L'indépendance ou rien !??Lire aussi :Présidentielle : Le compte à rebours est lancéL'après-Chavez se compte en millions de VénézuéliensHugo Chavez repose désormais dans le berceau de luttes sociales du 23 de Enero Caracas (Venezuela), envoyée spéciale, Cathy Ce?be Cette élection peut insuffler une vraie dynamique et un nouveau style Maduro. Il vaut mieux revoter rapidement et avoir une nouvelle légitimité qu'une présidence intérimaire. Espérons que le Venezuela soit à l'abri des déstabilisations de Washington. Pour cela, une victoire large dès le premier tour est indispensable pour envoyer un signal fort de poursuite du chavisme comme héritage politique. L'indépendance ou rien, ici, on devrait en prendre de la graine !!!Ses origines modestes ainsi que ses engagements et son parcours sont tout à son honneur.Pour en revenir à Caprilès, mais quel con ! Comment espère-t'il obtenir les voix du peuple en l'insultant et en le méprisant à travers Nicolas Maduro ? Quand je pense qu'il vient d'échapper à un assassinat fomenté par les "siens" pour nuire à la démocratie vénézuélienne,. Y a pas à dire, il est con. Sac vanessa bruno gris pas cher Entre un Maduro, un Caprilès, un Hollande, un Kahuzac, un Sarkozy, un Bayrou, une Lepen, y a pas photo, je vote pour le chauffeur issu du peuple.Vive notre révolution bolivarienne, vive le FDG.Sélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.C'est la dernière image du fameux film américain l'Arnaqueur : Paul Newman, grand joueur de billard à qui on a brisé les doigts, pousse la porte de la salle de jeu et annonce ??I'm back !?? Le grand retour… C'est aussi le grand retour d'un mot que les fantassins de la troupe coloniale de la pensée dominante ont enfoui dans la fosse commune : le mot ??impérialisme??. Eh bien le revoilà, et revoilà la chose qu'il désigne, l'empire, qui lance ??I'm back??…" Le seul but de Barack Obama est de rétablir le leadership mondial de son pays?? : c'est le diagnostic que fait et que démontre le philosophe Régis Debray dans une lettre - tout à fait remarquable - qu'il adresse à Hubert Védrine, sous le titre ??La France doit quitter l'Otan?? (1). En effet il ne faut pas être grand clerc pour constater comme l'écrivain de là-bas Russell Banks : ??Nous sommes entrés en tant que nation dans une phase de déclin irréversible… Nous sommes devenus des rêveurs meurtriers??. Depuis le grand mensonge planétaire des armes de destruction massive en Irak (et son prix à payer de 600 000 morts), les états-Unis perdent sans cesse du terrain. nouveau sac vanessa bruno pas cher Ils ne tiennent la dragée haute au monde que dans le domaine militaire. Le ??rêve américain?? perd son ame…Le long des routes, on voit des drapeaux américains partout : sur les pare-chocs, sur les ponts, sur les vitrines, sur les balcons, sur les vestons, sur les écoles… comme pour exorciser la chute. Pendant un certain temps, le héros de l'Amérique profonde s'est appelé Chris Kyle, qui est entré dans la légende de l'armée : Chris a descendu à lui tout seul 255 Irakiens… On se doute que ces exploits-là ne redorent pas le lustre planétaire de l'Amérique…Aussi le chef de la Maison-Blanche et une poignée de leaders (transpartis, comme on dit là-bas…) ont défini la nouvelle stratégie que ramasse la formule ??leading from behind??. Autrement dit ? diriger sans se montrer ?, ou bien ? dominer par-derrière ?, ou plus vulgairement ? tenir le manche dans les coulisses ?. Exemple : la nouvelle merveille de l'aviation américaine, le bombardier furtif B2, invisible, qui vole à 15 000 mètres d'altitude et emporte des obus conventionnels ou nucléaires, a fait un petit aller-retour sans escale Missouri-Corée, où il a largué des munitions factices. C'est ce que l'on appelle ??le rééquilibrage vers l'Asie??.Plus grave peut-être encore : l'assassinat considéré comme un des beaux-arts de la guerre. sac vanessa bruno en ligne Les gouvernants de Washington, civils ou militaires, n'ont plus qu'un mot à la bouche : le drone, cet avion sans pilote téléguidé depuis des bases très lointaines qui peut surveiller ou frapper. C'est en particulier un bijou pour la liquidation individuelle des leaders de l'ennemi, d'une hauteur de 30 000 pieds, sans risque et sans témoin. Chaque semaine, Barack Obama signe la ??kill list??, la liste des opérations ciblées d'assassinats individuels par drone…(1) Le Monde diplomatique, mars?2013. Claude Cabanes je viens de lire le "cactus" du 4 avril de Claude Cabanes. je tiens juste à apporter une précision : si Paul Newman prononce bien le fameux "i'm back" à la fin d'un film, il s'agit en fait de "La couleur de l'argent"
Entre un Maduro, un Caprilès, un Hollande, un Kahuzac, un Sarkozy, un Bayrou, une Lepen, y a pas photo, je vote pour le chauffeur issu du peuple.Vive notre révolution bolivarienne, vive le FDG.Sélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.C'est la dernière image du fameux film américain l'Arnaqueur : Paul Newman, grand joueur de billard à qui on a brisé les doigts, pousse la porte de la salle de jeu et annonce ??I'm back !?? Le grand retour… C'est aussi le grand retour d'un mot que les fantassins de la troupe coloniale de la pensée dominante ont enfoui dans la fosse commune : le mot ??impérialisme??. Eh bien le revoilà, et revoilà la chose qu'il désigne, l'empire, qui lance ??I'm back??…" Le seul but de Barack Obama est de rétablir le leadership mondial de son pays?? : c'est le diagnostic que fait et que démontre le philosophe Régis Debray dans une lettre - tout à fait remarquable - qu'il adresse à Hubert Védrine, sous le titre ??La France doit quitter l'Otan?? (1). En effet il ne faut pas être grand clerc pour constater comme l'écrivain de là-bas Russell Banks : ??Nous sommes entrés en tant que nation dans une phase de déclin irréversible… Nous sommes devenus des rêveurs meurtriers??. Depuis le grand mensonge planétaire des armes de destruction massive en Irak (et son prix à payer de 600 000 morts), les états-Unis perdent sans cesse du terrain. nouveau sac vanessa bruno pas cher Ils ne tiennent la dragée haute au monde que dans le domaine militaire. Le ??rêve américain?? perd son ame…Le long des routes, on voit des drapeaux américains partout : sur les pare-chocs, sur les ponts, sur les vitrines, sur les balcons, sur les vestons, sur les écoles… comme pour exorciser la chute. Pendant un certain temps, le héros de l'Amérique profonde s'est appelé Chris Kyle, qui est entré dans la légende de l'armée : Chris a descendu à lui tout seul 255 Irakiens… On se doute que ces exploits-là ne redorent pas le lustre planétaire de l'Amérique…Aussi le chef de la Maison-Blanche et une poignée de leaders (transpartis, comme on dit là-bas…) ont défini la nouvelle stratégie que ramasse la formule ??leading from behind??. Autrement dit ? diriger sans se montrer ?, ou bien ? dominer par-derrière ?, ou plus vulgairement ? tenir le manche dans les coulisses ?. Exemple : la nouvelle merveille de l'aviation américaine, le bombardier furtif B2, invisible, qui vole à 15 000 mètres d'altitude et emporte des obus conventionnels ou nucléaires, a fait un petit aller-retour sans escale Missouri-Corée, où il a largué des munitions factices. C'est ce que l'on appelle ??le rééquilibrage vers l'Asie??.Plus grave peut-être encore : l'assassinat considéré comme un des beaux-arts de la guerre. sac vanessa bruno en ligne
Les gouvernants de Washington, civils ou militaires, n'ont plus qu'un mot à la bouche : le drone, cet avion sans pilote téléguidé depuis des bases très lointaines qui peut surveiller ou frapper. C'est en particulier un bijou pour la liquidation individuelle des leaders de l'ennemi, d'une hauteur de 30 000 pieds, sans risque et sans témoin. Chaque semaine, Barack Obama signe la ??kill list??, la liste des opérations ciblées d'assassinats individuels par drone…(1) Le Monde diplomatique, mars?2013. Claude Cabanes je viens de lire le "cactus" du 4 avril de Claude Cabanes. je tiens juste à apporter une précision : si Paul Newman prononce bien le fameux "i'm back" à la fin d'un film, il s'agit en fait de "La couleur de l'argent"
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