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started by bifeng5 on 11 Aug 14
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    Il y a une semaine, l'ancien premier ministre Laurent Fabius s'étonnait que les candidats connaissent les questions à l'avance. « On n'est pas à Sciences Po », disait-il.L'intérêt accordé à ces débats varie suivant le camp dans lequel on se trouve. Les partisans de Ségolène Royal s'inquiètent surtout des « risques dans l'opinion » en cas de dérapages. Pour eux, le risque de ces débats entre prétendants, c'est « d'affaiblir notre candidat ». « Les Français sont épuisés par cette culture de l'affrontement », assure le député européen Gilles Savary. La semaine dernière, Royal a annoncé qu'elle se réservait le droit de ne pas y participer s'ils étaient « détournés » de leur objectif. lacoste pas cher chine
    Donnée gagnante, elle s'agace parfois des « questions de cours » qu'on veut lui imposer dans l'espoir qu'elle trébuche.« Permettre aux militants de se faire une idée »Ses challengers, à l'inverse, clament la nécessité de ces moments de délibération collective. « On veut permettre aux militants de se faire une idée, on ne peut pas aller aux élections avec un programme générique », explique le fabiusien Claude Bartolone. « Face au flou », Dominique Strauss-Kahn compte, selon ses proches, être « l'homme des solutions ». Dans le cadre d'un débat, les deux anciens ministres de l'Économie pensent pouvoir faire la démonstration des qualités de leur ligne politique respective (l'ancrage à gauche pour l'un, la sociale-démocratie chez l'autre) face à Ségolène Royal, moins expérimentée qu'eux et moins à l'aise dans cet exercice.Hier, une vingtaine de partisans de Lionel Jospin, dont Martine Aubry, Bertrand Delanoë et Daniel Vaillant, ont dévoilé un texte commun. « Ne nous écartons pas des valeurs qui sont les nôtres », préviennent-ils en laissant cependant les militants « libres de leur vote ». lacoste pas cher Incapables de choisir aujourd'hui entre les candidats, ils disent attendre les débats. S'ils n'apprécient pas Ségolène Royal, ils ne sont pas sûrs qu'elle puisse perdre.LE 29 SEPTEMBRE, jour de sa déclaration de candidature à Vitrolles, le journal Le Parisien a publié un dossier sur Ségolène Royal. On en a retenu les révélations de son frère Antoine sur la participation de son autre frère, Gérard, dans l'affaire du Rainbow Warrior. Mais ce qui a surtout mobilisé l'attention de la candidate socialiste, c'est un article faisant état de tensions entre elle et son compagnon François Hollande, et des répercussions de sa candidature sur leur vie de famille.Le Parisien a donc reçu très rapidement une lettre recommandée de l'avocat de Royal, Jean-Pierre Mignard, réclamant la publication d'« excuses » dans le journal, « accompagnées d'une grande photo pour que l'attention du lecteur soit attirée » ! Une procédure que ne prévoit pas la loi, qui reconnaît aux personnes mises en cause par un article un « droit de réponse », et la possibilité de se pourvoir devant les tribunaux pour diffamation. Royal s'est bien gardée d'utiliser cette procédure. lacoste pas cher casquette
    Et la rédaction du Parisien a tenu bon, refusant de publier des excuses et soutenant sa journaliste, Nathalie Segaunes. En revanche, Royal s'est vantée auprès de la direction du Parisien d'avoir obtenu que la journaliste soit écartée de la fabrication d'un documentaire réalisé par une maison de production pour le compte de l'émission de France 2 « Envoyé spécial », estimant qu'elle avait « rompu la confiance » par ses articles du Parisien.Interdiction de filmer pendant qu'elle mangeLorsque les journalistes critiquent ses propositions sur le fond, Royal est plutôt moins susceptible que la moyenne des hommes politiques. En revanche, elle surveille de très près tout ce qui touche à son image. Elle interdit d'un ton sec, par exemple, qu'on la photographie ou qu'on la filme pendant qu'elle mange. Lors de son récent voyage au Sénégal, elle avait demandé aux preneurs de son de ne pas laisser leurs perches porte-micro dans le champ des caméras « pour qu'il y ait de belles images ». Le surlendemain, elle montait dans l'autocar des journalistes pour leur passer un savon parce qu'ils avaient reproduit des propos tenus dans une réunion où ils avaient pourtant été conviés.

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