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started by bifeng5 on 10 Nov 14
  • bifeng5
     
    Parmi les candidats, la sénatrice de Seine-Saint-Denis s'en est particulièrement pris à Nicolas Sarkozy. «Son orientation est limpide: néo-conservatrice. Il propose d'aller plus loin et plus vite dans la fuite en avant conservatrice et libérale initiée par les gouvernements Raffarin et Villepin, en ajoutant une forte dose d'autoritarisme», a-t-elle lancé. «Déni des traditions d'accueil de la France et cirque médiatique, voilà la recette de la rupture sarkoziste!», accuse-t-elle. La candidate écologiste, actuellement créditée de 2% des intentions de vote par les sondages, tente par ailleurs de prévenir la tentation du vote utile en faveur Ségolène Royal. «Une grande partie des Français et des électeurs ne veut pas rater le rendez-vous de 2007 par peur panique de laisser l'avenir de la France aux mains de l'UMP. Nous non plus nous ne voulons pas laisser les clés de la maison à Nicolas Sarkozy», souligne-t-elle. achat sac hermes pas cher
    Coup sur coup, les victoires électorales de Daniel Ortega au Nicaragua et de Rafael Correa en Équateur ont réveillé une inquiétude à Washington : le continent sud-américain va-t-il continuer à se détourner des États-Unis tant que George W. Bush est à la Maison-Blanche ? La réélection probable de Hugo Chavez au Venezuela dimanche, avec ou sans manipulations du scrutin, comme on l'en soupçonne à Washington, promet de noircir encore le tableau. Tous ces représentants d'une gauche populiste ont fait campagne sur une rhétorique ­antiaméricaine et menacent de former un front commun avec ­Cuba, la Bolivie, l'Uruguay, le ­Brésil, l'Argentine, voire le Chili. En face, les partisans de l'économie de marché puisent quelque consolation dans l'élection disputée de Felipe Calderon au Mexique, entré en fonctions hier, dans la Colombie d'Alvaro Uribe ou le Pérou d'Alan Garcia. Mais les conservateurs latino-américains n'entretiennent pas nécessairement une relation apaisée avec l'Amérique de George Bush.Ce mauvais climat peut-il changer avec l'arrivée en janvier d'un Congrès à majorité démocrate au Capitole ? « Jusqu'ici, le seul élément positif de la politique de Washington en Amérique latine a été le commerce, estime Michael Shifter, vice-président de l'Inter-American Dialogue. Tout le reste est négatif : lutte contre l'immigration, contre le trafic de drogue, contre le terrorisme. echarpe hermes pas cher » Or, deux accords de libre-échange en suspens devant le Congrès, l'un déjà ratifié par le Pérou, l'autre tout juste signé avec la Colombie, risquent d'être recalés par les nouveaux maîtres de la Chambre et du Sénat. Élus avec le soutien financier et la mobilisation active des syndicats, les démocrates sont sensibles à leurs arguments sur la délocalisation des emplois américains. Ils ont déjà demandé une renégociation de ces traités pour y inclure des mesures de protection des salariés. « S'ils ne sont pas ratifiés, cela enverra le message à tout le continent qu'il n'a pas d'importance stratégique pour les États-Unis », dit M. Shifter.Un dossier sur lequel les démocrates sont réputés plus ouverts que les républicains est l'immigration. « Il devrait être plus facile à George Bush de faire passer son projet de réforme globale, incluant un programme d'accueil des travailleurs étrangers », souligne Stephen Johnson, ancien diplomate spécialiste de l'Amérique latine à l'Heritage Foundation. echarpe hermes femme
    Mais le parti de Nancy Pelosi n'a pas pris officiellement position et certains de ses membres durcissent le ton. Le sénateur Joe Biden, candidat potentiel en 2008, vient de traiter le Mexique de « démocratie ringarde et corrompue ». Après six ans de face-à-face avec Vincente Fox centré sur l'immigration, Felipe Calderon espère élargir la relation bilatérale à d'autres sujets, comme l'économie ou la lutte antidrogue, pour prendre un nouveau départ.La construction de 1 100 kilomètres de palissades sur leur frontière reste le symbole de l'attitude des États-Unis envers leurs voisins du Sud. Elle nourrit la méfiance des populations et la rhétorique des dirigeants. À cet égard, Washington peut se préparer à six années de souffrance supplémentaires avec Hugo Chavez à Caracas. Après ses incantations contre « le diable Bush » à la tribune de l'ONU en septembre, les démocrates avaient serré les rangs derrière le président.

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