17Il resta là une demiminute. La nuit étaitclaire, par intermittences, illuminée par une lune éclatante qui, soudain,disparaissait sous un gros nuage. « L'homme vert » leva le bras à deuxreprises, fit des signes que je ne comprenais point ; puis, s'éloignant de lafenêtre, reprit son ballot et se dirigea, suivant la galerie, vers le palier. Rouletabille m'avait dit : « Quand vous verrez quelque chose, dénouezl'embrasse. » Je voyais quelque chose. Étaitce cette chose que Rouletabille attendait ? Ceci n'était point mon affaire et je n'avais qu'à exécuterla consigne qui m'avait été donnée. Je dénouai l'embrasse. Polo Ralph Lauren pas cher Vetement Ralph Lauren pas cherMon cœurbattait à se rompre. L'homme atteignit le palier, mais à ma grande stupéfaction, comme je m'attendais à le voir continuer son chemin dansla galerie, aile droite, je l'aperçus qui descendait l'escalier conduisant auvestibule. Que faire ? Stupidement, je regardais le lourd rideau qui était retombésur la fenêtre. Le signal avait été donné, et je ne voyais pas apparaîtreRouletabille au coin de la galerie tournante. Rien ne vint ; personnen'apparut. J'étais perplexe. Une demiheure s'écoula qui me parut unsiècle. Chemise Ralph Lauren pas cher Survetement Ralph Lauren pas cher « Que faire maintenant, même si je voyais autre chose ? » Le signalavait été donné, je ne pouvais le donner une seconde fois… D'un autrecôté, m'aventurer dans la galerie en ce moment pouvait déranger tous lesplans de Rouletabille. Après tout, je n'avais rien à me reprocher, et, s'ils'était passé quelque chose que n'attendait point mon ami, celuicin'avait qu'à s'en prendre à luimême. Ne pouvant plus être d'aucun réelsecours d'avertissement pour lui, je risquai le tout pour le tout : je sortisdu cabinet, et, toujours sur mes chaussettes, mesurant mes pas et écoutant le silence, je m'en fus vers la galerie tournante. Personne dans la galerie tournante. J'allai à la porte de la chambre deRouletabille. J'écoutai. Rien. T shirt Ralph Lauren pas cher Ralph Lauren Homme pas cherJe frappai bien doucement. Rien. Je tournaile bouton, la porte s'ouvrit. J'étais dans la chambre. Rouletabille étaitétendu, tout de son long, sur le parquet. Chapitre Le cadavre incroyableJe me penchai, avec une anxiété inexprimable, sur le corps du reporter, etj'eus la joie de constater qu'il dormait ! Il dormait de ce sommeil profondet maladif dont j'avais vu s'endormir Frédéric Larsan. Lui aussi était victime du narcotique que l'on avait versé dans nos aliments.
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