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"Je pense avoir l'expérience et les compétences pour occuper ce poste", a-t-elle affirmé.Un mouvement s'est dessiné depuis quelques mois en faveur d'une femme à la tête de l'ONU, où huit hommes se sont succédé depuis 70 ans.Mais Mme Clark minimise cet atout: "Je ne me présente pas parce que je suis une femme, mais parce que je crois être la mieux qualifiée"."J'y ai beaucoup réfléchi", a-t-elle souligné, ajoutant que la période actuelle présentait "de très grands défis" pour l'ONU.L'organisation est confrontée à la plus grave crise de réfugiés de son histoire et à des guerres en Syrie, au Yémen et au Soudan du Sud. Ses détracteurs la jugent inadaptée et incapable de se réformer.Mme Clark veut rendre l'ONU plus efficace, face à "des conflits d'un genre nouveau". sac longchamp neuf pas cher "Guerres civiles, acteurs non étatiques, extrémisme violent (..) réclament de nouvelles approches", a-t-elle expliqué.Avec ses quelque 40.000 employés et un budget annuel de huit milliards de dollars, l'ONU est menacée de sclérose bureaucratique, alors qu'elle devrait "prendre les devants", a estimé Mme Clark. "Je suis connue pour être pragmatique, concentrée sur les résultats à obtenir", a-t-elle insisté.- Une compétition très ouverte -Les milieux onusiens s'attendaient depuis plusieurs mois à l'entrée en lice d'Helen Clark. sac longchamps pliage epaule pas cher
Des diplomates la considèrent comme une candidate de premier plan mais s'interrogent sur sa capacité à mobiliser l'appui des cinq membres permanents du Conseil de sécurité.C'est à ces cinq pays dotés du droit de veto (Etats-Unis, Russie, France, Royaume-Uni, Chine) que reviendra en fait le choix du successeur de Ban Ki-moon.A partir de la semaine prochaine et pour la première fois, les candidats déjà déclarés s'adresseront à l'Assemblée générale de l'ONU pour des auditions publiques. Il s'agira d'une sorte d'entretien d'embauche ou de grand oral, de deux heures pour chacun.Mais c'est à huis clos que les cinq Grands devraient se décider en juillet, avant une validation par l'Assemblée.A neuf mois de la fin de parcours de Ban Ki-moon, la compétition est très ouverte. Outre Mme Clark, sept autres candidats dont deux femmes se sont déclarés, et d'autres attendent sans doute le moment propice.