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bifeng8

Doudoune Moncler Homme pas cher Darzac - 0 views

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started by bifeng8 on 30 Oct 14
  • bifeng8
     
    Je réfléchis à ceci, qu'il fallait être plusastucieux que l'astuce même, de telle sorte que l'homme, s'il devait aller,cette nuit, dans la chambre de Mlle Stangerson, ne se doutât point uneseconde qu'on pouvait soupçonner sa venue. Certes ! l'empêcher de pénétrer, même par la mort, mais le laisser avancer suffisamment pour que,mort ou vivant, on pût voir nettement sa figure ! Car il fallait en finir, ilfallait libérer Mlle Stangerson de cet assassinat latent ! « Oui, mon ami, déclara Rouletabille, après avoir posé sa pipe sur latable et vidé son verre, il faut que je voie, d'une façon bien distincte, sa figure, histoire d'être sûr qu'elle entre dans le cercle que j'ai tracé avec lebon bout de ma raison. » À ce moment, apportant l'omelette au lard traditionnelle, l'hôtesse fitsa réapparition. Rouletabille lutina un peu Mme Mathieu et celleci semontra de l'humeur la plus charmante. Doudoune Moncler Femme Prix« Elle est beaucoup plus gaie, me ditil, quand le père Mathieu estcloué au lit par ses rhumatismes que lorsque le père Mathieu estingambe ! » Mais je n'étais ni aux jeux de Rouletabille, ni aux sourires de l'hôtesse ;j'étais tout entier aux dernières paroles de mon jeune ami et à l'étrangedémarche de M. Robert Darzac. Quand il eut fini son omelette et que nous fûmes seuls à nouveau,Rouletabille reprit le cours de ses confidences : « Quand je vous ai envoyé ma dépêche ce matin, à la première heure,j'en étais resté, me ditil, à la parole de M. Doudoune Moncler Homme
    Darzac : « L'assassin viendra''peutêtre'' la nuit prochaine. » Maintenant, je peux vous dire qu'il viendra « sûrement ». Oui, je l'attends. - Et qu'estce qui vous a donné cette certitude ? Ne seraitce point parhasard… - Taisezvous, m'interrompit en souriant Rouletabille, taisezvous,vous allez dire une bêtise.Je suis sûr que l'assassin viendra depuis cematin, dix heures et demie, c'estàdire avant votre arrivée, et par conséquent avant que nous n'ayons aperçu Arthur Rance à la fenêtre de lacour d'honneur… - Ah ! ah ! fisje… vraiment… mais encore, pourquoi en étiezvous sûrdès dix heures et demie ? - Parce que, à dix heures et demie, j'ai eu la preuve que Mlle Stangerson faisait autant d'efforts pour permettre à l'assassin de pénétrer dans sa chambre, cette nuit, que M. Robert Darzac avait pris, en s'adressant àmoi, de précautions pour qu'il n'y entrât pas… - Oh ! oh ! m'écriaije, estce bien possible ! … » Et plus bas : « Ne m'avezvous pas dit que Mlle Stangerson adorait M. RobertDarzac ? - Je vous l'ai dit parce que c'est la vérité ! - Alors, vous ne trouvez pas bizarre… - Tout est bizarre, dans cette affaire, mon ami, mais croyez bien que lebizarre que vous, vous connaissez n'est rien à côté du bizarre qui vousattend ! … - Il faudrait admettre, disje encore, que Mlle Stangerson « et son assassin » aient entre eux des relations au moins épistolaires ? - Admettezle ! mon ami, admettezle ! … Vous ne risquez rien ! … Jevous ai rapporté l'histoire de la lettre sur la table de Mlle Stangerson,lettre laissée par l'assassin la nuit de la « galerie inexplicable », lettre disparue… dans la poche de Mlle Stangerson… Qui pourrait prétendre que,« dans cette lettre, l'assassin ne sommait pas Mlle Stangerson de lui donner un prochain rendezvous effectif », et enfin qu'il n'a pas fait savoir àMlle Stangerson, « aussitôt qu'il a été sûr du départ de M. Doudoune Moncler Homme pas cher Darzac », quece rendezvous devait être pour la nuit qui vient ? » Et mon ami ricana silencieusement. Il y avait des moments où je medemandais s'il ne se payait point ma tête. La porte de l'auberge s'ouvrit. Rouletabille fut debout, si subitement,qu'on eût pu croire qu'il venait de subir sur son siège une déchargeélectrique. Doudoune Moncler« Mr Arthur Rance ! » s'écriatil. M. Arthur Rance était devant nous, et, flegmatiquement, saluait. Doudoune Moncler Homme Soldes
    Chapitre Un geste de Mlle Stangerson« Vous me reconnaissez, monsieur ? demanda Rouletabille augentleman. - Parfaitement, répondit Arthur Rance. J'ai reconnu en vous le petitgarçon du buffet. (Visage cramoisi de colère de Rouletabille à ce titre depetit garçon. Doudoune Moncler pas cher ) Et je suis descendu de ma chambre pour venir vous serrerla main. Vous êtes un joyeux petit garçon. » Main tendue de l'américain ; Rouletabille se déride, serre la main enriant, me présente, présente Mr ArthurWilliam Rance, l'invite à partagernotre repas. Doudoune Moncler Homme Prix « Non, merci. Je déjeune avec M. Stangerson. » Arthur Rance parle parfaitement notre langue, presque sans accent. Doudoune Moncler Homme« Je croyais, monsieur, ne plus avoir le plaisir de vous revoir ; nedeviezvous pas quitter notre pays le lendemain ou le surlendemain dela réception à l'Élysée ? » Rouletabille et moi, en apparence indifférents à cette conversation derencontre, prêtons une oreille fort attentive à chaque parole del'Américain. La face rose violacée de l'homme, ses paupières lourdes, certains ticsnerveux, tout démontre, tout prouve l'alcoolique. Comment ce tristeindividu estil le commensal de M. Doudoune Moncler Femme
    Stangerson ? Comment peutil êtreintime avec l'illustre professeur ? Je devais apprendre, quelques jours plus tard, de Frédéric Larsan - lequel avait, comme nous, été surpris et intrigué par la présence del'Américain au château, et s'était documenté - que M. Rance n'était devenu alcoolique que depuis une quinzaine d'années, c'estàdire depuis ledépart de Philadelphie du professeur et de sa fille. À l'époque où lesStangerson habitaient l'Amérique, ils avaient connu et beaucoup fréquenté Arthur Rance, qui était un des phrénologues les plus distinguésdu Nouveau Monde. Il avait su, grâce à des expériences nouvelles et ingénieuses, faire franchir un pas immense à la science de Gall et de Lavater. Doudoune Moncler Homme pas cher Enfin, il faut retenir à l'actif d'Arthur Rance et pour l'explicationde cette intimité avec laquelle il était reçu au Glandier, que le savantaméricain avait rendu un jour un grand service à Mlle Stangerson, en arrêtant, au péril de sa vie, les chevaux emballés de sa voiture. Il étaitmême probable qu'à la suite de cet événement une certaine amitié avaitlié momentanément Arthur Rance et la fille du professeur ; mais rien nefaisait supposer, dans tout ceci, la moindre histoire d'amour. Où Frédéric Larsan avaitil puisé ses renseignements ? Il ne me le ditpoint ; mais il paraissait à peu près sûr de ce qu'il avançait.

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