lacoste pas cher homme Plus - 0 views

• 
  #1 polosoldes08 on 31 Dec 14

   

  Le produit intérieur brut (PIB) des 17?pays de la zone euro s'est contracté de 0,2?% au deuxième trimestre et devrait afficher un nouveau recul du même ordre au troisième, selon les observateurs. Une enquête dite Markit révélait, lundi, que la production industrielle s'était de nouveau contractée au mois d'ao?t dans la zone. La France est frappée de plein fouet. Mais l'Allemagne n'est plus épargnée.Le plus grave sujet d'inquiétude vient de la détérioration accentuée de l'économie des pays du Sud européen. Le ch?mage bat de nouveaux records en Espagne. Selon les chiffres rendus publics hier par l'institut national de la statistique, le nombre de personnes sans emploi y a progressé encore ces derniers mois, en dépit de la saison touristique. lacoste pas cher femme
  Le ch?mage touche désormais 24,6?% de la population active et… 53?% des jeunes. Madrid est par ailleurs confrontée à des appels à l'aide de ses provinces exsangues. La Catalogne, l'Andalousie, les régions de Valence et de Murcie réclament au total près de 15?milliards d'euros tout simplement pour boucler leurs fins de mois.Conséquence de l'aiguisement de ces difficultés, Madrid, qui a d? avoir recours à un ??soutien?? européen spécifique pour faire face à l'écroulement de son secteur bancaire, pourrait solliciter une nouvelle ??aide?? de facture plus classique, comme l'avait fait la Grèce, l'Irlande ou le Portugal, pour équilibrer ses comptes. Moyennant un nouveau tour de vis austéritaire. Terrible contradiction : le rationnement des dépenses sociales et les coupes dans les salaires, les emplois publics, exigés par les ??partenaires?? de l'UE pour ??soigner le malade??, alimentent la spirale de la récession. Comme l'Espagne, la Grèce, l'Italie ou le Portugal en font la plus amère expérience. lacoste pas cher homme Plus les pays sont touchés par la crise et plus on leur enfonce la tête sous l'eau.La méthode montre aujourd'hui toutes ses dangereuses limites. Jusqu'à nourrir toutes sortes de spéculations sur un ??éclatement inéluctable?? de la zone euro. Lequel ne ferait en fait que porter vers un nouveau paroxysme les inégalités et les déséquilibres européens à l'origine de l'instabilité monétaire.L'urgence est si manifeste que Mario Draghi, le président de la BCE, pourrait y répondre à la réunion de la BCE de ce jeudi en faisant bon marché de certains des dogmes monétaristes de l'UE. Selon les informations qu'il laisse savamment filtrer, la Banque centrale annoncerait une baisse de ses taux d'intérêt, ramenés à 0,5?%, en dépit d'un niveau d'inflation supérieur au sacro-saint seuil des 2?% (provoqué essentiellement par la hausse des prix de l'énergie). Surtout, il lancerait le rachat d'obligations de dettes publiques à court terme, de l'Espagne et de pays en difficulté, quand l'écart de taux d'intérêt (spread) avec ceux consentis à l'Allemagne prend des proportions insupportables. survetement lacoste pas cher
  La démarche a nourri tout l'été un bras de fer avec les autorités allemandes, Jens Weidemann, le président de la Bundesbank, allant jusqu'à menacer de démissionner de la BCE. Et lundi, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Sch?uble, a mis en garde contre de ??mauvaises attentes?? à l'égard de la BCE en martelant : ??Les dettes des états ne doivent pas être financées par la BCE.?? Un compromis semble toutefois prêt dans les tiroirs : le rachat de bons du Trésor serait bien pratiqué mais assorti d'engagements drastiques des pays ??bénéficiaires??.Autrement dit : on resterait inscrit dans la logique fédéraliste voulue par Berlin pour renforcer les contraintes sur ses ??partenaires??. Au risque d'enfoncer l'Europe et l'euro dans la zone des turbulences.Il serait temps de tirer jusqu'au bout un enseignement de l'échec de la méthode austéritaire. Cela suppose d'user pleinement de la création monétaire, pour les services publics, la recherche, la formation, et pour stimuler de vraies coopérations permettant de réduire les inégalités de développement.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Le produit intérieur brut (PIB) des 17?pays de la zone euro s'est contracté de 0,2?% au deuxième trimestre et devrait afficher un nouveau recul du même ordre au troisième, selon les observateurs. Une enquête dite Markit révélait, lundi, que la production industrielle s'était de nouveau contractée au mois d'ao?t dans la zone. La France est frappée de plein fouet. Mais l'Allemagne n'est plus épargnée.Le plus grave sujet d'inquiétude vient de la détérioration accentuée de l'économie des pays du Sud européen. Le ch?mage bat de nouveaux records en Espagne. Selon les chiffres rendus publics hier par l'institut national de la statistique, le nombre de personnes sans emploi y a progressé encore ces derniers mois, en dépit de la saison touristique. <a title="lacoste pas cher femme" rel="nofollow" href="http://www.free-road.fr/">lacoste pas cher femme</a> <br /> Le ch?mage touche désormais 24,6?% de la population active et… 53?% des jeunes. Madrid est par ailleurs confrontée à des appels à l'aide de ses provinces exsangues. La Catalogne, l'Andalousie, les régions de Valence et de Murcie réclament au total près de 15?milliards d'euros tout simplement pour boucler leurs fins de mois.Conséquence de l'aiguisement de ces difficultés, Madrid, qui a d? avoir recours à un ??soutien?? européen spécifique pour faire face à l'écroulement de son secteur bancaire, pourrait solliciter une nouvelle ??aide?? de facture plus classique, comme l'avait fait la Grèce, l'Irlande ou le Portugal, pour équilibrer ses comptes. Moyennant un nouveau tour de vis austéritaire. Terrible contradiction : le rationnement des dépenses sociales et les coupes dans les salaires, les emplois publics, exigés par les ??partenaires?? de l'UE pour ??soigner le malade??, alimentent la spirale de la récession. Comme l'Espagne, la Grèce, l'Italie ou le Portugal en font la plus amère expérience. <a title="lacoste pas cher homme" rel="nofollow" href="http://www.free-road.fr/">lacoste pas cher homme</a> Plus les pays sont touchés par la crise et plus on leur enfonce la tête sous l'eau.La méthode montre aujourd'hui toutes ses dangereuses limites. Jusqu'à nourrir toutes sortes de spéculations sur un ??éclatement inéluctable?? de la zone euro. Lequel ne ferait en fait que porter vers un nouveau paroxysme les inégalités et les déséquilibres européens à l'origine de l'instabilité monétaire.L'urgence est si manifeste que Mario Draghi, le président de la BCE, pourrait y répondre à la réunion de la BCE de ce jeudi en faisant bon marché de certains des dogmes monétaristes de l'UE. Selon les informations qu'il laisse savamment filtrer, la Banque centrale annoncerait une baisse de ses taux d'intérêt, ramenés à 0,5?%, en dépit d'un niveau d'inflation supérieur au sacro-saint seuil des 2?% (provoqué essentiellement par la hausse des prix de l'énergie). Surtout, il lancerait le rachat d'obligations de dettes publiques à court terme, de l'Espagne et de pays en difficulté, quand l'écart de taux d'intérêt (spread) avec ceux consentis à l'Allemagne prend des proportions insupportables. <a title="survetement lacoste pas cher" rel="nofollow" href="http://www.free-road.fr/">survetement lacoste pas cher</a> <br /> La démarche a nourri tout l'été un bras de fer avec les autorités allemandes, Jens Weidemann, le président de la Bundesbank, allant jusqu'à menacer de démissionner de la BCE. Et lundi, le ministre allemand des Finances, Wolfgang Sch?uble, a mis en garde contre de ??mauvaises attentes?? à l'égard de la BCE en martelant : ??Les dettes des états ne doivent pas être financées par la BCE.?? Un compromis semble toutefois prêt dans les tiroirs : le rachat de bons du Trésor serait bien pratiqué mais assorti d'engagements drastiques des pays ??bénéficiaires??.Autrement dit : on resterait inscrit dans la logique fédéraliste voulue par Berlin pour renforcer les contraintes sur ses ??partenaires??. Au risque d'enfoncer l'Europe et l'euro dans la zone des turbulences.Il serait temps de tirer jusqu'au bout un enseignement de l'échec de la méthode austéritaire. Cela suppose d'user pleinement de la création monétaire, pour les services publics, la recherche, la formation, et pour stimuler de vraies coopérations permettant de réduire les inégalités de développement.</div>

  ...

  Cancel

To Top