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started by stlwdwl2 on 13 Dec 14
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    "Il y a une question à laquelle nous, délégation patronale, devons répondre : est-ce qu'on est prêt à accepter quelque chose dans les TPE (très petites entreprises) et si oui, quoi ?" a admis Alexandre Saubot. "On est pleinement conscient que si le document qu'on mettra sur la table est inchangé par rapport à celui d'aujourd'hui, les chances de succès sont faibles." Le Medef propose de mettre en place dans les sociétés de 11 salariés et plus un conseil d'entreprise fusionnant toutes les instances représentatives du personnel existantes. Dans celles d'au moins 50 salariés, il souhaite regrouper les multiples consultations obligatoires actuelles dans une consultation unique annuelle sur les orientations stratégiques. VALLS S'IMPATIENTE Il estime que les thèmes de négociation avec la nouvelle instance et leur périodicité devraient pouvoir être fixés par un accord d'entreprise. Il souhaite en outre laisser à la charge du conseil d'entreprise 20% des frais éventuels d'expertise. Ces propositions font grincer des dents les syndicats, qui voient d'un mauvais oeil la réduction de mandats, d'heures de délégation et de moyens qu'elles supposent. foulard burberry pas cher
    Le Medef a renoncé à imposer une consultation préalable des salariés avant l'élection du conseil d'entreprise et rétabli le monopole des syndicats pour la présentation de candidats au premier tour des élections professionnelles. Il propose également de mettre à la disposition des élus du personnel des entreprises d'au moins 500 salariés une enveloppe de 10% d'heures de délégation supplémentaires et de renforcer la sécurisation du parcours des représentants du personnel. Mais ces concessions n'ont pas suffi à amadouer les syndicats, qui redoutent aussi de voir le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) perdre l'essentiel de ses prérogatives et sa capacité à aller en justice. Autre point de désaccord : les syndicats veulent abaisser le seuil de représentation des salariés avec voix délibérative dans les conseils d'administration des entreprises, fixé à 5.000 par la loi de 2013 sur la sécurisation de l'emploi. Le Premier ministre, qui voudrait voir ces négociations aboutir avant fin 2014 pour transcrire un éventuel accord dans la législation début 2015, a montré des signes d'impatience. "Chacun doit faire un effort dans un esprit de compromis pour parvenir à un accord dans les semaines qui viennent", a dit Manuel Valls mercredi lors de la présentation du projet de loi du ministre de l'Economie sur la croissance et l'activité. chemise burberry pas cher En cas d'échec, la CFDT et la CGT ont averti qu'elles feraient en sorte de peser sur le projet de loi que le gouvernement devra élaborer pour moderniser le dialogue social malgré l'absence d'un accord entre patronat et syndicats. Les Français militent très majoritairement pour des changements profonds dans leur pays tout en marquant leur attachement, jusqu'à la nostalgie, à l'Etat providence, selon une étude CSA rendue publique jeudi. Dans cette enquête, 84% des personnes interrogées estiment qu'il faut transformer la France, dont 28% radicalement, 14% qu'il faut l'aménager sur quelques aspects, 1% qu'il faut la laisser telle qu'elle est. Un pour cent ne se prononce pas. Le "changement" est une notion positive pour 87% des Français, tout comme celles de "réforme" (75%) et de "révolution" (57%). Pourtant, et c'est là tout le paradoxe de l'étude, l'attachement aux fondements du modèle français reste fort : 78% sont attachés à un Etat interventionniste, décentralisé (56%) et organisé en grandes régions et en départements (48%). Ils défendent à 70% le système français de sécurité sociale, à 60% le régime de retraite par répartition et à 82% la progressivité de l'impôt sur le revenu, dont ils souhaiteraient, au rang des changements, qu'il soit prélevé à la source (68%). vintage burberry trench coat
    Les Français veulent à 60% que des entreprises publiques gèrent les transports, les services postaux, les télécommunications ou l'énergie, alors que le "libéralisme" est pour 55% d'entre eux une notion "positive". Lorsqu'on leur demande s'ils préfèreraient emprunter "la machine à remonter dans le temps" ou "la machine qui vous envoie dans le futur", ils sont 54% à choisir la première option et 44% la seconde, deux pour cent ne se prononçant pas. Les Français sont très sévères sur les choix des gouvernements successifs ces dix dernières années et demandent des réformes, notamment dans la gestion des finances publiques (89% d'opinions négatives), la fiscalité (85%), le développement économique (82%) et la politique d'immigration (80%). Seuls les domaines de la santé (57% d'opinions positives), des affaires étrangères (54%) et de la protection sociale (51%) échappent à une opinion majoritairement négative. Les Français se sont par ailleurs convertis à l'euro (71%), seuls 28% plaidant pour un retour du franc. 72% POUR LE TRAVAIL LE DIMANCHE Rétifs aux dogmes et aux religions, ils rejettent le judaïsme (59% d'opinions négatives) et l'islam (75%), tandis que le christianisme est considéré comme positif par une courte majorité (53%). Pour 82%, la laïcité est une notion positive.

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