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Larsan Lacoste pas cher - 0 views

Lacoste Homme pas cher Soldes

started by uerozhiyo uerozhiyo on 25 Dec 14
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    - Silence ! » glapit l'huissier. Pull Lacoste pas cher Le président dit : « Il faut tout de suite nous dire le nom, monsieur ! … Ceux qui se trouvaient dans le bout de cour étaient : le garde, mort. Estce lui, l'assassin ? - Non, m'sieur. - Le père Jacques ? … - Non m'sieur. - Le concierge, Bernier ? - Non, m'sieur… - M. Sainclair ? - Non m'sieur… - M. Arthur William Rance, alors ? Il ne reste que M. Lacoste Soldes
    Arthur Rance etvous ! Vous n'êtes pas l'assassin, non ? - Non, m'sieur ! - Alors, vous accusez M. Veste Lacoste pas cherArthur Rance ? - Non, m'sieur ! - Je ne comprends plus ! … Où voulezvous en venir ? … il n'y avaitplus personne dans le bout de cour. - Si, m'sieur ! … il n'y avait personne dans le bout de cour, ni audessous, mais il y avait quelqu'un audessus, quelqu'un penché à sa fenêtre,sur le bout de cour… - Frédéric Larsan ! s'écria le président. - Frédéric Larsan ! » répondit d'une voix éclatante Rouletabille. Et, se retournant vers le public qui faisait entendre déjà des protestations, il lui lança ces mots avec une force dont je ne le croyais pas capable: « Frédéric Larsan, l'assassin ! » Une clameur où s'exprimaient l'ahurissement, la consternation,l'indignation, l'incrédulité, et, chez certains, l'enthousiasme pour le petitbonhomme assez audacieux pour oser une pareille accusation, remplit lasalle. Le président n'essaya même pas de la calmer ; quand elle fut tombée d'ellemême, sous les chut ! énergiques de ceux qui voulaient tout desuite en savoir davantage, on entendit distinctement Robert Darzac, qui,se laissant retomber sur son banc, disait : « C'est impossible ! Il est fou ! … » Le président : « Vous osez, monsieur, accuser Frédéric Larsan ! Voyez l'effet d'unepareille accusation… M. Robert Darzac luimême vous traite de fou ! …Si vous ne l'êtes pas, vous devez avoir des preuves… - Des preuves, m'sieur ! Vous voulez des preuves ! Ah ! je vais vous endonner une, de preuve… fit la voix aiguë de Rouletabille… Qu'on fassevenir Frédéric Larsan ! … » Le président : « Huissier, appelez Frédéric Larsan. Lacoste pas cher » L'huissier courut à la petite porte, l'ouvrit, disparut… La petite porteétait restée ouverte… Tous les yeux étaient sur cette petite porte. Chemise Lacoste pas cher L'huissier réapparut. Il s'avança au milieu du prétoire et dit : « Monsieur le président, Frédéric Larsan n'est pas là. Il est parti versquatre heures et on ne l'a plus revu. » Rouletabille clama, triomphant : « Ma preuve, la voilà ! - Expliquezvous… Quelle preuve ? demanda le président. - Ma preuve irréfutable, fit le jeune reporter, ne voyezvous pas quec'est la fuite de Larsan. Je vous jure qu'il ne reviendra pas, allez ! … vousne reverrez plus Frédéric Larsan… » Rumeurs au fond de la salle. Lacoste Homme pas cher
    « Si vous ne vous moquez pas de la justice, pourquoi, monsieur,n'avezvous pas profité de ce que Larsan était avec vous, à cette barre,pour l'accuser en face ? Au moins, il aurait pu vous répondre ! … - Quelle réponse eût été plus complète que celleci, monsieur le président ? … il ne me répond pas ! Il ne me répondra jamais ! J'accuse Larsan d'être l'assassin et il se sauve ! Vous trouvez que ce n'est pas une réponse, ça ! … - Nous ne voulons pas croire, nous ne croyons point que Larsan,comme vous dites, « se soit sauvé »… Comment se seraitil sauvé ? Il nesavait pas que vous alliez l'accuser ? - Si, m'sieur, il le savait, puisque je le lui ai appris moimême, tout àl'heure… - Vous avez fait cela ! … Vous croyez que Larsan est l'assassin et vouslui donnez les moyens de fuir ! … - Oui, m'sieur le président, j'ai fait cela, répliqua Rouletabille avec orgueil… Je ne suis pas de la « justice », moi ; je ne suis pas de la « police »,moi ; je suis un humble journaliste, et mon métier n'est point de faire arrêter les gens ! Je sers la vérité comme je veux… c'est mon affaire… Préservez, vous autres, la société, comme vous pouvez, c'est la vôtre… Maisce n'est pas moi qui apporterai une tête au bourreau ! … Si vous êtesjuste, monsieur le président - et vous l'êtes - vous trouverez que j'ai raison ! … Ne vous aije pas dit, tout à l'heure, « que vous comprendriezque je ne pouvais prononcer le nom de l'assassin avant six heures et demie ». Doudoune Lacoste pas cherJ'avais calculé que ce temps était nécessaire pour avertir FrédéricLarsan, lui permettre de prendre le train de heures , pour Paris, où ilsaurait se mettre en sûreté… Une heure pour arriver à Paris, une heure etquart pour qu'il pût faire disparaître toute trace de son passage… Celanous amenait à six heures et demie… Vous ne retrouverez pas FrédéricLarsan, déclara Rouletabille en fixant M. Robert Darzac… il est trop malin… C'est un homme qui vous a toujours échappé… et que vous avezlongtemps et vainement poursuivi… S'il est moins fort que moi, ajoutaRouletabille, en riant de bon cœur et en riant tout seul, car personnen'avait plus envie de rire… il est plus fort que toutes les polices de laterre. Cet homme, qui, depuis quatre ans, s'est introduit à la Sûreté, et yest devenu célèbre sous le nom de Frédéric Larsan, est autrement célèbre sous un autre nom que vous connaissez bien. Frédéric Larsan, m'sieur leprésident, c'est Ballmeyer ! - Ballmeyer ! s'écria le président. - Ballmeyer ! fit Robert Darzac, en se soulevant… Ballmeyer ! …C'était donc vrai ! - Ah ! ah ! m'sieur Darzac, vous ne croyez plus que je suis fou,maintenant ! … » Ballmeyer ! Ballmeyer ! Ballmeyer ! On n'entendait plus que ce nomdans la salle. Le président suspendit l'audience.

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