Lunettes Ray Ban clubmaster Christophe - 0 views

• 
  #1 polosoldes08 on 19 May 15

   

  Pas facile en effet de fidéliser la clientèle lorsqu'on est ambulant, en particulier avec un concept nouveau. Le créateur d'Eaty en témoigne. Désormais perçu comme "le petit bistrot du coin", son triporteur a subi une longue période d'observation sceptique. "L'innovation, on s'en méfie. Les clients ont commencé à affluer au bout d'un an, un an et demi.1" Sans parler des réticences des restaurateurs traditionnels. "Nous sommes perçus comme des petits concurrents, affirme Tom Wallis. Lunettes Ray Ban clubmaster pas cher
  Et les restaurateurs ne s'approprient pas cette tendance, alors qu'ils pourraient eux aussi développer le concept.""LONGUES DÉMARCHES"Flexible et mobile, le "streetvending" comporte aussi son lot de contraintes. Notamment en ce qui concerne les autorisations. "Quand on est dans un lieu privé, il faut l'autorisation du propriétaire, qui n'est pas difficile à trouver. C'est une autre affaire lorsqu'il s'agit des lieux publics : il faut alors s'adresser à la mairie, ou au commissariat concerné, et les démarches peuvent être très longues", raconte Frédéric Fédière, cogérant du Camion qui fume. Lunettes Ray Ban clubmaster pas cherEn tout cas, cela ne semble pas décourager ceux qui souhaitent se lancer dans la restauration mobile. Frédéric Fédière est quotidiennement contacté par des personnes intéressées par le concept et en quête de conseils. Lunettes Ray Ban clubmaster Christophe Certain a lui aussi eu vent de nombreux projets concurrents. Mais le cofondateur de Vélissime ne croit pas au développement du "streetvending". "Les autorisations des pouvoirs publics sont très contraignantes, voire inexistantes, affirmetil. Et il y a peu d'acteurs crédibles qui s'installent dans la rue."Le fondateur d'Eaty a, lui, un avis plus mitigé : "On ne peut pas copiercoller chez nous ce qui se fait à l'étranger, affirme Christophe Boisselier. Lunettes Ray Ban clubmaster Manger en marchant n'est pas une pratique répandue en France, et le public reste très exigeant sur la qualité du plat. Le "streetvending" va se développer uniquement s'il est fait à la française". Ray Ban clubmaster pas cher
  L'accès à la totalité de l'article est protégé Déjà abonné ? IdentifiezvousL'accès à la totalité de l'article est protégé Déjà abonné ? IdentifiezvousLe monde abonnementsProfitez du journal où et quand vous voulez.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Pas facile en effet de fidéliser la clientèle lorsqu'on est ambulant, en particulier avec un concept nouveau. Le créateur d'Eaty en témoigne. Désormais perçu comme "le petit bistrot du coin", son triporteur a subi une longue période d'observation sceptique. "L'innovation, on s'en méfie. Les clients ont commencé à affluer au bout d'un an, un an et demi.1" Sans parler des réticences des restaurateurs traditionnels. "Nous sommes perçus comme des petits concurrents, affirme Tom Wallis. <a rel="nofollow" title="Lunettes Ray Ban clubmaster pas cher" href="http://www.alterafrica.fr/ray-ban-pas-cher/">Lunettes Ray Ban clubmaster pas cher</a> <br /> Et les restaurateurs ne s'approprient pas cette tendance, alors qu'ils pourraient eux aussi développer le concept.""LONGUES DÉMARCHES"Flexible et mobile, le "streetvending" comporte aussi son lot de contraintes. Notamment en ce qui concerne les autorisations. "Quand on est dans un lieu privé, il faut l'autorisation du propriétaire, qui n'est pas difficile à trouver. C'est une autre affaire lorsqu'il s'agit des lieux publics : il faut alors s'adresser à la mairie, ou au commissariat concerné, et les démarches peuvent être très longues", raconte Frédéric Fédière, cogérant du Camion qui fume. Lunettes Ray Ban clubmaster pas cherEn tout cas, cela ne semble pas décourager ceux qui souhaitent se lancer dans la restauration mobile. Frédéric Fédière est quotidiennement contacté par des personnes intéressées par le concept et en quête de conseils. <a rel="nofollow" title="Lunettes Ray Ban clubmaster" href="http://www.alterafrica.fr/ray-ban-pas-cher/">Lunettes Ray Ban clubmaster</a> Christophe Certain a lui aussi eu vent de nombreux projets concurrents. Mais le cofondateur de Vélissime ne croit pas au développement du "streetvending". "Les autorisations des pouvoirs publics sont très contraignantes, voire inexistantes, affirmetil. Et il y a peu d'acteurs crédibles qui s'installent dans la rue."Le fondateur d'Eaty a, lui, un avis plus mitigé : "On ne peut pas copiercoller chez nous ce qui se fait à l'étranger, affirme Christophe Boisselier. Lunettes Ray Ban clubmaster Manger en marchant n'est pas une pratique répandue en France, et le public reste très exigeant sur la qualité du plat. Le "streetvending" va se développer uniquement s'il est fait à la française". <a rel="nofollow" title="Ray Ban clubmaster pas cher" href="http://www.alterafrica.fr/ray-ban-pas-cher/">Ray Ban clubmaster pas cher</a> <br /> L'accès à la totalité de l'article est protégé Déjà abonné ? IdentifiezvousL'accès à la totalité de l'article est protégé Déjà abonné ? IdentifiezvousLe monde abonnementsProfitez du journal où et quand vous voulez.</div>

  ...

  Cancel

To Top