Tous veulent soutenir et encourager celui qu'ils considèrent comme « le plus républicain de tous les candidats », selon la formule de Michel Mercier, président du groupe UDF au Sénat. Tous se préparent à une campagne « rude ». « Je connais une par une toutes les difficultés du chemin, simplement j'ai décidé de livrer la bataille », confiait récemment François Bayrou au Figaro. Preuve que rien n'est aisé : le candidat centriste est de nouveau distancé par Jean-Marie Le Pen dans les sondages, alors que les deux hommes étaient ces dernières semaines au coude à coude pour décrocher le « trophée » de « troisième homme ». Mais François Bayrou, qui veut se poser en recours face au « duo » formé par Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, croit non seulement qu'il peut être le troisième homme de l'automne, mais surtout qu'il créera « la surprise » au premier tour, grâce à « la démarche politique radicalement nouvelle » qu'il veut incarner.Pour résoudre les problèmes du pays, il faut « faire travailler ensemble des hommes et des femmes venus de bords différents», de droite comme de gauche, martèle-t-il en dénonçant « 25 années d'échecs successifs des deux partis dominants ».Les candidats potentiels qui souhaitent obtenir le soutien de l'UDF pour 2007 devront se faire connaître avant le 5 décembre. echarpe hermes paris Mais François Bayrou devrait être seul sur les rangs ; car l'hypothèse d'une candidature de Gilles de Robien, seul ministre UDF, qui conteste sa stratégie, n'a « jamais été envisagée », dit-on dans l'entourage du ministre. Gilles de Robien sera d'ailleurs cette semaine au Mexique pour l'investiture, prévue vendredi, du président Felipe Calderon.François Bayrou, qui oscille entre 6 % et 12 % d'intentions de vote dans les sondages, lancera sa campagne avant même le résultat, le 20 décembre, du vote des quelque 33 000 adhérents de l'UDF. Il tiendra deux réunions publiques, à Lille le 14 décembre, et à Lyon le 19 décembre. DEUX nouveaux venus, la Chine et la Russie, ont discrètement fait leur entrée jeudi soir à Paris dans le Forum international génération IV (GIF). Lancée en 2000 à l'initiative du département américain de l'Énergie, il s'agit d'une instance de coopération en recherche sur les réacteurs nucléaires du futur.Ce club a choisi de plancher sur six concepts de réacteurs présentant une rupture technologique majeure. echarpe hermes pas chere Plus propres, générant moins de déchets, capables de produire de l'hydrogène pour certains, voire de dessaler l'eau de mer, ce sont les réacteurs dits de quatrième génération, qui ont vocation à voir le jour après 2030.« Les deux nouveaux alliés pourront apporter une contribution précieuse en R & D », explique Jacques Bouchard (Commissariat à l'énergie atomique), qui vient de prendre la présidence tournante du GIF. La Russie est le seul pays à avoir travaillé sur les réacteurs rapides au plomb. Quant à la Chine, qui dispose de deux installations expérimentales, elle devrait consacrer au nucléaire d'importants investissements à l'avenir.Compétition industrielleLes treize pays membres du GIF sont prêts à investir au total 6 milliards de dollars sur quinze ans (50 à 100 millions de dollars par an pour les États-Unis, la France et le Japon) soit presque autant que pour le projet de réacteur de fusion nucléaire Iter (10 milliards de dollars sur quarante ans). Mais au terme de cette phase de coopération, chacun gardera la propriété intellectuelle de ses recherches. Le jeu de la compétition reprendra alors le dessus en phase industrielle. achat sac hermes pas cher Grand absent de ce club de défense de l'atome : l'Inde, qui n'a pas signé le traité de non-prolifération, mais frappe à la porte du GIF. La question s'est déjà posée au sein du Groupe des fournisseurs nucléaires (NSG) en combustible et réacteurs. Nombre de ses membres, sauf les États-Unis, ne sont pas prêts à approvisionner l'Inde, qui refuse de placer toutes ses installations nucléaires sous contrôle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Surtout, la Chine s'y oppose, à moins que la porte ne reste ouverte pour le Pakistan. On en est encore loin. « JE SUIS M€RE pour y aller. » Christine Boutin annoncera cet après-midi, devant le conseil national du Forum des républicains sociaux (FRS), sa candidature à l'élection présidentielle.
started by bifeng5 on 07 Nov 14
Mais François Bayrou devrait être seul sur les rangs ; car l'hypothèse d'une candidature de Gilles de Robien, seul ministre UDF, qui conteste sa stratégie, n'a « jamais été envisagée », dit-on dans l'entourage du ministre. Gilles de Robien sera d'ailleurs cette semaine au Mexique pour l'investiture, prévue vendredi, du président Felipe Calderon.François Bayrou, qui oscille entre 6 % et 12 % d'intentions de vote dans les sondages, lancera sa campagne avant même le résultat, le 20 décembre, du vote des quelque 33 000 adhérents de l'UDF. Il tiendra deux réunions publiques, à Lille le 14 décembre, et à Lyon le 19 décembre. DEUX nouveaux venus, la Chine et la Russie, ont discrètement fait leur entrée jeudi soir à Paris dans le Forum international génération IV (GIF). Lancée en 2000 à l'initiative du département américain de l'Énergie, il s'agit d'une instance de coopération en recherche sur les réacteurs nucléaires du futur.Ce club a choisi de plancher sur six concepts de réacteurs présentant une rupture technologique majeure. echarpe hermes pas chere Plus propres, générant moins de déchets, capables de produire de l'hydrogène pour certains, voire de dessaler l'eau de mer, ce sont les réacteurs dits de quatrième génération, qui ont vocation à voir le jour après 2030.« Les deux nouveaux alliés pourront apporter une contribution précieuse en R & D », explique Jacques Bouchard (Commissariat à l'énergie atomique), qui vient de prendre la présidence tournante du GIF. La Russie est le seul pays à avoir travaillé sur les réacteurs rapides au plomb. Quant à la Chine, qui dispose de deux installations expérimentales, elle devrait consacrer au nucléaire d'importants investissements à l'avenir.Compétition industrielleLes treize pays membres du GIF sont prêts à investir au total 6 milliards de dollars sur quinze ans (50 à 100 millions de dollars par an pour les États-Unis, la France et le Japon) soit presque autant que pour le projet de réacteur de fusion nucléaire Iter (10 milliards de dollars sur quarante ans). Mais au terme de cette phase de coopération, chacun gardera la propriété intellectuelle de ses recherches. Le jeu de la compétition reprendra alors le dessus en phase industrielle. achat sac hermes pas cher
Grand absent de ce club de défense de l'atome : l'Inde, qui n'a pas signé le traité de non-prolifération, mais frappe à la porte du GIF. La question s'est déjà posée au sein du Groupe des fournisseurs nucléaires (NSG) en combustible et réacteurs. Nombre de ses membres, sauf les États-Unis, ne sont pas prêts à approvisionner l'Inde, qui refuse de placer toutes ses installations nucléaires sous contrôle de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Surtout, la Chine s'y oppose, à moins que la porte ne reste ouverte pour le Pakistan. On en est encore loin. « JE SUIS M€RE pour y aller. » Christine Boutin annoncera cet après-midi, devant le conseil national du Forum des républicains sociaux (FRS), sa candidature à l'élection présidentielle.