Wauquiez avait fait basculer la Région à droite au second tour des régionales. Candidat des Républicains, de l'UDI et du MoDem, l'ancien ministre avait obtenu 40,61% des voix (113 sièges), contre 36,84% pour M. Queyranne (57 sièges) et 22,55% pour Christophe Boudot (34 sièges). Ce deuxième tour avait été marqué par une forte hausse (+8,77 points) du taux de participation (57,68%).Au premier tour, Laurent Wauquiez avait rassemblé 31,73% des voix, contre 23,93% à Jean-Jack Queyranne et 25,52% à Christophe Boudot, des résultats qui laissaient le second tour incertain.Cette première séance de la nouvelle grande région était présidée par un élu FN: le doyen de l'assemblée, Michel Dulac, 73 ans, élu de l'Ain, assisté du benjamin de l'assemblée, l'élu FN de l'Isère, Alexis Jolly.La nouvelle grande région Auvergne-Rhône-Alpes compte 12 départements plus la Métropole de Lyon. sac longchamp pas cher M. Wauquiez s'est engagé à consulter par internet les 8 millions d'Auvergnats et de Rhône-Alpins pour déterminer le nom de la nouvelle région.Alain Juppé, candidat à la primaire de la droite et du centre pour 2017, s'est déclaré, lundi sur France 2, opposé à l'extension de la nationalité à tous les Français, binationaux ou pas, la France ne pouvant se mettre "en contradiction avec la déclaration universelle des droits de l'Homme"."Il y a des rumeurs qui commencent à circuler qu'on pourrait étendre cela (la déchéance de nationalité), y compris à des mononationaux. Alors là, je dis stop!", s'est exclamé l'ancien Premier ministre. "La France, patrie des droits de l'Homme - en tout cas, c'est ce qu'elle proclame urbi et orbi - ne va pas se mettre en contradiction avec la déclaration universelle des droits de l'Homme", a-t-il ajouté.A la recherche d'un compromis, plusieurs responsables socialistes ont émis l'idée de déchoir de sa nationalité tout terroriste français, qu'il soit ou non binational. sac longchamp solde C'est "un élément qui est dans le débat", a admis le secrétaire d'Etat au Parlement Jean-Marie Le Guen. Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, est ouvert à cette idée, ainsi que Bruno Le Roux, président des députés socialistes.M. Juppé a réaffirmé que la déchéance de nationalité (pour les binationaux nés en France) était "une mesure purement symbolique qui ne changera rien". "C'est symbolique", a-t-il ajouté, en se demandant s'il fallait "bricoler la Constitution pour y mettre un symbole supplémentaire"."Je ne le crois pas" mais s'il était parlementaire il voterait ce texte, "à condition qu'on s'en tienne strictement aux incriminations actuelles du code civil". "Je ne vois pas de contradiction dans ma position", a-t-il affirmé. sac longchamp pliage pas cher L'ancien Premier ministre a également affirmé que les clivages gauche/droite étaient "un peu dépassés". "Je suis d'abord gaulliste", a-t-il dit, rappelant ce que le Général de Gaulle disait: "La France, ce n'est pas la gauche, la France, ce n'est pas la droite. La France, c'est tous les Français"."Moi, ce qui m'intéresse, c'est le fond", a-t-il lancé.Après ses propositions sur l'école en septembre, exposées dans un livre Mes chemins pour l'école, Alain Juppé dévoile dans un nouveau livre, Pour un Etat fort, à paraître mardi, ses idées sur la sécurité, la justice et l'immigration.Philippe Richert (LR), élu lundi président de la région Alsace Champagne-Ardenne Lorraine, a annoncé son intention d'associer l'opposition de gauche à sa gouvernance, et a proposé au gouvernement un "partenariat" pour lutter contre le chômage et expérimenter de nouveaux transferts de compétences.M.
M. Wauquiez s'est engagé à consulter par internet les 8 millions d'Auvergnats et de Rhône-Alpins pour déterminer le nom de la nouvelle région.Alain Juppé, candidat à la primaire de la droite et du centre pour 2017, s'est déclaré, lundi sur France 2, opposé à l'extension de la nationalité à tous les Français, binationaux ou pas, la France ne pouvant se mettre "en contradiction avec la déclaration universelle des droits de l'Homme"."Il y a des rumeurs qui commencent à circuler qu'on pourrait étendre cela (la déchéance de nationalité), y compris à des mononationaux. Alors là, je dis stop!", s'est exclamé l'ancien Premier ministre. "La France, patrie des droits de l'Homme - en tout cas, c'est ce qu'elle proclame urbi et orbi - ne va pas se mettre en contradiction avec la déclaration universelle des droits de l'Homme", a-t-il ajouté.A la recherche d'un compromis, plusieurs responsables socialistes ont émis l'idée de déchoir de sa nationalité tout terroriste français, qu'il soit ou non binational. sac longchamp solde C'est "un élément qui est dans le débat", a admis le secrétaire d'Etat au Parlement Jean-Marie Le Guen. Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, est ouvert à cette idée, ainsi que Bruno Le Roux, président des députés socialistes.M. Juppé a réaffirmé que la déchéance de nationalité (pour les binationaux nés en France) était "une mesure purement symbolique qui ne changera rien". "C'est symbolique", a-t-il ajouté, en se demandant s'il fallait "bricoler la Constitution pour y mettre un symbole supplémentaire"."Je ne le crois pas" mais s'il était parlementaire il voterait ce texte, "à condition qu'on s'en tienne strictement aux incriminations actuelles du code civil". "Je ne vois pas de contradiction dans ma position", a-t-il affirmé. sac longchamp pliage pas cher
L'ancien Premier ministre a également affirmé que les clivages gauche/droite étaient "un peu dépassés". "Je suis d'abord gaulliste", a-t-il dit, rappelant ce que le Général de Gaulle disait: "La France, ce n'est pas la gauche, la France, ce n'est pas la droite. La France, c'est tous les Français"."Moi, ce qui m'intéresse, c'est le fond", a-t-il lancé.Après ses propositions sur l'école en septembre, exposées dans un livre Mes chemins pour l'école, Alain Juppé dévoile dans un nouveau livre, Pour un Etat fort, à paraître mardi, ses idées sur la sécurité, la justice et l'immigration.Philippe Richert (LR), élu lundi président de la région Alsace Champagne-Ardenne Lorraine, a annoncé son intention d'associer l'opposition de gauche à sa gouvernance, et a proposé au gouvernement un "partenariat" pour lutter contre le chômage et expérimenter de nouveaux transferts de compétences.M.
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