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started by bifeng5 on 10 Dec 14
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    La faute à qui ? « Les choses n'ont pas marché comme ils (les Etats-Unis et leurs alliés, ndlr) l'espéraient et il est essentiel d'avoir un regard critique », estime Kofi Annan, qui ajoute que « le gouvernement irakien n'a pas été capable de mettre la violence sous contrôle ». « J'ai fait tout ce que j'ai pu » Kofi Annan n'admet aucune responsabilité personnelle dans cette situation. « En tant que secrétaire général, j'ai fais tout ce que j'ai pu », répète-t-il. Mis en cause par la journaliste de la BBC sur son « langage diplomatique » et sa façon d'éviter le conflit, Annan déclare avoir fait les choses « à sa manière ». Sur la situation à Darfour, Annan ne « conteste pas la gravité de la situation », mais souligne que « nous n'avons pas les ressources ou la volonté » d'envoyer des Casques bleus à tout prix. Amer, la secrétaire général des Nations Unies avoue à mots couverts que l'organisation mondiale n'est pas capable de tenir son « Plus jamais ça », après Srebrenica où le Rwanda. « J'ai prévenu les Soudanais qu'ils seront tenus pour responsables individuellement et collectivement pour ce qui se passe ». burberry pas cher femme
    Seul conseil à son successeur, le Sud-Coréen Ban Ki Moon : faire les choses, lui aussi, « à sa manière ». Le nouveau président du Mexique, Felipe Calderon, a finalement prêté serment hier devant le Congrès au milieu des protestations de la gauche qui conteste sa victoire électorale (nos éditions d'hier).Felipe Calderon a reçu l'écharpe présidentielle des mains du président sortant Vicente Fox au milieu d'un grand désordre.D'un côté, ses partisans du Parti action national (PAN) occupaient la tribune du Congrès, alors que les parlementaires du Parti de la révolution démocratique (PRD-gauche), qui tentaient depuis mardi d'empêcher la cérémonie, criaient et protestaient, y compris durant l'interprétation de l'hymne national.Dans les rues de la capitale, une manifestation de dizaines de milliers de partisans du candidat de gauche Andres Manuel Lopez Obrador s'est dirigée hier vers l'auditorium national où le président mexicain devait s'adresser à la nation. « Nous sommes ici pour protester contre la fraude électorale du 2 juillet », avait-il lancé dans un discours prononcé peu avant sur le Zocalo, la place centrale de la capitale mexicaine.« Ils ont violé la Constitution, piétiné la dignité des Mexicains, n'ont pas respecté la volonté du peuple, imposé un coup d'État, générant l'instabilité politique », a aussi affirmé Andres Manuel Lopez Obrador. foulard burberry pas cher Felipe Calderon avait devancé son serment devant le Congrès par une cérémonie inédite dans l'histoire du Mexique.Vendredi à minuit, devant les caméras de télévision, il a inauguré son mandat en recevant le drapeau national des mains du président sortant Vicente Fox à Los Pinos, la résidence officielle du président mexicain.LA RUSSIE vit un nouveau roman noir. Sept ans après le stupéfiant enchaînement - attentats à Moscou qui avaient justifié la relance de la guerre au Caucase - qui avait débouché sur la mise en orbite présidentielle de Vladimir Poutine en 1999, une série de meurtres spectaculaires ensanglante l'horizon russe à l'approche de la présidentielle de 2008.Le 7 octobre, Anna Politkovskaïa, journaliste vedette de Novaïa Gazeta et farouche opposante au régime de Vladimir Poutine, est assassinée. Le 23 novembre, Alexandre Litvinenko, ex-officier des services secrets russes FSB, émigré à Londres et proche de l'oligarque d'opposition en exil Boris Berezovski, meurt empoisonné au polonium 210, une substance hautement radioactive. Deux jours plus tard, Egor Gaïdar, ancien premier ministre de Boris Eltsine, est pris en Irlande d'un malaise mystérieux. echarp burberry pas cher
    Vendredi 1er décembre, enfin, une petite quantité de polonium est découverte dans l'organisme de Mario Scaramella. Ce consultant italien, spécialiste de l'infiltration de l'Occident par le KGB, avait déjeuné avec Litvinenko pour le prévenir qu'ils faisaient tous deux partie, avec Politkovskaïa, d'une liste de personnalités à abattre. « Politkovskaïa, Litvinenko, Gaïdar. Il s'agit là d'une chaîne visant à orchestrer un changement de pouvoir violent et inconstitutionnel », lance Anatoli Tchoubais, un puissant oligarque libéral rallié à Vladimir Poutine. Dans son sillage, nombre d'experts russes s'interrogent aujourd'hui sur une éventuelle opération de déstabilisation orchestrée par les clans proches du Kremlin pour peser sur la succession de Poutine. Avec son aval, ou bien au contraire contre lui ? Nul ne le sait.En Occident, l'affaire paraît abracadabrante.

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