occidentaux qui, de Paris à Washington, pleurnichent sans rien faire, s'alignant la plupart du temps sous la casaque du gouvernement réactionnaire israélien : (si vous souhaitez vraiment travailler à une solution pacifique au Proche-Orient, obtenez la libération du dirigeant palestinien Marouane Barghouti, condamné à la prison à perpétuité. Exigez la grâce que Shimon Peres avait promise en janvier 2007 dans l'éventualité de son élection à la présidence. Accomplissez, pour une fois, une action concrète (en faveur de la paix. Marouane Barghouti est souvent qualifié de « Mandela palestinien ». Son parcours, ses longues années de prison, son ancrage et autorité parmi les siens ainsi que sa vision prospective sont autant de réalités et de qualités identiques à celles (de l'ancien président (sud-africain. Polo Lacoste pas cher Marouane Barghouti, (c'est d'abord l'histoire d'un homme marquée par des emprisonnements au cours desquels il a appris l'hébreu, l'exil, puis le retour parmi son peuple en lutte, la prise de responsabilités dans le Fatah, le rejet de la corruption. Marouane Barghouti, c'est aussi une force de propositions (qui déclarait, il n'y a pas si longtemps, « je suis encore en quête d'une coexistence pacifique entre les États égaux et indépendants (que sont Israël et la Palestine fondée sur le retrait complet d'Israël (des territoires occupés (en 1967 ». Pour avoir lancé l'année dernière un appel à la « résistance populaire pacifique », il a été sanctionné par les autorités pénitentiaires. L'action pour la libération de Marouane Barghouti ne relève pas seulement de la solidarité, de l'humanisme, du rejet de la sauvagerie des dirigeants israéliens. Elle constitue surtout une chance pour que cette région du monde vive enfin dans la paix. Comme Nelson Mandela en Afrique du Sud, Marouane Barghouti reste la carte maîtresse pour désamorcer la bombe proche-orientale. José FortAlors que Pyongyang exhibe la hache de guerre « thermonucléaire », Séoul et Washington menacent de couper les vivres à une population très dépendante de l'aide internationale. Survetement Lacoste pas cher Kim Jong-un poursuit le bras de fer entamé il y a quatre mois. Hier, la Corée du Nord a une nouvelle fois brandi la menace d'une guerre « thermonucléaire » et conseillé aux « étrangers qui se trouvent en Corée du Sud de quitter le pays si la guerre éclate ». Conformément à ses menaces, Pyongyang a par ailleurs évacué hier les 53 000 employés du site industriel intercoréen de Kaesong, une région administrative spéciale, censée favoriser le rapprochement entre les deux parties de la péninsule, à l'aune de la « diplomatie du soleil » mise en place depuis 1998. Treize des 123 entreprises sud-coréennes implantées sur ce site, considéré comme une manne de devises étrangères pour Pyongyang, ont d'ores et déjà cessé leur production, faute de matière première.La présidente sud-coréenne, Park Geun-hye, a répliqué de son côté en faisant peser des menaces économiques sur le Nord, assurant que « les fondements les plus importants en termes d'investissements sont la prévisibilité et la confiance. Si la Corée du Nord, sous les yeux de la communauté internationale, viole les règles et les promesses internationales de cette façon, en suspendant les opérations dans le complexe industriel de Kaesong, aucun pays, aucune entreprise n'investira en Corée du Nord ». De concert, Washington a mis en balance l'amélioration d'une économie déjà exsangue et dépendante de l'aide internationale, mais surtout de la vie de la population du Nord, qui a déjà connu une famine faisant plus de 2 millions de morts, soit près de 10 % de ses habitants. Chemise lacoste pas cher Pour l'ancien député suisse Ignazio Cassis, en visite en Corée du Nord l'an dernier, « le pays est en proie à un problème énergétique majeur », malgré les livraisons chinoises de pétrole, et seule « une situation de crise militaire » permet au régime de se maintenir.Ce climat d'escalade militaire s'est fait ressentir hier au Japon, qui, après avoir installé une série de destroyers capables d'intercepter un éventuel tir nord-coréen, a mis en place deux lanceurs de missiles Patriot au ministère de la Défense. Les engins, précise Tokyo, pourraient être amenés à être déployés de « façon permanente ». Plus que la rhétorique de la menace, c'est donc bien la course aux armements qui a de quoi inquiéter. À l'heure actuelle, la moindre manœuvre nord-coréenne nourrit les spéculations aptes à mobiliser les opinions publiques de Séoul à Washington, mais également un processus réel de remilitarisation qui repose sur des stratégies plus anciennes. L. S.
started by bifeng8 on 12 Dec 14
Selon le ministère, près de 400.000 fonctionnaires doivent partir à la retraite d'ici 2015 et les embauches sont gelées depuis 2010.L'austérité mine la santé des plus pauvresAprès Chypre, la Slovénie prochaine cible des marchés et de la troïkaUne série documentaire sur l'ampleur et la violence, symbolique et sociale, de l'austérité imposée aux GrecsDisons le tout net aux dirigeants politiques occidentaux qui, de Paris à Washington, pleurnichent sans rien faire, s'alignant la plupart du temps sous la casaque du gouvernement réactionnaire israélien : (si vous souhaitez vraiment travailler à une solution pacifique au Proche-Orient, obtenez la libération du dirigeant palestinien Marouane Barghouti, condamné à la prison à perpétuité. Exigez la grâce que Shimon Peres avait promise en janvier 2007 dans l'éventualité de son élection à la présidence. Accomplissez, pour une fois, une action concrète (en faveur de la paix. Marouane Barghouti est souvent qualifié de « Mandela palestinien ». Son parcours, ses longues années de prison, son ancrage et autorité parmi les siens ainsi que sa vision prospective sont autant de réalités et de qualités identiques à celles (de l'ancien président (sud-africain. Polo Lacoste pas cher Marouane Barghouti, (c'est d'abord l'histoire d'un homme marquée par des emprisonnements au cours desquels il a appris l'hébreu, l'exil, puis le retour parmi son peuple en lutte, la prise de responsabilités dans le Fatah, le rejet de la corruption. Marouane Barghouti, c'est aussi une force de propositions (qui déclarait, il n'y a pas si longtemps, « je suis encore en quête d'une coexistence pacifique entre les États égaux et indépendants (que sont Israël et la Palestine fondée sur le retrait complet d'Israël (des territoires occupés (en 1967 ». Pour avoir lancé l'année dernière un appel à la « résistance populaire pacifique », il a été sanctionné par les autorités pénitentiaires. L'action pour la libération de Marouane Barghouti ne relève pas seulement de la solidarité, de l'humanisme, du rejet de la sauvagerie des dirigeants israéliens. Elle constitue surtout une chance pour que cette région du monde vive enfin dans la paix. Comme Nelson Mandela en Afrique du Sud, Marouane Barghouti reste la carte maîtresse pour désamorcer la bombe proche-orientale. José FortAlors que Pyongyang exhibe la hache de guerre « thermonucléaire », Séoul et Washington menacent de couper les vivres à une population très dépendante de l'aide internationale. Survetement Lacoste pas cher
Kim Jong-un poursuit le bras de fer entamé il y a quatre mois. Hier, la Corée du Nord a une nouvelle fois brandi la menace d'une guerre « thermonucléaire » et conseillé aux « étrangers qui se trouvent en Corée du Sud de quitter le pays si la guerre éclate ». Conformément à ses menaces, Pyongyang a par ailleurs évacué hier les 53 000 employés du site industriel intercoréen de Kaesong, une région administrative spéciale, censée favoriser le rapprochement entre les deux parties de la péninsule, à l'aune de la « diplomatie du soleil » mise en place depuis 1998. Treize des 123 entreprises sud-coréennes implantées sur ce site, considéré comme une manne de devises étrangères pour Pyongyang, ont d'ores et déjà cessé leur production, faute de matière première.La présidente sud-coréenne, Park Geun-hye, a répliqué de son côté en faisant peser des menaces économiques sur le Nord, assurant que « les fondements les plus importants en termes d'investissements sont la prévisibilité et la confiance. Si la Corée du Nord, sous les yeux de la communauté internationale, viole les règles et les promesses internationales de cette façon, en suspendant les opérations dans le complexe industriel de Kaesong, aucun pays, aucune entreprise n'investira en Corée du Nord ». De concert, Washington a mis en balance l'amélioration d'une économie déjà exsangue et dépendante de l'aide internationale, mais surtout de la vie de la population du Nord, qui a déjà connu une famine faisant plus de 2 millions de morts, soit près de 10 % de ses habitants. Chemise lacoste pas cher Pour l'ancien député suisse Ignazio Cassis, en visite en Corée du Nord l'an dernier, « le pays est en proie à un problème énergétique majeur », malgré les livraisons chinoises de pétrole, et seule « une situation de crise militaire » permet au régime de se maintenir.Ce climat d'escalade militaire s'est fait ressentir hier au Japon, qui, après avoir installé une série de destroyers capables d'intercepter un éventuel tir nord-coréen, a mis en place deux lanceurs de missiles Patriot au ministère de la Défense. Les engins, précise Tokyo, pourraient être amenés à être déployés de « façon permanente ». Plus que la rhétorique de la menace, c'est donc bien la course aux armements qui a de quoi inquiéter. À l'heure actuelle, la moindre manœuvre nord-coréenne nourrit les spéculations aptes à mobiliser les opinions publiques de Séoul à Washington, mais également un processus réel de remilitarisation qui repose sur des stratégies plus anciennes. L. S.