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Foulard burberry Comme Chemise pas cher

started by stlwdwl2 on 09 Dec 15
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    Cet administrateur de la NASA avait demandé aux Etats-Unis d'intensifier les moyens de recherches sur la détection des météorites et astéroïdes. Une requête motivée par la chute d'une météorite sur la localité de Tcheliabinsk en Russie en février 2013, qui avait fait plusieurs milliers de blessés.MEXIQUE - C'est le plus puissant jamais recensé. L'ouragan Patricia est entré vendredi 23 octobre sur la côte Pacifique du Mexique. Il s'était légèrement affaibli mais se maintenait en catégorie 5 - maximale sur l'échelle de Saffir-Simpson - avec des vents à 270 km/h, après avoir enregistré des vents records de 325 km/h, faisant craindre des dégâts considérables lors de son entrée au Mexique. L'ouragan Patricia est plus puissant que le typhon Haiyan, qui avait causé la mort ou la disparition de 7350 personnes aux Philippines en novembre 2013. Les autorités ont déplacé des habitants, fermé les ports, les écoles, et évacué des touristes avant l'arrivée dans l'Etat de Jalisco (ouest) de l'ouragan.
    Heureusement, ce dernier a provoqué des dégâts moins importants que prévus. L'ouragan a été dégradé samedi en tempête tropicale en arrivant sur le Mexique via le Pacifique, a annoncé le centre américain des ouragans (NHC). Selon le bulletin du NHC de 14h heure française, les vents les plus forts avaient baissé d'intensité à 80 km/h et on s'attendait à ce qu'ils perdent encore de la puissance. Mais avant de toucher terre, on pouvait craindre que Patricia cause une catastrophe majeure. Pour donner l'ampleur et de la violence du phénomène, la Nasa ainsi que son astronaute Scott Kelly ont diffusé sur Twitter des images prises depuis la Station spatiale internationale (voir aussi la vidéo en haut de cet article). Même si Patricia fait au final moins de dégâts que prévu, voilà qui a de quoi impressionner:CIENCE - Une fois encore, la Nasa nous a gratifiés d'images spectaculaires. Mercredi 21 octobre, l'agence a publié sur Youtube une vidéo montrant en 3D les effets d'un trou noir sur une étoile qui a eu le malheur d'un peu trop s'approcher. Foulard burberry Comme le montre notre vidéo au-dessus de l'article, cette "vue d'artiste" (précise la Nasa) se base sur un véritable événement observé en novembre 2014, à 290 millions d'années lumière de nous environ. L'étoile, attirée par la gravité phénoménale qui règne au centre du trou noir, y sombre entièrement. Puis, la chaleur au centre du monstre atteignant des températures si élevées, la matière de l'étoile est expulsée sous forme de nuages hypnotiques. Un phénomène qui rend merveilleux le tragique destin de cette étoile, happée par un trou noir qui pèserait plusieurs millions de fois le poids de notre soleil.ANIMAUX - Celui qui crie le plus fort n'a pas toujours raison et ne domine pas forcément ses congénères. Les singes hurleurs qui poussent les cris les plus puissants sont les moins virils ont déterminé des chercheurs dans une étude publiée le 22 octobre dernier dans la revue Current Biology. Les capacités vocales impressionnantes de ces primates -on peut les entendre jusqu'à un kilomètre- s'expliquent par de longues cordes vocales et un os hyoïde uniquement adapté pour permettre une forte résonance des sons. Chemise burberry pas cher
    Toutefois, les singes hurleurs qui ont des "cris" les plus exceptionnels, très graves, ont aussi des testicules de plus petite taille que ceux dont "la voix" est moins puissante, ont constaté ces scientifiques. "Nous avons de solides indications que les espèces de singes hurleurs qui développent de plus grands organes vocaux produisent moins de sperme", indique Jacob Dunn de l'Université de Cambridge, un des principaux auteurs de ces travaux. "Il s'agit du premier indice montrant que chez toutes les espèces il existe un compromis entre les capacités vocales et la production de sperme", souligne le chercheur. Cette découverte chez les singes hurleurs conforte encore l'idée initialement avancée par Charles Darwin sur les effets de la sélection sexuelle. Selon la théorie de l'évolution, les mâles de différentes espèces sont souvent confrontés à des compromis entre des attributs physiques utiles pour la séduction et ceux qui optimisent les chances de fertilisation. Des mâles de nombreuses espèces sont parés de couleurs vives ou possèdent des "armes" comme des bois ou des cornes. Dans de nombreux cas, ces attributs sexuels ont un coût, expliquent les chercheurs qui l'ont vérifié chez les singes hurleurs mâles.

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