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Lacoste pas cher femme Cette - 0 views

longchamp

started by bifeng3 on 13 Dec 14
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    Le taux de chômage a explosé depuis deux ans, atteignant désormais plus de 21 % de la population active. La dernière note d'analyse de la Raiffeisen Bank est sans appel : seules une injection massive de fonds européens et une très bonne saison touristique pourraient encore sauver le pays de la banqueroute.L'économie croate, relativement diversifiée quand le pays appartenait à la Yougoslavie socialiste, a été laminée par les années de guerre et de privatisation mafieuse. À partir de la fin des années 1990, la Croatie a commencé à sortir la tête de l'eau, mais en basculant dans une quasi mono-activité touristique. Et la tendance ne risque pas de s'inverser. L'UE exige ainsi la privatisation des chantiers navals croates -l'une des dernières spécialités industrielles du pays. Certains de ces chantiers sont en crise profonde, comme ceux de Split ou de Trogir, mais le carnet de commandes des chantiers Uljanik de Pula reste plein. Lacoste Soldes La privatisation risque pourtant de sonner le glas des chantiers, et les repreneurs éventuels ne s'intéressent guère qu'aux terrains de bord de mer, qu'ils s'apprêtent à transformer en marinas et en complexes hôteliers. Naturellement, une telle mutation aura des conséquences dramatiques pour l'emploi. Aujourd'hui, la population du littoral -notamment les jeunes- ne survit plus guère que grâce aux emplois saisonniers, payés au maximum 200 euros par mois. Pour Bruno Bulic, responsable syndical de la très touristique région d'Istrie, les Croates seront des citoyens de « seconde zone » en Europe, leur pays n'ayant plus d'autre vocation que d'accueillir les touristes de l'Europe « riche ». Jean-Arnault DérensRéagissant à une grève de la faim des détenus, les Nations unies s'insurgent contre le maintien de la prison « hors-sol » en violation du droit international et des lois états-uniennes. Genève, correspondance. Une centaine de détenus du camp d'internement de Guantanamo sont en grève de la faim. Lacoste pas cher
    Bien que leur nombre soit contesté par les autorités militaires du camp, qui tentent de minimiser leur action et ses causes, selon des avocats et des détenus eux-mêmes, c'est une nette majorité des 166 prisonniers restant dans le camp, qui participent à cette grève, commencée depuis le début du mois de février. Selon des gardiens et des détenus (relayés par des juristes des ONG), il s'agit d'une grève dure. Le commandement militaire de Guantanamo a admis que des prisonniers avaient été transportés à l'hôpital du camp et que certains sont « nourris de force » (par tube).traitements dégradantsCette grève n'est pas la première, mais elle semble très suivie par les détenus. Ces derniers protestent contre « les contrôles corporels dégradants » et contre « la désacralisation en leur présence du Coran » par les militaires alors qu'un nouveau directeur est arrivé au camp. Pour David Remes, un des avocats les plus engagés dans la défense de prisonniers de Guantanamo (il défend des détenus originaires du Yémen), il s'agit « d'une manifestation de désespoir des prisonniers devant l'arbitraire de leur situation et face à l'absence de toute perspective de procès ou de libération ».Les Nations unies ont saisi l'occasion pour condamner « le maintien du camp qui viole les lois américaines et internationales ». Lacoste pas cher femme Cette action prend des allures de condamnation de l'administration Obama et de sa politique. En effet, Guantanamo fut créé en 2001 hors du territoire américain et en dehors - et en violation - de toute légalité nationale ou internationale, par l'administration Bush pour y maintenir au secret des prisonniers de sa « guerre contre le terrorisme ». Et au plus haut de son activité, autour de 2003, plus de 650 présumées terroristes y étaient incarcérées (encore 250 prisonniers à l'arrivée d'Obama).86 détenus libérablesIl est vrai que, depuis longtemps, les États-Unis emprisonnent à Bagram, en Afghanistan, et non plus à Guantanamo. En janvier 2009, aux premiers jours de sa présidence, Barack Obama a signé, à grand renfort de projecteurs, un décret pour juger les détenus restants et pour fermer Guantanamo en une année. Vaine mise en scène. Le Congrès (à majorité républicaine) a passé une loi empêchant le transfert et la détention des prisonniers du camp sur le sol américain. Lacoste pas cher homme
    Obama, disent les juristes, avait la prérogative présidentielle de passer outre. Il a préféré ne prendre aucun risque politique et éviter de s'exposer aux foudres annoncées des républicains. Il n'en reste pas moins qu'au dire de l'administration américaine, plus de la moitié (86) des détenus sont immédiatement libérables ! On ne peut rien leur reprocher de précis… Mais voilà, Obama ne veut pas les voir sur le sol américain et les pays auxquels il s'adresse - les pays d'origine ou d'autres - se montrent réticents à lui donner ce coup de main en recevant chez eux des prisonniers venant de Guantanamo (la France, l'Italie, la Suisse ou le Yémen qui a 56 ressortissants libérables… ont été contactés). L'histoire du « camp de la honte » continue… Ramine AbadieSélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.Irak, dix ans après la chute de Bagdad Le 9 avril 2003, les forces US investissaient Bagdad. Dix ans après, au prix d'une terrible guerre - plus de 4 500 marines tués et plusieurs dizaines de milliers de soldats blessés - les États-Unis rapatrient leurs troupes laissant un pays exsangue. Plus de 110 000 civils ont été tués, l'économie peine à se relever et le pays a implosé (de fait en trois entités - chiite, sunnite et kurde -, avec des situations, à l'instar de Kirkouk, ville revendiquée (par les Turcomans, les Arabes et les Kurdes, qui constituent autant de bombes à retardement.

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