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  #1 uerozhiyo uerozhiyo on 11 Jul 15

   

  Accusant "d'opportunisme politique" les créanciers qui demandent à la Grèce de nouvelles mesures d'économies, après cinq années de "saccage" de l'économie du pays, le Premier ministre a glissé, comme un sous-entendu, une allusion à "la longue histoire de combats" de la gauche grecque. Ce week-end, un nouveau cycle de discussions sur la poursuite du financement de la Grèce s'est terminé sur un constat d'échec entre représentants d'Athènes et de ses créanciers, UE et FMI. A Athènes, on impute l'échec des négociations aux réclamations "irrationnelles" des créanciers, en particulier du FMI. polo lacoste pas cher
  Du côté des bailleurs de fonds du pays, on juge "incomplètes" les propositions grecques de réformes et de mesures budgétaires, estimant qu'elles ne permettront pas au pays de financer ses besoins pour les prochaines années. Pourtant, la Grèce, selon un document publié par le quotidien grec Kathimerini, serait à présent d'accord sur les objectifs d'excédent budgétaire primaire (hors charge de la dette) souhaités par les créanciers pour cette année (1% du PIB) et l'an prochain (2%), ce qui était un gros point d'achoppement, les Grecs ne voulant pas, polo lacoste homme pas cher initialement, dépasser 0,6% et 1,5% respectivement. "Les autorités grecques sont désormais d'accord avec cet objectif" de 1% pour 2015, a déclaré lundi une porte-parole de la Commission européenne. Athènes n'avait cependant pas confirmé en début d'après-midi. - Dissensions entre créanciers - Mais le dialogue de sourds continuait : "Il tient maintenant uniquement à la partie grecque de répondre aux propositions généreuses des institutions", a martelé Martin Jäger, le porte-parole du ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble. La réponse de la Grèce ne varie guère: "Nous n'accepterons pas de mesures qui augmentent la TVA sur les biens d'alimentation de base ou de baisse des retraites", a de nouveau averti lundi le porte-parole du gouvernement Gabriel Sakellaridis. polo lacoste femme pas cher
  Selon lui, Athènes avait offert de compenser les mesures d'économies qu'elle rejetait par d'autres mesures. Mais "les créanciers ont refusé ces mesures équivalentes", a affirmé au journal Ethnos le ministre Nikos Pappas qui faisait partie de la délégation grecque à Bruxelles ce week-end.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Accusant "d'opportunisme politique" les créanciers qui demandent à la Grèce de nouvelles mesures d'économies, après cinq années de "saccage" de l'économie du pays, le Premier ministre a glissé, comme un sous-entendu, une allusion à "la longue histoire de combats" de la gauche grecque. Ce week-end, un nouveau cycle de discussions sur la poursuite du financement de la Grèce s'est terminé sur un constat d'échec entre représentants d'Athènes et de ses créanciers, UE et FMI. A Athènes, on impute l'échec des négociations aux réclamations "irrationnelles" des créanciers, en particulier du FMI. <a rel="nofollow" href="http://www.primascan.fr/" title="polo lacoste pas cher">polo lacoste pas cher</a> <br /> Du côté des bailleurs de fonds du pays, on juge "incomplètes" les propositions grecques de réformes et de mesures budgétaires, estimant qu'elles ne permettront pas au pays de financer ses besoins pour les prochaines années. Pourtant, la Grèce, selon un document publié par le quotidien grec Kathimerini, serait à présent d'accord sur les objectifs d'excédent budgétaire primaire (hors charge de la dette) souhaités par les créanciers pour cette année (1% du PIB) et l'an prochain (2%), ce qui était un gros point d'achoppement, les Grecs ne voulant pas, <a rel="nofollow" href="http://www.primascan.fr/" title="polo lacoste homme pas cher">polo lacoste homme pas cher</a> initialement, dépasser 0,6% et 1,5% respectivement. "Les autorités grecques sont désormais d'accord avec cet objectif" de 1% pour 2015, a déclaré lundi une porte-parole de la Commission européenne. Athènes n'avait cependant pas confirmé en début d'après-midi. - Dissensions entre créanciers - Mais le dialogue de sourds continuait : "Il tient maintenant uniquement à la partie grecque de répondre aux propositions généreuses des institutions", a martelé Martin Jäger, le porte-parole du ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble. La réponse de la Grèce ne varie guère: "Nous n'accepterons pas de mesures qui augmentent la TVA sur les biens d'alimentation de base ou de baisse des retraites", a de nouveau averti lundi le porte-parole du gouvernement Gabriel Sakellaridis. <a rel="nofollow" href="http://www.primascan.fr/" title="polo lacoste femme pas cher">polo lacoste femme pas cher</a> <br /> Selon lui, Athènes avait offert de compenser les mesures d'économies qu'elle rejetait par d'autres mesures. Mais "les créanciers ont refusé ces mesures équivalentes", a affirmé au journal Ethnos le ministre Nikos Pappas qui faisait partie de la délégation grecque à Bruxelles ce week-end.</div>

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