Le PS a été favorable à l'ouverture des négociations et nous demandons maintenant à la Turquie de satisfaire aux critères de Copenhague. À propos de la reconnaissance du génocide arménien, elle doit aussi faire le geste nécessaire.« La sécurité nationale » française pourrait être en jeu dans le dossier rwandais. C'est, en tout cas, ce qui ressort d'une lettre officielle adressée par Paris au Tribunal pénal international sur le Rwanda (TPIR). Cité dans une décision judiciaire en date du 20 septembre 2006, ce courrier pose cinq conditions à l'audition d'officiers français présents au Rwanda dans les années 1990-1994. Au nombre de ces conditions, extrêmement restrictives, celle-ci : afin de « préserver la sécurité nationale », un représentant du gouvernement français pourra « demander à ce que le témoin soit dégagé de l'obligation de répondre à certaines questions ».Deux officiers, dont l'un d'active, pourraient être entendus, dès la semaine prochaine, par le tribunal. ou acheter lacoste pas cher Le colonel Grégoire de Saint-Quentin est cité comme témoin par l'avocat de la défense du major Aloys Ntabakuze accusé de « génocide », « crimes contre l'humanité » et « crimes de guerre ». Présent en 1994 à Kigali et premier étranger à s'être rendu sur les lieux du crash de l'avion présidentiel, Grégoire de Saint-Quentin, alors lieutenant-colonel, a participé à la formation d'un bataillon paracommando et était chargé de l'instruction d'un peloton CRAP.Le second officier, le colonel à la retraite Jean-Jacques Maurin est cité par la défense de Théoneste Bagosora, tenu pour le « cerveau du génocide ». Lieutenant-colonel en 1994, Jean-Jacques Maurin occupait alors le poste d'adjoint à l'attaché de défense de l'ambassade de France à Kigali.EN LANÇANT à Périgueux l'idée d'un droit au logement « opposable », Nicolas Sarkozy a frappé fort. Ce n'est pas la première fois que la crise du logement s'immisce dans le débat politique de précampagne. Devant les militants de l'UMP, le ministre de l'Intérieur a proposé jeudi de donner un délai de deux ans aux collectivités « pour créer les places nécessaires pour accueillir ceux qui n'ont même pas un toit pour s'abriter ». ou acheter des survetement lacoste pas cher Le ministre propose « qu'au bout de cinq à dix ans le droit au logement devienne opposable de façon à créer une forte incitation à construire des logements manquants là où ils sont nécessaires ». Autrement dit, la possibilité pour les plus mal lotis de faire valoir leurs droits devant les tribunaux face aux collectivités.Une idée qui s'inspire du 11e rapport du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, remis en décembre au premier ministre. Elle est d'ailleurs en cours d'expérimentation dans plusieurs collectivités françaises.Généraliser ce droit d'ici à 2012L'exemple le plus abouti d'application du « droit opposable » vient sans doute de l'Ecosse. Membre du Royaume-Uni mais autonome en matière de logement, l'Ecosse a décidé de généraliser ce droit à l'ensemble de la population d'ici à 2012. C'est une « Homelessness Task Force » (groupe de travail) - composée de représentants des associations, des collectivités locales et de l'administration - qui doit veiller à la mise en oeuvre de cette nouvelle politique. lacoste a pas cher Et, surtout, à la responsabilisation des élus. Il y aurait quelque 60 000 sans-abri dans le pays, dont deux tiers d'hommes ou de femmes seuls.La législation est déjà en cours d'évolution. Le droit au logement était jusque-là réservé à certaines catégories telles que les femmes enceintes ou les personnes handicapées, en mesure - depuis 1977 - de réclamer un logement permanent. Il sera progressivement élargi à de nouveaux publics. Autre changement de taille, l'autorité locale n'est plus tenue par la loi de s'assurer que le SDF ne l'est pas intentionnellement. Enfin, une commune ne pourra plus expulser un ménage vers un autre lieu, sous prétexte qu'il y a un lien.
Le colonel Grégoire de Saint-Quentin est cité comme témoin par l'avocat de la défense du major Aloys Ntabakuze accusé de « génocide », « crimes contre l'humanité » et « crimes de guerre ». Présent en 1994 à Kigali et premier étranger à s'être rendu sur les lieux du crash de l'avion présidentiel, Grégoire de Saint-Quentin, alors lieutenant-colonel, a participé à la formation d'un bataillon paracommando et était chargé de l'instruction d'un peloton CRAP.Le second officier, le colonel à la retraite Jean-Jacques Maurin est cité par la défense de Théoneste Bagosora, tenu pour le « cerveau du génocide ». Lieutenant-colonel en 1994, Jean-Jacques Maurin occupait alors le poste d'adjoint à l'attaché de défense de l'ambassade de France à Kigali.EN LANÇANT à Périgueux l'idée d'un droit au logement « opposable », Nicolas Sarkozy a frappé fort. Ce n'est pas la première fois que la crise du logement s'immisce dans le débat politique de précampagne. Devant les militants de l'UMP, le ministre de l'Intérieur a proposé jeudi de donner un délai de deux ans aux collectivités « pour créer les places nécessaires pour accueillir ceux qui n'ont même pas un toit pour s'abriter ». ou acheter des survetement lacoste pas cher Le ministre propose « qu'au bout de cinq à dix ans le droit au logement devienne opposable de façon à créer une forte incitation à construire des logements manquants là où ils sont nécessaires ». Autrement dit, la possibilité pour les plus mal lotis de faire valoir leurs droits devant les tribunaux face aux collectivités.Une idée qui s'inspire du 11e rapport du Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées, remis en décembre au premier ministre. Elle est d'ailleurs en cours d'expérimentation dans plusieurs collectivités françaises.Généraliser ce droit d'ici à 2012L'exemple le plus abouti d'application du « droit opposable » vient sans doute de l'Ecosse. Membre du Royaume-Uni mais autonome en matière de logement, l'Ecosse a décidé de généraliser ce droit à l'ensemble de la population d'ici à 2012. C'est une « Homelessness Task Force » (groupe de travail) - composée de représentants des associations, des collectivités locales et de l'administration - qui doit veiller à la mise en oeuvre de cette nouvelle politique. lacoste a pas cher
Et, surtout, à la responsabilisation des élus. Il y aurait quelque 60 000 sans-abri dans le pays, dont deux tiers d'hommes ou de femmes seuls.La législation est déjà en cours d'évolution. Le droit au logement était jusque-là réservé à certaines catégories telles que les femmes enceintes ou les personnes handicapées, en mesure - depuis 1977 - de réclamer un logement permanent. Il sera progressivement élargi à de nouveaux publics. Autre changement de taille, l'autorité locale n'est plus tenue par la loi de s'assurer que le SDF ne l'est pas intentionnellement. Enfin, une commune ne pourra plus expulser un ménage vers un autre lieu, sous prétexte qu'il y a un lien.
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