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started by stlwdwl2 on 31 Dec 14
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    C'est alors que Didier François, le correspondant du quotidien Libération au Proche-Orient, est blessé à la cuisse par un tireur embusqué. Souffrant d'une fracture au fémur, il est transporté à l'hôpital Chifa de Gaza, puis évacué vers Israël pour y être opéré.Les combats se poursuivent autour de la présidence et des ministères. Deux obus de mortier sont tirés contre les bureaux de Mahmoud Abbas. Le président, lui, se trouve dans son quartier général de Ramallah, en Cisjordanie. Mais, cinq membres de la garde présidentielle sont blessés. Plus au nord, dans le camp de réfugiés de Jabaliya, sept partisans du président sont touchés lorsque les forces du Hamas ouvrent le feu sur une manifestation de soutien à Abbas. sac lancel bb pas cher
    La journée de combats se solde par deux morts, dont une jeune femme de 19 ans, et une trentaine de blessés. La rancoeur accumulée dans les deux camps laisse présager de nouveaux affrontements et ravive la crainte d'un embrasement généralisé. À BANGUI, où rien n'a changé depuis bien longtemps, hormis un délitement croissant, on semble remonter le cours du temps. Une énième tentative de prise de pouvoir par la force a échoué. Un régime à l'armée fantoche a été sauvé par une intervention militaire française « à l'ancienne ». Devant ces faits, le discours en vogue ces dernières années à Paris sur la fin de l'interventionnisme unilatéral a pris du plomb dans l'aile. La France joue de nouveau le gendarme en Afrique. echarpe burberry pas cher Un gendarme musclé.Pourquoi cette dernière intervention ? D'abord parce que la rébellion, militairement plus sophistiquée que ses aînées, menaçait de terminer sa course à Bangui, dans le palais présidentiel. L'alerte a été chaude et, ici, nombre d'acteurs internationaux estiment que la France a bien fait d'intervenir, la Centrafrique n'ayant pas besoin d'une nouvelle bascule violente du pouvoir. Mais c'est le Tchad, auquel Paris ne lésine pas son soutien, qui a surtout guidé la décision. Le nord de la Centrafrique ne doit pas devenir un fief ou une zone de transit pour les rebelles tchadiens soutenus par le Soudan. Plus largement, il s'agissait d'envoyer un signal aux « amis » de la région - Gabon, Congo ou Cameroun -, pour leur montrer qu'on ne les laisserait pas être déstabilisés. Le syndrome ivoirien a joué aussi. sac longchamp soldes pas cher
    « Pas question, ici, de simplement stopper une avancée des rebelles en les laissant se sanctuariser dans le Nord, et de jouer les sentinelles pendant des années dans une zone tampon », confie une source militaire.Caution internationaleDepuis le début, Paris s'évertue à minimiser son implication. « Les précautions oratoires et diplomatiques sur la reconquête du Nord par l'armée centrafricaine sont compréhensibles, commente un membre d'une organisation internationale, mais les Français en font un peu trop. » Chacun ici sait bien que les forces françaises, en fait « d'assistance », ont fait le travail seules. En ne lésinant pas sur les moyens : frappes aériennes et forces spéciales appuyées par la puissance de feu d'un hélicoptère Puma canon. Les Français se sont attachés à se doter d'une caution internationale. Sur le terrain, en insistant pour être accompagnés d'éléments de la Fomuc, la force multinationale de la Communauté économique et monétaire d'Afrique centrale.

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