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Chaussures lacoste pas cher Si nous - 0 views

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started by lacostepascher08 on 12 Dec 14
  • lacostepascher08
     
    Caracas (Venezuela), envoyée spéciale. La bourgeoisie a pris ses quartiers dans l'est de la capitale qui concentre les grandes entreprises. La droite, ultradominante, y expérimente ses politiques comme si elle était élue. Chacao est un des cinq arrondissements de Caracas. Signe particulier : sa richesse. À peine 70 000habitants sur les six millions que compte la capitale vénézuélienne, mais il concentre la majorité des sièges des banques et autres entreprises nationales et internationales. Au pied de la montagne Avila, ce ne sont que beaux quartiers : pas de barrios (quartiers populaires), ni de ranchos (bidonvilles) en vue. Lacoste femme pas cher À l'est de la ville, on est bien qu'entre soi. L'arrondissement est dirigé par un maire de droite, Emilio Grateron. Sur la place Bolivar, un centre de santé impeccable est prêt à vous accueillir. Enfin presque, car ici, où travaillent des centaines de milliers de personnes, mieux vaut ne pas avoir un accident. Pour bénéficier de soins, il faut montrer patte blanche, c'est-à-dire être résident de Chacao. C'est là un exemple de la décentralisation promue par l'opposition, l'arrondissement étant une sorte de pilote de la politique qu'elle appliquerait si elle revenait au pouvoir.Le candidat de la Mesa de Unidad Democratica (MUD), qui se représente à la présidentielle le 14 avril, y a obtenu 81 % le 7 octobre 2012. Lacoste homme pas cher
    Depuis plusieurs jours, des étudiants campent sur la place de la Castellana. « Nous exigeons des élections justes, libres et transparentes », déclare Madeleine Barbella. Les attaques contre le Conseil électoral sont infondées. Ces étudiants sont en fait les agitateurs de l'aile la plus extrémiste de l'opposition. Des échauffourées les ont opposés, lundi, à des partisans du candidat socialiste, Nicolas Maduro. Pourtant, trois patrouilles de la police locale sont là pour les protéger.« Nous sommes en alerte et nous déciderons de nos actions en fonction des résultats, avertit Madeleine Barbella. Chaussures lacoste pas cher Si nous gagnons, nous célébrerons la victoire, sinon nous descendrons dans la rue. » Dans ce havre de la bourgeoisie, il existe un coin de résistance place de l'Indien : le petit stand du Parti socialiste uni du Venezuela. Le « Petit Chaperon rouge », comme la surnommait le président défunt Hugo Chavez, en est l'une des animatrices. Âgée de soixante-seize ans, toute de vermeil vêtue, cette habitante du quartier que ses voisins traitent de « délinquante » ne doute pas de la victoire. « La révolution va continuer », assure-t-elle, en rappelant que le 11 avril 2002, elle était déjà devant le palais de Miraflores pour défendre son président, victime d'un coup d'État. L'anniversaire sera célébré, aujourd'hui, dans le centre de Caracas avec le meeting de fin de campagne de Nicolas Maduro. Bien loin de Chacao. T shirt lacoste pas cher
    Romain Migus « Le peuple refuse l'abîme des politiques néolibérales »Guerre contre la violenceNicolas Maduro, le chauffeur qui veut prendre le volant de la révolution bolivarienne Sont trop gentil, les gouvernants avec ces bourgeois, cancers de la société socialiste du Vénézuéla. Le Parti socialiste uni, va sans aucun doute gagner les élections, qu'il en profite pour réquisitionner le dispensaire. Si l'on laisse la bourgeoisie, bien au chaud, dans son arrondissement, ils sèmeront le désordre dans le pays.Sélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.Dimanche, un policier a demandé à Sana Ghenima si elle avait « le consentement » de son mari pour voyager seule. «Bonjour à tous, je suis dans l'avion, je viens d'embarquer et le policier m'a demandé pour la première fois de ma vie : "Est-ce que votre mari est au courant et consentant ?" » C'est par ce message, posté dimanche, sur un réseau social, que la Tunisienne Sana Ghenima, PDG de la société Sanabil Med, a alerté son entourage, après une vive altercation avec un agent de police à l'aéroport de Tunis-Carthage. Le Tartuffe, insistant et agressif, s'est permis de mettre en doute le motif professionnel du voyage, avant de s'enquérir de l'accord du mari de Sana Ghenima.

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